De Bijbel

 

Genèse 27:16

Studie

       

16 Elle couvrit ses mains de la peau des chevreaux, et son cou qui était sans poil.

Van Swedenborgs Werken

 

Arcanes Célestes #3538

Bestudeer deze passage

  
/ 10837  
  

3538. Qui étaient avec clic, dans la maison, signifie qui procèdent du Divin Bien par le Divin Vrai du Divin Rationnel : on le voit par la représentation de Rébecca, qui est ici elle, en ce qu'elle est le Divin Vrai du Divin Rationnel, ainsi qu'il a déjà été dit ; et par la signification de la maison, en ce qu'ici elle est le Divin Bien, parce qu'il s'agit du Seigneur ; que la Maison soit le Bien, c'est ce qu'on voit numéros 710, 2233, 2234, 2559, 3128 : que ce soit là ce qui est signifié par ces paroles, qui étaient avec elle dans la maison, c'est parce que la maison signifie le Rationnel tant quant au bien que quant au vrai, ou, ce qui est la même chose, tant quant au volontaire, car celui-ci appartient au bien, que quant à l'intellectuel, parce que celui-ci appartient au vrai ; lorsque le Rationnel, qui provient du volontaire ou du bien, agit par l'intellectuel ou le vrai, le mental rationnel est appelé une seule maison : de là aussi le Ciel lui-même est appelé la maison de Dieu, parce que là il n'y a que le bien et le vrai, et le bien agit par le vrai qui lui a été uni ou conjoint : cela aussi est représenté dans les mariages entre le mari et l'épouse qui constituent une seule maison, par la raison que l'amour conjugal vient du mariage Divin du Bien et du Vrai, numéros 2728, 2729, 3132, et que la volonté est à l'un et à l'autre d'après le bien, mais avec une différence telle que celle qui existe entre le bien et son vrai ; aussi est-ce pour cela que par le mari est signifié le bien, et par l'épouse le vrai ; en effet, quand il y a une seule maison, le bien y est alors le tout, et le vrai, parce qu'il appartient au bien, est aussi le bien. S'il est dit, avec elle dans la maison, et non avec lui ou avec eux, c'est parce qu'il s'agit de l'état de conjonction du vrai et du bien, ou de l'état avant qu'ils aient été pleinement unis ou conjoints : il va maintenant été question de cet état.

  
/ 10837  
  

Van Swedenborgs Werken

 

Arcanes Célestes #3132

Bestudeer deze passage

  
/ 10837  
  

3132. Et il arriva que, lorsqu'il eut vu la boucle et les bracelets sur les mains de sa sœur, signifie quand il apercevait le Divin Bien et le Divin Vrai dans la puissance de l'affection du Vrai, laquelle est la sœur : cela est évident par la signification de voir, en ce que c'est apercevoir, numéro 2150 ; par la signification de la boucle, en ce qu'elle est le Divin bien, numéros 3103, 3105 ; par la signification des bracelets, en ce qu'ils sont le Divin Vrai, aussi numéros 3103, 3105 ; par la signification des mains, en ce qu'elles sont la puissance, Numéro 878, 3091 ; et par la signification de la sœur, en ce qu'elle est l'affection du vrai, numéros 2508, 2524, 2556 ; d'où il résulte évidemment que voir la boucle et les bracelets sur les mains de sa sœur, c'est apercevoir le Divin Bien et le Divin Vrai dans la puissance de l'affection du vrai. Voici ce qu'il en est : la conjonction du Divin Bien et du Divin Vrai dans le Seigneur est le mariage Divin lui-même, dont procède le mariage céleste qui est pareillement la conjonction du bien et du vrai ; de ce mariage procède aussi l'amour conjugal, voir numéros ; de là vient que, dans la Parole, quand il s'agit de mariage, il est signifié dans le sens interne le mariage céleste qui est la conjonction du bien et du vrai, et dans le sens suprême le mariage Divin, qui est dans le Seigneur ; ici donc par le mariage de Isaac et de Rébecca, on n'entend pas autre chose ; la conjonction du bien et du vrai est le mariage même, et l'initiation les fiançailles, ou l'état qui précède le mariage ; mais l'état qui précède les fiançailles est celui qui est ici décrit ; dans cet état, de même qu'il est

En puissance de la jeune fille d'être fiancée et ensuite d'être conjointe au mari comme épouse, de même il est en puissance de l'affection du vrai d'être initiée au Divin Vrai, et par conséquent d'être conjointe au Divin Bien : et en outre dans la première affection et ensuite dans toute affection du Vrai chez le Seigneur, il y avait intimement le Divin Bien même et le Divin Vrai même, parce que Lui-Même était Jéhovah ; de là la puissance dont il s'agit ici.

  
/ 10837