La Bibbia

 

Amos 1:3

Studio

       

3 Ainsi a dit l'Eternel : à cause de trois crimes de Damas, même à cause de quatre, je ne rappellerai point cela, [mais je le ferai] parce qu'ils ont froissé Galaad avec des herses de fer.

Commento

 

Damascus

  

In Genesis 14:15, Damascus, being the chief city of Syria, signifies knowledge of good and truth. (Arcana Coelestia 1715)

In Ezekiel 27:18, this signifies external knowledge. (Apocalypse Explained 376[18])

In Isaiah 17:3, this signifies people who value religion for knowing only external things. (The Inner Meaning of the Prophets and Psalms 17)

Damascus and Aroer (Isaiah 17:1, 2) signify knowledge of truth and good. See Eliezer of Damascus.

(Riferimenti: Apocalypse Explained 911)

Dalle opere di Swedenborg

 

Arcanes Célestes #3494

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3494. Et il appela Esaü son fils aîné, signifie l'affection du bien du naturel ou le bien de la vie : on le voit par la représentation d'Esaü, en ce qu'il est le Divin bien du Naturel, numéros 3300, 3302, 3322 ; et comme c'est le bien du naturel qui se manifeste dans l'affection et dans la vie, c'est par conséquent l'affection du bien du naturel ou le bien de la vie, qui est représenté ici par Esaü. L'affection du bien dans le Naturel, et par suite le bien de la vie, est ce qui est appelé le fils aîné ; mais l'affection du vrai, et par suite la doctrine du vrai, est ce qui appelé le fils cadet. Que l'affection du bien, et par suite le bien de la vie, soit le fils aîné, c'est-à-dire, le premier-né, on le voit d'une manière manifeste en ce que les petits enfants, avant toutes choses sont dans le bien, car ils sont dans l'état de l'innocence, dans l'état de l'amour envers leurs parents et leur nourrice, et dans l'état de la charité mutuelle envers les petits enfants leurs camarades, de sorte que pour chaque homme le bien est le premier-né ; ce bien, dans lequel l'homme a été ainsi initié étant enfant, reste ; car tout ce qui est imbu dès l'enfance se revêt de la vie, et comme ce bien reste, il devient le bien de la vie : en effet, si l'homme était sans un tel bien qu'il a emporté de l'enfance avec lui, il ne serait pas homme, mais il serait plus féroce qu'une bête des bois : à la vérité, il ne semble pas que ce bien soit présent, parce que tout ce dont on est imbu dans l'âge de l'enfance, ne paraît pas autrement que comme naturel, ainsi qu'on le voit assez clairement par la marche, par les autres mouvements du corps, par les mœurs et les bienséances de la vie civile, enfin par le langage et par plusieurs autres choses ; par là il devient évident que le bien est le fils aîné, c'est-à-dire le premier-né, et que par suite le Vrai est le fils cadet, ou le puîné, car le vrai n'est appris que dans l'âge de la seconde enfance, de l'adolescence et dans l'âge adulte. L'un et l'autre, tant le bien que le vrai dans l'homme Naturel et Externe, est un fils, savoir, un fils de l'homme Rationnel ou Interne, car tout ce qui existe dans l'homme Naturel ou Externe influe de l'homme Rationnel ou Interne, et de là aussi existe et naît ; ce qui n'existe ni ne naît de là, n'est pas un humain vivant, ce serait comme si on disait le sensuel corporel sans âme : c'est de là que tant le bien que le vrai sont appelés fils, et même fils du Rationnel ; néanmoins ce n'est pas le Rationnel qui produit et engendre le Naturel, mais c'est l'influx par le Rationnel dans le Naturel, influx qui vient du Seigneur ; de là sont fils du Seigneur tous les Enfants qui naissent ; et ensuite quand ils deviennent sages, autant ils sont aussi en même temps enfants, c'est-à-dire dans l'innocence de l'enfance, dans l'amour de l'enfance pour le père, qui est alors le Seigneur, et dans la charité mutuelle de l'enfance envers les autres petits enfants, qui sont alors le prochain, autant ils sont adoptés pour fils par le Seigneur.

  
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