A Bíblia

 

Ézéchiel 41:13

Estude

       

13 Il mesura la maison, qui avait cent coudées de longueur. La place vide, le bâtiment et ses murs, avaient une longueur de cent coudées.

Comentário

 

Two

  

The number "two" has two different meanings in the Bible. In most cases "two" indicates a joining together or unification. This is easy to see if we consider the conflicts we tend to have between our "hearts" and our "heads" -- between what we want and what we know. Our "hearts" tell us that we want pie with ice cream for dinner; our "heads" tell us we should have grilled chicken and salad. If we can bring those two together and actually want what's good for us, we'll be pretty happy. We're built that way -- with our emotions balanced against our intellect -- because the Lord is built that way. His essence is love itself, or Divine Love, the source of all caring, emotion and energy. It is expressed as Divine Wisdom, which gives form to that love and puts it to work, and is the source of all knowledge and reasoning. In His case the two aspects are always in conjunction, always in harmony. It's easy also to see how that duality is reflected throughout creation: plants and animals, food and drink, silver and gold. Most importantly, it's reflected in the two genders, with women representing love and men representing wisdom. That's the underlying reason why conjunction in marriage is such a holy thing. So when "two" is used in the Bible to indicate some sort of pairing or unity, it means a joining together. In rare cases, however, "two" is used more purely as a number. In these cases it stands for a profane or unholy state that comes before a holy one. This is because "three" represents a state of holiness and completion (Jesus, for instance, rose from the tomb on the third day), and "two" represents the state just before it.

Das Obras de Swedenborg

 

L’Apocalypse Révélée # 79

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79. Et que tu as éprouvé ceux qui se disent être Apôtres, et ne le sont point, et que tu les as trouvés menteurs, signifie qu'ils scrutent les choses qui, dans l'Église, sont dites être des biens et des vrais, lesquelles cependant sont des maux et des faux. Que ce soit là ce qui est signifié, on ne peut le voir que par le sens spirituel, et qu'en sachant par suite ce qui est entendu par les Apôtres et par les menteurs ; par Apôtres sont entendus, non pas les Apôtres, mais tous ceux qui enseignent les biens et les vrais de l'Église, et dans un sens abstrait les biens mêmes et les vrais mêmes de sa doctrine. Que par Apôtres il ne soit pas entendu les Apôtres, on le voit clairement par ces paroles qui leur ont été adressées :

— « Quand sera assis le Fils de l'Homme sur le trône de sa gloire, vous serez assis, vous aussi, sur douze trônes, jugeant les douze Tribus d'Israël. » — Matthieu 19:28 ; Luc 22:30 ;

— qui est-ce qui ne voit que les Apôtres ne doivent pas et même ne peuvent pas juger quelqu'un, ni à plus forte raison les douze Tribus d'Israël ; mais que le Seigneur seul jugera selon les biens et les vrais de la doctrine de l'Église d'après la Parole ? Puis aussi, par ces paroles :

— « La muraille de la ville de la Nouvelle Jérusalem avait douze fondements, et sur eux les noms des douze Apôtres de l'Agneau. » — Apocalypse 21:14.

— Puisque par la Nouvelle Jérusalem il est signifié la Nouvelle Église, Nos. 880, 881, et par ses fondements tous les biens et tous les vrais de sa doctrine, No. 902, et suivants. Et aussi par celles-ci :

— « Réjouis-toi, Ciel, et vous, saints Apôtres et Prophètes. » — Apocalypse 18:20 ;

Qu'est-ce que la joie des Apôtres et des Prophètes, si par eux ne sont point entendus tous ceux qui dans l'Église sont dans les biens et dans les vrais de la doctrine ? Par les disciples du Seigneur il est entendu ceux qui sont instruits par le Seigneur dans les biens et dans les vrais de la doctrine, et par les Apôtres ceux qui, après avoir été instruits, les enseignent ; car il est dit :

— « Jésus envoya ses douze disciples prêcher le Royaume de Dieu ; et, étant de retour, les apôtres lui racontèrent toutes les choses qu'ils avaient faites. » — Luc 9:1-2, 10 ; Marc 6:7, 30.

— Que par les Menteurs soient entendus ceux qui sont dans les faux, et abstractivement les faux eux-mêmes, on peut le voir par un très-grand nombre de passages, dans la Parole, où se trouvent les mots Menteurs et Mensonges ; si on rapportait ces passages, ils rempliraient des pages ; les Mensonges dans le sens spirituel ne sont pas non plus autre chose que des faux. Maintenant, d'après ces explications, on peut voir que par « lu as éprouvé ceux qui se disent être Apôtres, et ne le sont point, et tu les as trouvés menteurs » , il est signifié qu'ils scrutent les choses qui, dans l'Église, sont dites être des biens et des vrais, lesquelles cependant sont des maux et des faux.

  
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