성경

 

Jérémie 51:40

공부

       

40 Je les ferai descendre comme des agneaux à la tuerie, et comme [on y mène] les moutons avec les boucs.

스웨덴보그의 저서에서

 

Arcanes Célestes #9806

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9806. Et toi, fais approcher vers toi Aharon ton frère, signifie la conjonction du Divin Vrai avec le Divin Bien, dans le Divin Humain du Seigneur : on le voit par la représentation de Moïse, qui ici devait faire approcher Aharon vers lui, en ce qu'il est le Seigneur quant au Divin Vrai, numéros 6752, 6771, 7014, 9372 ; par la signification d'approcher, en ce que c'est la conjonction et la présence, numéro 9378 ; par la représentation d''Aharon, en ce qu'il est le Seigneur quand au Divin Bien, ainsi qu'il va être montré ; et par la signification de frère, en ce que c'est le bien, numéros 3303, 3803, , 3815, 4121, 4191, 5686, 5692, 6756 ; il est donc évident que la conjonction du Divin Vrai avec le Divin Bien dans le Seigneur, est signifiée par cela que Moïse devait faire approcher Aharon son frère vers lui ; que ce soit dans le Divin Humain du Seigneur, c'est parce que le Divin Humain était ce dans quoi cette conjonction a été faite ; en effet, le Seigneur avait d'abord fait Divin Vrai son Humain, puis il le fît Divin Bien, voir les articles cités, numéros 9199, 9315. Si Aharon a été choisi pour exercer le Sacerdoce, c'est parce qu'il était frère de Moïse, car ainsi ils représentaient ensemble la fraternité du Divin Vrai et du Divin Bien dans le ciel, puisque, comme il a été dit ci-dessus, Moïse représentait le Divin Vrai, et Aharon le Divin Bien. Toutes choses dans l'univers, tant dans le Ciel que dans le Monde, se rapportent au bien et au vrai pour qu'elles soient quelque chose, car le bien est l'Être du vrai, et le vrai est l'Exister du bien ; c'est pourquoi le bien sans le vrai n'Existe point, et le vrai sans le bien n'Est point, il est donc évident qu'ils doivent être conjoints : leur conjonction est représentée dans la Parole par deux époux, et aussi par deux frères ; par deux époux, quand il s'agit du mariage céleste, qui est le mariage du bien et du vrai, et quand il s'agit de la dérivation successive qui en résulte ; par deux frères, quand il s'agit du double ministère, celui du Jugement et celui du Culte ; ceux qui exerçaient le Ministère du Jugement étaient appelés Juges, et plus tard Rois ; et ceux qui exerçaient le Ministère du Culte étaient appelés Prêtres ; et comme tout jugement se fait par le vrai, et que tout culte provient du bien, c'est pour cela que dans la Parole les juges signifient^ abstraction faite de la personne, le vrai d'après le bien, et les rois le vrai dont provient le bien, et que les prêtres signifient le bien lui-même : c'est de là que le Seigneur dans la Parole est appelé Juge, Prophète et aussi Roi lorsqu'il s'agit du vrai, et Prêtre lorsqu'il s'agit du bien ; de même il est appelé Christ, Oint ou Messie quand il s'agit du vrai, et Jésus ou Sauveur quand il s'agit du bien. C'est à cause de cette fraternité, qui existe entre le vrai appartenant au Jugement et le bien appartenant au Culte, qu'Aharon frère de Moïse a été choisi pour exercer le sacerdoce ; que ce soit pour cela qu'Aharon et sa maison signifient, le bien, on le voit dans David :

« Israël ? confie-toi en Jéhovah ; il est, Lui, leur aide et leur bouclier. Maison d'Aharon, confiez-vous en Jéhovah ; il est, Lui, leur aide et leur bouclier-. Jéhovah s'est souvenu de nous, il bénira la maison d'Israël, il bénira la maison d'Aharon. “ - Psaumes 115:9-10, 12.

Dans le Même

« Qu'Israël dise maintenant, que pour l'éternité (est) sa Miséricorde. Que la maison d'Aharon dise maintenant, que pour l'éternité (est) sa Miséricorde. » - Psaumes 118:2-3 :

Dans le Même :

« Maison d'Israël, bénissez Jéhovah : maison d'Aharon, bénissez Jéhovah. » - Psaumes 135:19 ;

La maison d'Israël, ce sont ceux qui sont dans les vrais, et la maison d'Aharon ceux qui sont dans les biens ; car, dans la Parole, lorsqu'il s'agit du vrai il s'agit aussi du bien, à cause du mariage céleste, numéros 9263, 9314 ; que la maison d'Israël signifie ceux qui sont dans les vrais, on le voit, numéros 5414, 5879, 5951, 7956, 8234.

Dans le Même

« Jéhovah envoya Moïse son serviteur, Aharon qu'il avait élu. " - Psaumes 105:26.

Moïse est appelé serviteur, parce que le serviteur se dit des vrais, numéro 3409, et l'élu se dit du bien, numéros 3755 (fin).

Dans le Même :

« Voici, ô qu'il est bon et agréable qu'habitent les frères ensemble ! comme l'huile bonne sur la tête, descendant dans la barbe, la barbe d'Aharon, descendant sur le bord de ses habits. » - Psaumes 133:1-2 ;

Celui qui ne sait pas ce qui est signifié par le frère, par l'huile, par la tête, par la barbe, par les habits, ni ce qui est représenté par Aharon, ne peut pas comprendre pourquoi ces choses ont été comparées avec la cohabitation des frères ; car quelle similitude y a-t-il entre l'huile descendant de la tête d'Aharon sur sa barbe, et ensuite sur ses habits, et la concorde des frères ? mais la similitude de la comparaison est évidente d'après le sens interne, dans lequel il s'agit de l'influx du bien dans les vrais, et dans lequel est ainsi décrite leur fraternité ; en effet, l'huile est le bien, la tête d'Aharon est l'intime du bien, la barbe est ce qui en est le plus externe, les habits sont les vrais, descendre est l'influx, d'où il devient évident que ces paroles signifient l'influx du bien depuis les intérieurs jusqu'aux extérieurs dans les vrais, et là la-conjonction ; qui pourrait, sans le sens interne, voir que ces célestes sont dans ces paroles ? que l'Huile soit le bien de l'amour, on le voit, numéros 886, 4582, 4638, 9780 ; et la tête l'intime, numéros 5328, 6436, 7859, 9656 ; que la barbe soit ce qui est le plus externe, cela est évident dans ; dans Jérémie 48:37 ; et dans Ézéchiel 5:1 ; que les habits soient les vrais, on le voit, numéros 2576, 4545, 4763, 5319, 5954, 6914, 6917, 909, 3, 9212, 9216 ; qu'Aharon soit le bien céleste, c'est ce qu'on vient de voir. De ce qu'Aharon a été choisi pour exercer le sacerdoce, et ainsi pour avoir le ministère des choses les plus saintes, on peut comprendre ce qu'il en était des Représentations dans l'Église Juive, à savoir, qu'elles regardaient non pas la personne qui représentait, mais la chose qui était représentée ; qu'ainsi les personnes dont les intérieurs étaient impurs, et même idolâtriques, pouvaient représenter une chose sainte, même la chose la plus sainte, pourvu que leurs externes, quand elles étaient dans le culte, fussent disposés à la sainteté ; tel avait été Aharon, comme on peut le voir d'après ces paroles dans Moïse :

« Aharon prit de la main des fils d'Israël de l'or, et il le forma avec le burin, et il en fit un veau de fonte ; et Aharon bâtit un Autel devant lui, et Aharon proclama et dit : Fête à Jéhovah, demain. » - Exode 32:4-5, 25 ;

Et ailleurs dans le Même :

« Contre Aharon de colère fut transporté Jéhovah extrêmement, pour le détruire ; mais je priai aussi pour Aharon en ce temps-là. » - Deutéronome 9:20.

Que les Représentatifs de l'Église chez la nation Israélite et Juive aient regardé non pas les personnes, mais les choses elles-mêmes, on le voit dans les articles cités, numéro 9229.

  
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Arcanes Célestes #4925

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4925. Et voici, sortit son frère, signifie le vrai du bien : on le voit par la signification du frère, en ce qu'il est le consanguin d'après le bien, numéros 3815, 4267, ainsi le vrai du bien ; le vrai du bien est ce vrai qui procède du bien, ou c'est cette foi qui procède de la charité. Dans le sens interne, il s'agit ici de la primogéniture chez ceux qui renaissent ou sont régénérés par le Seigneur, par conséquent de la primogéniture dans l'Église ; dès les temps Très-Anciens on a discuté sur ce que c'est que le premier-né, si c'est le bien appartenant à la charité, ou si c'est le vrai appartenant à la foi ; et comme le bien, quand l'homme renaît et devient Église, ne se montre point, mais se cache dans l'homme intérieur, et se manifeste seulement dans une sorte d'affection qui ne tombe pas d'une manière évidente sous les sens de l'homme externe ou naturel, avant qu'il soit rené, tandis que le vrai se manifeste, car il entre par les sens et se place dans la mémoire de l'homme externe ou naturel, voilà pourquoi plusieurs sont tombés dans cette erreur que le vrai est le premier-né, et enfin dans cette autre erreur que le vrai est l'essentiel de l'Église, et tellement l'essentiel, que le vrai, qui est appelé foi, peut sauver sans le bien qui appartient à la charité ; de cette seule erreur il en est découlé plusieurs autres qui ont infecté non-seulement la doctrine, mais même la vie, par exemple , que l'homme est sauvé, de quelque manière qu'il vive, pourvu qu'il ait la foi ; que même les plus scélérats sont reçus dans le Ciel, pourvu qu'à la dernière heure de la mort ils reconnaissent les choses qui sont de foi ; que chacun peut être reçu dans le Ciel seulement d'après la grâce, quelle qu'ait été sa vie ; et, parce qu'on est dans cette doctrine, on ignore même ce que c'est que la charité, et l'on ne s'en inquiète pas ; et l'on finit en conséquence par croire qu'il n'existent ciel ni enfer ; cela vient de ce que la foi sans la charité, ou le vrai sans le bien, n'enseigne rien, et que plus le vrai se relire du bien, plus il rend l'homme insensé ; en effet, c'est dans le bien et par le bien que le Seigneur influe et donne l'intelligence et la sagesse, par conséquent l'intuition supérieure, et aussi la perception si telle chose est ou n'est pas ainsi. D'après ces explications, on peut voir ce qu'il en est de la primogéniture, à savoir, qu'elle appartient en actualité au bien, et en apparence au vrai ; c'est donc là ce qui est décrit ici dans le sens interne par l'enfantement des deux fils de Thamar ; en effet, l'écarlate que la sage-femme lia sur la main de l'un signifie le bien, ainsi qu'il a été montré, numéro 4922 ;

« sortir le premier » signifie la priorité, numéro 4923 ;

« retirer la main, » signifie que le bien cachait sa puissance, comme il vient d'être dit ;

« son frère sortit, » signifie le vrai ;

« tu as rompu sur toi rupture, » signifie la séparation du vrai d'avec le bien en apparence ;

« ensuite sortit son frère, » signifie que le bien est en actualité le premier ; et

« sur la main duquel était l'écarlate, » signifie la reconnaissance que c'était le bien ; en effet, ce n'est qu'après que l'homme est rené, qu'il est reconnu que le bien est le premier, car alors l'homme agit d'après le bien, et d'après le bien il regarde le vrai et la qualité du vrai : voilà ce qui est contenu dans le sens interne, dans lequel est enseigné ce qui se passe au sujet du bien et du vrai chez l'homme qui nait de nouveau, à savoir, que le bien est en actualité au premier rang et que le vrai y est en apparence, et que le bien ne parait pas au premier rang quand l'homme est régénéré, mais qu'il y paraît manifestement quand l'homme a été régénéré : mais il n'est pas besoin d'expliquer davantage ces arcanes, car ils ont déjà été expliqués, voir numéros 3324, 3325, 3494, 3539, 3548, 3556, 3563, 3570, 3576, 3603, 3701, 4243, 4244, 4247, 4337 : quant aux controverses qu'il y eut dès les temps Anciens au sujet de la primogéniture, si elle appartenait au bien ou au vrai, ou bien à la charité ou à la foi, voir numéro 2435. Comme, dans le sens suprême, le Premier-né est le Seigneur, et par suite l'amour envers Lui et la charité à l'égard du prochain, c'est pour cela que dans l'Eglise Représentative il a été décidé par une loi que les Premiers-nés appartiendraient à Jéhovah, ainsi qu'il est dit dans Moïse :

« Sanctifie-Moi tout Premier-né, l'ouverture de tout utérus parmi les fils d'Israël ; parmi l'homme et parmi la bête, à Moi cela. » - Exode 13:2.

« Tu feras passer toute ouverture d'utérus à Jéhovah, et toute ouverture de portée de la bête, ce que tu auras de mâles, à Jéhovah. » - .

« Toute ouverture d'utérus, à Moi ; et de tout ton bétail, tu donneras le mâle, ouverture de bœuf et de bête de menu bétail. » - Exode 34:19.

« Toute ouverture d'utérus, quant à toute chair qu'on offrira à Jéhovah, d'entre les hommes et d'entre les bêtes, sera à toi ; mais cependant en rachetant tu rachèteras tout premier-né de l'homme. “ - Nombres 18:15.

« Moi, voici, j'ai pris les Lévites du milieu des fils d'Israël, à la place de tout premier-né, ouverture d'utérus d'entre les fils d'Israël, afin que soient à Moi les Lévites. " - Nombres 3:12.

Comme ce qui ouvre l'utérus est le premier-né , c'est pourquoi quand le premier-né est nommé, il est dit aussi l'ouverture de l'utérus, pour que ce soit le bien qui soit signifié ; que ce soit le bien, on le voit clairement par chacune des choses dans le sens interne, surtout par ce qui est rapporté des fils de Thamar, à savoir, que Zérach ouvrit par sa main l'utérus, par lequel le bien est représenté, comme on le voit encore par l'écarlate sur sa main, numéro 4922 ; l'utérus aussi, au sujet duquel il est dit l'ouverture, c'est où il y a le bien et le vrai, par conséquent l'Église, voir numéro 4918 ; l'ouvrir, c'est donner la puissance pour que le vrai naisse. Comme le Seigneur est le seul Premier né, car il est le Bien Même, et du Bien du Seigneur procède tout vrai, c'est aussi pour cela que Jacob n'étant pas le premier-né, il lui fut permis, pour qu'il représentât le Seigneur, d'acheter à son frère Ésaü la primogéniture ; et comme cela ne suffisait pas, il fut appelé Israël, afin que par ce nom il représentât le bien du vrai, car Israël dans le sens représentatif est le bien qui est par le vrai, numéros 3654, 4286, 4598.

  
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