De Bijbel

 

Jérémie 51:60

Studie

       

60 Car Jérémie écrivit dans un livre tout le mal qui devait venir sur Babylone; savoir toutes ces paroles qui sont écrites contre Babylone.

Van Swedenborgs Werken

 

Marriage #93

  
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93. Those who are spiritually adulterous are distinguished from those who are naturally adulterous. The latter, if they have taken pleasure in adulteries and no pleasure in marriages are shut out of heaven and are sent to hells. But the spiritually adulterous, although they feel there is nothing in adulteries which is not allowed, are all the same examined, and some are reformed; others are given places in accordance with their lives.

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.

Van Swedenborgs Werken

 

Arcanes Célestes #1316

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1316. Voilà un seul peuple : une seule lèvre à eux tous, signifie qu'ils avaient tous eu le vrai de la foi et une même doctrine : cela résulte de ce que le peuple signifie le vrai de la foi, et de ce que la lèvre signifie la doctrine. Que le peuple signifie le vrai de la foi, c'est-à-dire, ceux qui sont dans le vrai de la foi, c'est ce que j'ai déjà fait voir numéro 1259 : et que la lèvre signifie la doctrine de la foi, je l'ai montré ci-dessus, vers. 1. La locution un seul peuple et une seule lèvre est employée quand tous ont pour fin le bien commun de la société, le bien commun de l'Eglise, et le Règne du Seigneur ; car on a ainsi pour fin le Seigneur par Qui tous sont un, Mais le Seigneur ne peut nullement être présent pour celui qui a le bien propre pour fin ; le propre même de l'homme éloigne le Seigneur, car il plie et tourne vers soi le bien commun de la société, celui de l'Eglise et même le Règne du Seigneur, au point que ces choses sont comme pour soi ; ainsi il enlève au Seigneur ce qui Lui appartient, et se met à sa place. Quand le propre règne chez l'homme, il est le même dans chacune de ses pensées, et même dans les moindres idées de ses pensées ; ainsi agit chez l'homme ce qui est dominant. Cela ne se montre pas dans la vie du corps d'une manière aussi frappante que dans l'autre vie ; ce qui est dominant chez l'Esprit se manifeste par une certaine sphère que perçoivent tous ceux qui sont autour de lui, sphère qui lui est semblable, parce qu'elle émane de chacune des choses qui sont chez lui. La sphère de celui qui se considère lui-même dans chaque chose, s'approprie, et absorbe, ainsi qu'on s'exprime dans le monde spirituel, tout ce qui lui est favorable, par conséquent tout le plaisir des esprits qui l'environnent, et détruit chez eux toute liberté ; c'est pourquoi il est impossible qu'un tel esprit ne soit pas désassocié. Mais, quand il y a un seul peuple et une seule lèvre, c'est-à-dire, quand on a en vue le bien commun de tous, nul ne s'approprie le plaisir d'autrui, et ne détruit la liberté d'autrui, mais chacun l'étend et l'augmente antant qu'il le peut ; de là les sociétés célestes sont comme ne faisant qu'un ; et cela, uniquement par l'amour mutuel qui précède du Seigneur : il en est de même dans l'Eglise.

  
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