성경

 

Jérémie 51:13

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13 Tu étais assise sur plusieurs eaux, abondante en trésors; ta fin est venue, et le comble de ton gain déshonnête.

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L’Apocalypse Révélée #717

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717. Chapitre 17.

1. Et vint un des sept Anges qui avaient les sept fioles, et il me parla me disant : Viens, je te montrerai le jugement de la Prostituée grande, qui est assise sur les eaux abondantes.

2. Avec laquelle ont commis scortation les Rois de la terre et se sont enivrés du vin de sa scortation les habitants de la terre.

3. Et il m'emporta dans 'un désert en esprit et je vis une Femme assise sur une Bête écarlate, pleine de noms de blasphème ayant sept têtes, et dix cornes.

4. Et la Femme était revêtue de pourpre et d'écarlate et parée d'or et de pierres précieuses et de perles ayant en sa main une coupe d'or pleine d'abominations et d'impureté de sa scortation.

5. Et, sur son front, un Nom écrit : Mystère ; Babylone la grande, la mère des scortations et des abominations de ta terre.

6. Et je vis la Femme ivre du sang des saints, et du sang des témoins de Jésus et je fus étonné, en la voyant, d'un étonnement grand.

7. Et l'Ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Moi, je te dirai le mystère de la Femme et de la Bête qui la porte, ayant les sept tôles et les dix cornes.

8. La Bête, que lu as vue, était et n'est pas et elle doit monter de l'abîme, et à perdition s'en aller et s'étonneront ceux qui habitent sur la terre, desquels n'ont point été écrits les noms dans le Livre de vie dès la fondation du monde, en voyant la Bête qui était et n'est pas, et cependant elle est.

9. Ici l'entendement, à qui a de la sagesse.

10. Et sept Dois ce sont cinq sont lombes, et l'un est, et l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, peu de temps il faut qu'il demeure.

11. Et la Bête, qui était et n'est pas, elle-même huitième elle est ; et des sept elle est, et à perdition clic s'en va.

12. Et les dix cornes, que tu as vues, dix Rois ce sont, qui Royauté n'ont pas encore reçu mais pouvoir comme Rois une seule heure ils reçoivent avec la Bête.

13. Ceux-ci, même sentiment ils ont, et leur puissance et leur pouvoir à la Bête ils donneront ceux—ci contrel 'Agneaucontbattront, mais l'A gneau les vaincra, parce que Seigneur des seigneurs il est, et Roi des rois et ceux avec Lui, des appelés, des élus et des fidèles (ils sont).

15. Et il me dit : lœs eaux, que tu as vues, où la Prostituée est assise, peuples et foules ce sont, et nations et langues.

16. Et les dix Cornes que tu as vues sur la Bête, ceux-ci haïront la Prostituée et désolée ils la rendront, et mie et ses chairs ils mangeront, et ils la brûleront au feu.

17. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter sa sentence, et d'exécuter une même sentence, et de donner leur Royaume à la Bête jusqu'à ce que soient consommées les paroles de Dieu.

18. Et la Femme, que tu as vue, est la Ville grande ayant royauté sur les rois de la terre.

« Dans ce qui précède, depuis le Chapitre 7 jusqu'au Chapitre 16 inclusivement, il a été traité des Réformés ; maintenant, dans ce Chapitre et dans le suivant, il s'agit des Pontificaux, parmi lesquels ceux qui se sont arrogé le pouvoir n d'ouvrir et de fermer le Ciel sont entendus par la Babylonie ; ici donc il sera d'abord dit ce qui est spécialement entendu par la Babylonie. Par la Babylonie, ou par Babel, il est entendu l'Amour de dominer sur les choses saintes de l'Église d'après l'amour de soi ; et comme cet amour monte tant que la bride lui est lâchée, et que les choses saintes de l'Église sont aussi les choses saintes du Ciel, c'est pour cela que par la Babylonie ou Babel, il est signifié aussi la Domination sur le Ciel. Et comme cet Amour agit ainsi comme le Diable qui a des désirs semblables, il ne peut que profaner les choses saintes, en adultérant les biens et les vrais de la Parole ; c'est pourquoi, par laBabylonie, ou Babel, il est signifié aussi la Profanation de ce qui est saint, et l'adultération du bien et du vrai de la Parole : ce sont là les choses qui sont signifiées par Babylone ici dans l'Apocalypse, et par Babel - dans la Parole prophétique et historique, dans les passages suivants : Sur Babel : Voici, le jour de Jéhovah vient, cruel. Les étoiles des deux et leurs astres ne brilleront point de leur lumière ; obscurci sera le Soleil à son lever, et la Lune ne fera point resplendir sa lueur. Je ferai cesser l'arrogance des orgueilleux, et le faste des violents j'humilierai. Babel, ornement des royaumes, sera comme ta subversion de Dieu, Sodome et Gomorrhe ; là couclieront les jiim, et remplies seront leurs maisons d'ochim, et là habiteront les filles de la chouette, et les satyres y danseront ; les jiim répondront dans ses palais, et les dragons dans ses palais de délices. — Ésaïe 13:1, 9-10, 11, 14, 19, 21-22 ; — outre plusieurs autres choses dans tout ce Chapitre.

  
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Arcanes Célestes #8812

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8812. Quand était le matin, signifie l'état quand on est dans le bien : on le voit par la signification du matin, en ce que c'est l'état du bien de l'amour, numéro 8426. Par cela que Jéhovah, c'est-à-dire, le Seigneur, descendit sur la montagne de Sinaï le troisième jour, et même le matin de ce jour, il est bien évident que c'était le représentatif d'une chose Divine dans le, ciel, laquelle ne peut parvenir à la connaissance de qui que ce soit, que d'après la correspondance des choses qui existent dans le monde naturel avec celles qui existent dans le monde spirituel, et d'après la signification qui en résulte ; par exemple, ici, ce que c'est que le matin, et ce que c'est que le troisième jour : que le troisième jour soit la fin de l'état antérieur, c'est parce que trois signifie le plein depuis le commencement jusqu'à la fin, numéro 8790 ; et que le matin soit l'état du bien de l'amour, c'est parce que le Soleil, qui dans l'autre vie donne la lumière aux anges et à tout le ciel, est le Seigneur, et que là le feu est son Divin amour ; qui donne la chaleur de la vie à tout ce qui est vivant, et que la lumière est le Divin Vrai qui éclaire tous gmx qui le reçoivent ; tout autrement que le Soleil du monde, dont le feu est feu et n'est pas l'amour, et dont la lumière est lumière et n'est pas le vrai ; d'après cela, on peut voir quels sont les effets du feu et de la lumière provenant du soleil du monde, et quels sont les effets du feu et de la lumière provenant du soleil du ciel, savoir, que de celui-là il provient une chaleur et une lumière sans vie, et que de celui-ci il provient une chaleur et une lumière avec vie ; celles-ci, savoir, la chaleur et la lumière qui proviennent du soleil, du ciel, sont en conséquence appelées spirituelles, parce qu'elles ont en elles la vie ; et celles-là, qui proviennent du soleil dignonde, sont appelées naturelles, parce qu'elles n'ont pas en elles la vie ; la vie qui est aperçue dans la chaleur et d'après la chaleur dans les êtres vivants, ne vient pas de la chaleur du soleil du monde, mais elle vient de la chaleur du soleil du ciel ; quand cette chaleur influe dans la chaleur du monde, elle produit cet effet, et est sentie dans le corps comme chaleur élémentaire, mais c'est qu'en elle il y a la chaleur vitale qui tire son origine de l'amour, lequel est la chaleur provenant du soleil du ciel ; que l'origine de la chaleur de la vie soit autre part, et qu'elle soit dans l'amour et selon la quantité et la qualité de l'amour, chacun peut le savoir, pourvu qu'il veuille réfléchir convenablement, excepté ceux qui ne reconnaissent aucun interne dans l'homme et qui attribuent toutes choses à la nature. Puis donc que la chaleur provenant du soleil du ciel, qui est le Seigneur, est le bien de l'amour, et que la lumière qui en émane est le vrai de la foi, on peut voir ce qui est signifié par le matin, et ce qui est signifié par midi, par le soir et par la nuit dans l'autre vie, c'est-à-dire que ce sont les états du bien et du vrai ou de l'amour et de la foi, le matin l'état du bien de l'amour, midi l'état du vrai de la foi, et le soir et la nuit la privation de ce bien et de ce vrai, c'est-à-dire, l'ignorance et l'aveuglement dans les choses qui appartiennent à la foi, puis l'engourdissement et le froid dans celles qui appartiennent à l'amour céleste. En outre, il en est du soleil du ciel comme du soleil du monde, il est immobile, et il ne fait pas ces états par des circonvolutions, mais ce sont les choses à l'entour qui font ces états, comme la terre fait les saisons et les temps du jour en tournant autour du soleil et en même temps autour de son axe ; de là des apparences comme si ces changements existaient d'après le soleil , et cependant ce n'est pas d'après le soleil, mais c'est d'après le mouvement circulaire autour du soleil ; de même aussi dans le ciel, là les changements d'état auxquels correspondent le matin, midi, le soir, la nuit, n'existent pas d'après le soleil du ciel, car le soleil envoie toujours la chaleur et la lumière, c'est-à-dire, le bien qui appartient à l'amour et le vrai qui appartient à la foi, mais ces changements existent chez ceux qui reçoivent ; savoir, chez les anges et chez les esprits qui, par des alternatives déterminées selon la vie, sont tantôt au matin, c'est-à-dire, dans le bien de l'amour ; tantôt à midi, c'est-à-dire, dans le vrai de la foi ; tantôt au soir et dans la nuit, c'est-à-dire, dans l'ombre et dans l'engourdissement quant à ce vrai et à ce bien. Si la chose se passe de la même manière dans le monde et dans le ciel, avec cette différence que dans le monde ce sont les états du temps qui se succèdent ainsi, et que dans le ciel ce sont les états de la vie, c'est parce que toutes les choses qui sont dans le monde ont été créées à l'image de celles qui sont dans le ciel, car les naturels existent d'après les spirituels comme les effets d'après leurs causes ; c'est de là qu'il y a correspondance de toutes les choses qui sont dans le monde avec celles qui sont dans le ciel, et que par suite toute la nature est le théâtre représentatif du Royaume du Seigneur, numéros 3483, 4939, 8211.

  
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