성경

 

Jérémie 51:37

공부

       

37 Et Babylone sera réduite en monceaux, en demeure de dragons, en étonnement, et en opprobre, sans que personne [y] habite.

스웨덴보그의 저서에서

 

L’Apocalypse Révélée #717

해당 구절 연구하기

  
/ 962  
  

717. Chapitre 17.

1. Et vint un des sept Anges qui avaient les sept fioles, et il me parla me disant : Viens, je te montrerai le jugement de la Prostituée grande, qui est assise sur les eaux abondantes.

2. Avec laquelle ont commis scortation les Rois de la terre et se sont enivrés du vin de sa scortation les habitants de la terre.

3. Et il m'emporta dans 'un désert en esprit et je vis une Femme assise sur une Bête écarlate, pleine de noms de blasphème ayant sept têtes, et dix cornes.

4. Et la Femme était revêtue de pourpre et d'écarlate et parée d'or et de pierres précieuses et de perles ayant en sa main une coupe d'or pleine d'abominations et d'impureté de sa scortation.

5. Et, sur son front, un Nom écrit : Mystère ; Babylone la grande, la mère des scortations et des abominations de ta terre.

6. Et je vis la Femme ivre du sang des saints, et du sang des témoins de Jésus et je fus étonné, en la voyant, d'un étonnement grand.

7. Et l'Ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Moi, je te dirai le mystère de la Femme et de la Bête qui la porte, ayant les sept tôles et les dix cornes.

8. La Bête, que lu as vue, était et n'est pas et elle doit monter de l'abîme, et à perdition s'en aller et s'étonneront ceux qui habitent sur la terre, desquels n'ont point été écrits les noms dans le Livre de vie dès la fondation du monde, en voyant la Bête qui était et n'est pas, et cependant elle est.

9. Ici l'entendement, à qui a de la sagesse.

10. Et sept Dois ce sont cinq sont lombes, et l'un est, et l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, peu de temps il faut qu'il demeure.

11. Et la Bête, qui était et n'est pas, elle-même huitième elle est ; et des sept elle est, et à perdition clic s'en va.

12. Et les dix cornes, que tu as vues, dix Rois ce sont, qui Royauté n'ont pas encore reçu mais pouvoir comme Rois une seule heure ils reçoivent avec la Bête.

13. Ceux-ci, même sentiment ils ont, et leur puissance et leur pouvoir à la Bête ils donneront ceux—ci contrel 'Agneaucontbattront, mais l'A gneau les vaincra, parce que Seigneur des seigneurs il est, et Roi des rois et ceux avec Lui, des appelés, des élus et des fidèles (ils sont).

15. Et il me dit : lœs eaux, que tu as vues, où la Prostituée est assise, peuples et foules ce sont, et nations et langues.

16. Et les dix Cornes que tu as vues sur la Bête, ceux-ci haïront la Prostituée et désolée ils la rendront, et mie et ses chairs ils mangeront, et ils la brûleront au feu.

17. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter sa sentence, et d'exécuter une même sentence, et de donner leur Royaume à la Bête jusqu'à ce que soient consommées les paroles de Dieu.

18. Et la Femme, que tu as vue, est la Ville grande ayant royauté sur les rois de la terre.

« Dans ce qui précède, depuis le Chapitre 7 jusqu'au Chapitre 16 inclusivement, il a été traité des Réformés ; maintenant, dans ce Chapitre et dans le suivant, il s'agit des Pontificaux, parmi lesquels ceux qui se sont arrogé le pouvoir n d'ouvrir et de fermer le Ciel sont entendus par la Babylonie ; ici donc il sera d'abord dit ce qui est spécialement entendu par la Babylonie. Par la Babylonie, ou par Babel, il est entendu l'Amour de dominer sur les choses saintes de l'Église d'après l'amour de soi ; et comme cet amour monte tant que la bride lui est lâchée, et que les choses saintes de l'Église sont aussi les choses saintes du Ciel, c'est pour cela que par la Babylonie ou Babel, il est signifié aussi la Domination sur le Ciel. Et comme cet Amour agit ainsi comme le Diable qui a des désirs semblables, il ne peut que profaner les choses saintes, en adultérant les biens et les vrais de la Parole ; c'est pourquoi, par laBabylonie, ou Babel, il est signifié aussi la Profanation de ce qui est saint, et l'adultération du bien et du vrai de la Parole : ce sont là les choses qui sont signifiées par Babylone ici dans l'Apocalypse, et par Babel - dans la Parole prophétique et historique, dans les passages suivants : Sur Babel : Voici, le jour de Jéhovah vient, cruel. Les étoiles des deux et leurs astres ne brilleront point de leur lumière ; obscurci sera le Soleil à son lever, et la Lune ne fera point resplendir sa lueur. Je ferai cesser l'arrogance des orgueilleux, et le faste des violents j'humilierai. Babel, ornement des royaumes, sera comme ta subversion de Dieu, Sodome et Gomorrhe ; là couclieront les jiim, et remplies seront leurs maisons d'ochim, et là habiteront les filles de la chouette, et les satyres y danseront ; les jiim répondront dans ses palais, et les dragons dans ses palais de délices. — Ésaïe 13:1, 9-10, 11, 14, 19, 21-22 ; — outre plusieurs autres choses dans tout ce Chapitre.

  
/ 962  
  

스웨덴보그의 저서에서

 

Arcanes Célestes #4823

해당 구절 연구하기

  
/ 10837  
  

4823. Et elle conçut encore, et elle enfanta un fils, signifie le mal : on le voit par la signification du fils, en ce qu'il est le vrai et aussi le bien, numéro 264, ainsi dans le sens opposé le faux et aussi le mal, mais le mal qui provient du faux ; ce mal dans son essence est le faux, parce que c'est de là qu'il vient ; car celui qui fait le mal d'après un faux doctrinal, fait le faux, mais comme ce faux est mis en acte, il est appelé le mal. Si le premier-né signifie le faux, et si le second fils signifie le mal, il est évident que c'est parce qu'il est dit de ce second fils, qu'il fit le mal par l'acte, à savoir,

« qu'il perdait la semence à terre, afin de ne point donner semence à son frère ; et fut un mal aux yeux de Jéhovah ce qu'il faisait ; et mourir aussi il le fit. » - Vers. 9, 10 ; que ce mal soit provenu du faux, on le voit encore là clairement ; en outre, dans les Églises anciennes le second fils signifiait le vrai de la foi par l'acte ; par lui est donc signifié le faux par l'acte, c'est-à-dire le mal ; que ce soit le mal qui est signifié par lui, on peut encore le voir en ce que le premier-né, Er, fut nommé par le père ou Jehudah, tandis que celui-ci, ou Onan, fut nommé par la mère fille de Schua, comme cela peut être vu dans la Langue originale ; car, dans la Parole, l'homme (vir) signifie le faux, et la femme le mal de ce faux, voir, numéro 915, 2517, 4510, et la fille de Schua signifie le mal, numéro 4818, 4819 ; en conséquence, parce que Er a été nommé par le père il signifie le faux, et parce que Onan a été nommé par la mère, il signifie le mal, car le premier était ainsi comme fils du père, et le second comme fils de la mère. Dans la Parole, il est souvent dit l'Homme (Vir) et l'Épouse, et aussi le mari et l' épouse, quand il est dit l'homme et l'épouse, le vrai est signifié par l'Homme et le bien par l'Épouse, et dans le sens opposé le faux par l'homme et le mal par l'épouse ; mais quand il est dit le mari et l'épouse, le bien est signifié par le mari et le vrai par l'épouse, et dans le sens opposé le mal par le mari et le faux par l'épouse ; voici la raison de cet arcane.

Dans l'Église céleste, le mari était dans le bien, et l'épouse dans le vrai de ce bien ; mais dans l'Église spirituelle, l'homme (vir) est dans le vrai, et l'épouse dans le bien de ce vrai, et aussi en actualité ils sont ainsi et ils ont été ainsi, car les intérieurs chez l'homme ont eu ce renversement ; c'est de là que, dans la Parole, quand il s'agit du bien céleste et du vrai céleste qui en procède il y est dit le mari et l'épouse, et quand il s'agit du bien spirituel et du vrai spirituel qui en procède il y est dit l'homme (vir) et l'épouse, ou plutôt l'homme et la femme ; il en résulte qu'on connaît aussi par ces expressions mêmes de quel bien et de quel vrai il s'agit dans la Parole dans son sens interne ; c'est aussi pour cela qu'il a été dit ci-dessus, çà et là, que les mariages représentent la conjonction du bien avec le vrai, et du vrai avec le bien ; l'amour conjugal tire aussi son origine de cette conjonction, l'amour conjugal chez les célestes, de la conjonction du bien avec le vrai, et l'amour conjugal chez les spirituels, de la conjonction du vrai avec le bien ; les mariages aussi correspondent en actualité à ces conjonctions. D'après ces explications, on voit clairement ce qui est enveloppé par cela que le père a nommé le premier fils, et la mère le second et aussi le troisième, comme il est constant d'après la Langue originale, à savoir, que le père a nommé le premier, parce que par lui était signifié le faux, et la mère le second parce que par lui était signifié le mal.

  
/ 10837