Библията

 

Exode 21:31

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31 Si le bœuf heurte de sa corne un fils ou une fille, il lui sera fait selon cette même loi.

От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #9010

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9010. Et que Dieu ait fait rencontrer sous sa main, signifie ce qui se présente comme cas fortuit : on le voit par l'idée que les anciens avaient du cas fortuit, idée qui consistait à l'attribuer à Dieu ; c'est pourquoi ils exprimaient le cas fortuit en disant : Dieu a fait rencontrer sous la main ; en effet, ceux qui étaient des anciennes Églises savaient que la Providence du Seigneur était dans toutes et dans chacune des choses, et que les choses contingentes, c'est-à-dire, celles qui se présentaient comme un cas fortuit, appartenaient à la Providence ; c'est pour cela que les simples, qui ne pouvaient pas distinguer les choses qui se faisaient d'après la permission d'avec celles qui se faisaient d'après le bon plaisir, attribuaient au Seigneur non-seulement le bien, mais aussi le mal ; le bien, parce qu'ils savaient que tout bien vient du Seigneur, et le mal, à cause de l'apparence ; car lorsque l'homme fait les maux et par eux se détourne du Seigneur, il lui semble que le Seigneur se détourne, parce qu'alors le Seigneur lui apparaît par derrière et non de face : de là vient donc que si un homme frappe quelqu'un par cas fortuit, ainsi sans une volonté avec prévoyance, cela est exprimé par Dieu a faif rencontrer sous la main. Que la Providence du Seigneur soit dans toutes choses en général et en particulier, on le voit, numéros 1919 (fin), 4329, 5122 (fin), 5155, 5195, 5894 (fin), 6058, 6431, 6482, 6483, 6484, 6485, 6486, 6487, 6489, 6491, 7004, 7007, 8478, 8717. On voit aussi que les choses contingentes ou cas fortuits appartiennent à la Providence, numéros 5508, 6493, 6494 ; et que le mal est attribué au Seigneur, lorsque cependant il provient de l'homme, numéros 2447, 5798, 6071, 6832, 6991, 6997, 7533, 7877, 7926, 8197, 8227, 8228, 8282, 8284, 8483, 8632.

  
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От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #6991

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6991. N'est pas Moi, Jéhovah, signifie que ces choses viennent de flux de la vie d'après le Divin : on peut le voir en ce que ces choses qui sont signifiées par le muet, par le sourd et par l'aveugle, et aussi par la bouche et par le voyant, existent chez l'homme d'après l'influx de la vie procédant de Jéhovah ou du Seigneur, car c'est de là qu'existent tant les maux que les biens chez chacun ; mais les maux par l'homme et les biens par le Seigneur ; si les maux existent par l'homme, c'est parce que la vie qui influe du Seigneur, c'est-à-dire le bien et le vrai, est changée par l'homme en mal et en faux, ainsi dans le contraire de la vie, ce qui est appelé la mort spirituelle ; il en est de cela comme de la lumière qui provient du soleil ; selon que cette lumière est reçue par les objets, telle devient par suite la couleur, dans certains objets vive et brillante, dans certains autres morte et sombre. Mais comme il semble que le Seigneur introduit aussi le mal, parce qu'il donne la vie, c'est pour cela que d'après l'apparence le mal est attribué dans la Parole à Jéhovah ou au Seigneur, comme on peut le voir par un grand nombre de passages ; de même aussi ici, comme c'est d'après l'influx de la vie provenant du Divin qu'on est muet, sourd ou aveugle, il est dit que c'est Jéhovah qui rend tel : mais le sens interne expose et enseigne la chose telle qu'elle est en elle-même, et non telle qu'elle paraît être.

  
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