성경

 

Jérémie 51:49

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49 Et comme Babylone a fait tomber les blessés à mort d'Israël, ainsi les blessés à mort de tout le pays tomberont à Babylone.

스웨덴보그의 저서에서

 

Apocalypse Explained #593

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593. Verse 1. And I saw another strong angel coming down out of heaven, signifies the Lord as to the Word, here as to its ultimate sense, which is called the sense of the letter. This is evident from the signification of a "strong angel," as being the Lord as to the Word (of which presently); it means as to the Word in its ultimate sense, which is called the sense of the letter, because it is from that sense that the Lord is called "strong," for all the strength and all the power of Divine truth exist and consist in its ultimate, consequently in the sense of the letter of the Word (of which also presently).

[2] Because it is the sense of the letter of the Word that is meant, therefore it is said that the angel was seen "coming down out of heaven." The like is said of the Word, which is the Divine truth; this comes down from the Lord through the heavens into the world, consequently it is adapted to the wisdom of the angels who are in the three heavens, and is also adapted to men who are in the natural world. For this reason the Word in its first origin of all is wholly Divine, afterward celestial, then spiritual, and lastly natural; it is celestial for the angels of the inmost or third heaven, who are called celestial angels, it is spiritual for the angels of the second or middle heaven who are called spiritual angels, and it is celestial-natural and spiritual-natural for the angels of the ultimate or first heaven who are called celestial-natural and spiritual-natural angels, and it is natural for men in the world; for so long as men live in a material body they think and speak naturally. This then is why the Word is with the angels of each heaven, but with a difference according to the degrees of their wisdom, intelligence, and knowledge [scientia]; and although it differs in its sense in each heaven, still it is the same Word, because it is the Divine itself, which is in the Word from the Lord that becomes Divine celestial when it comes down to the inmost or third heaven, and becomes Divine spiritual when it comes down therefrom to the middle or second heaven, and becomes Divine celestial-natural or spiritual-natural when it comes down from that heaven to the ultimate or first heaven, and when it comes down therefrom into the world becomes a Divine natural Word, such as it is with us in the letter. These successive derivations of Divine truth proceeding from the Lord Himself exist by virtue of correspondences, established from creation itself, between things higher and lower, respecting which, the Lord willing, more will be said hereafter.

[3] All strength and all power are in the ultimates of Divine truth, thus in the natural sense of the Word, which is the sense of the letter, because this sense is the containant of all the interior senses, that is, of the spiritual and celestial (spoken of above); and as it is the containant it is also the base, and in the base lies strength itself. For if higher things do not rest upon their base they fall and are scattered. So would it be if the spiritual and celestial things of the Word did not rest upon its natural or literal sense, for this not only sustains the interior senses, but also contains them, consequently the Word or Divine truth is not only in its power, but also in its fullness in this sense. (But on this subject more may be seen above; namely, that strength is in the ultimate, because the Divine is there in its fullness, n. 346, 567. That interior things flow in successively into exteriors, even into the most external or ultimate, and that they coexist there, see Arcana Coelestia 634, 6239, 6465, 9215, 9216; that they not only flow in successively, but also form in their ultimate what is simultaneous, in what order, n. 5897, 6451, 8603, 10099. That therefore there is strength and power in ultimates, n. 9836; that therefore responses and revelations were given in ultimates, n. 9905, 10548; that therefore the ultimate is more holy than the interiors, n. 9824.) From this, too, it follows that everything of doctrine of the church ought to be formed and confirmed from the literal sense of the Word, and that also doctrine has its power from that (See above, n. 356). This is why the "angel coming down out of heaven" is said to be "strong." That "angel" in the Word means in the highest sense the Lord, in a relative sense every recipient of Divine truth from the Lord, and in an abstract sense Divine truth itself, may be seen above (n. 130, 302); here, therefore, "angel" means the Lord as to the Word, because the Word is Divine truth itself. That the Lord Himself is here meant by "angel" can be seen from a like representation of the Lord Himself as to face and feet in the first chapter of this book, where it is said of the Son of man, who is the Lord:

That His face shone as the sun in his power, and that His feet were like unto burnished brass glowing in a furnace (verses Revelation 1:15, 16).

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

스웨덴보그의 저서에서

 

Arcanes Célestes #4601

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4601. Et alla Ruben, et il coucha avec Bilhah, concubine de son père, signifie la profanation du bien par la foi séparée ; et l'entendit Israël, signifie que cette foi a été rejetée : on le voit par la représentation de Ruben, en ce qu'il est la foi par la doctrine et par l'entendement, laquelle est la première chose de l'Église, numéro 3861, 3866 ; ici, cette foi séparée d'avec la charité, ainsi qu'il va être montré ; et par la signification de coucher avec Bilhah, concubine de son père, en ce que c'est la profanation du bien, car commettre adultère signifie pervertir ou adultérer les biens, numéro 2466, 2729, 3399 ; mais coucher avec, la concubine de son père, c'est les profaner ; et par la signification de l'entendit Israël, en ce que c'est que cette foi a été rejetée ; dans le sens propre, l'entendit Israël signifie que l'Église spirituelle a connu cela et y a consenti, car par entendre il est signifié écouter, et par Israël l'Église spirituelle ; mais que la vraie Église ne consente pas, on le verra clairement par les choses qui seront dites de Ruben ; mais dans le sens interne cela signifie que cette foi a été rejetée ; il n'est pas dit, en effet, ce que Jacob a senti et pensé au sujet de cette action infâme, mais on voit clairement par son Prophétique sur Ruben , qu'il l'a eue tout à fait en aversion et en horreur :

« Ruben, mon premier-né, toi, ma vigueur et le commencement de ma force, excellent en honneur, excellent en puissance : léger comme l'eau, n'excelle point, car tu es monté sur la couche de ton père ; alors tu as profané ; sur mon lit il est monté ! " - Genèse 49:3-4 ; et c'est pour cela que Ruben a été privé de la primogéniture, 1 Chroniques 5:1 ; de là il est évident que par l'entendit Israël, il est signifié que cette foi a été rejetée ; que la primogéniture soit la foi de l'Eglise, on le voit, numéro 352, 2435, 3325. Il y a profanation du bien par la foi séparée, quand le vrai de l'Église et son bien sont reconnus et crus, et que cependant on vit contrairement à ce vrai et à ce bien ; car chez ceux qui séparent dans l'entendement, et par suite dans la vie, les choses qui appartiennent à la foi d'avec celles qui appartiennent à la charité, le mal est conjoint avec le vrai, et le faux avec le bien ; c'est cette conjonction elle-même qui est appelée profanation ; il en est autrement chez ceux qui, bien qu'ils sachent ce que c'est que le vrai et le bien de la foi, ne croient cependant pas de cœur. Voir ce qui a déjà été dit et montré sur la profanation, numéro 301, 302, 303, 571, 582, 593, 1001, 1003, 1008, 1010, 1059, 1327, 1328, 2051, 2426, 3398, 3399, 3402, 3489, 3898, 4289, 4050 ; il a aussi été dit et montré que la profanation du bien par la foi séparée, a été représentée par Caïn, en ce qu'il a tué Abel ; par Cham, en ce qu'il a été maudit par son père ; et par les Égyptiens, en ce qu'ils ont été submergés dans la mer rouge, numéro 3325 ; qu'ici elle le soit par Ruben, on le voit numéro 3325, 3870. Afin que ceux qui sont de l'Église spirituelle pussent être sauvés, le Seigneur a miraculeusement séparé leur partie intellectuelle d'avec leur partie volontaire, et il a mis dans l'intellectuel la puissance de recevoir un nouveau volontaire, numéro 863, 875, 895, 1023, 927, 928, 1023, 1043, 1044, 2256, 4328, 4493 ; lors donc que l'intellectuel saisis et perçoit le bien qui appartient à la foi et se l'approprie, et que le volontaire de l'homme, c'est-à-dire, le mauvais vouloir règne néanmoins et commande, il se fait alors une conjonction du vrai avec le mal et du bien avec le faux ; cette conjonction est la profanation, et est entendue par manger et boire non dignement dans la Sainte-Cène ; le bien qui y est signifié par le corps, et le vrai qui l'est par le sang, ne peuvent être séparés d'avec le mal et le faux, car les choses qui ont été ainsi conjointes ne peuvent être jamais séparées dans toute l'éternité, c'est pourquoi l'enfer le plus profond attend ces profanateurs ; toutefois, ceux qui savent ce que c'est que le vrai et le bien de la foi, et qui cependant ne croient pas de cœur, comme la plupart aujourd'hui, ne peuvent pas profaner, parce que leur intellectuel ne reçoit pas ce vrai et ce bien, et n'en est pas imbu. Il s'agit ici du rejet de cette foi, parce que dans les Versets suivants il s'agit des vrais et des biens dans leur ordre réel, et ensuite de leur conjonction avec le Rationnel ou l'Intellectuel ; les fils de Jacob qui vont être nommés sont les vrais et les biens dans cet ordre, et Isaac est le Rationnel ou l'intellectuel ; l'arrivée de Jacob, avec ses fils chez Isaac est, dans le sens interne, cette conjonction avec l'Intellectuel.

  
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