Des oeuvres de Swedenborg

 

Brève Explication de la Doctrine de l'Église Nouvelle #1

Étudier ce passage

  
/ 120  
  

Résumés en exposition de la doctrine de l’Église Nouvelle, qui doit être compris par la Nouvelle Jérusalem dans l’Apocalypse

1. Après avoir publié dans l’espace de peu d’années quelques Ouvrages et quelques Opuscules sur la NOUVELLE JERUSALEM, par laquelle est entendue la Nouvelle Eglise qui doit être instaurée par le Seigneur, et après que l’Apocalypse eut été révélée, je formai le dessein de mettre au jour la Doctrine de cette Eglise dans sa plénitude, ainsi la doctrine entière; mais, comme c’est un travail qui exigera quelques années, j’ai pris la résolution d’en présenter une sorte d’Esquisse (Sciagraphie), afin qu’on ait d’abord une idée générale de cette Eglise et de sa Doctrine, puisque, quand les notions communes précèdent toutes les choses, en général et en particulier, qui sont comprises dans leur étendue, apparaissent ensuite dans la lumière, car elles entrent dans les notions communes comme des homogènes dans leurs réceptacles. Toutefois, cet Abrégé n’est pas soumis aux jugements pour la discussion, mais il est seulement communiqué pour la connaissance du sujet, attendu que tout le contenu en sera pleinement démontré dans l’ouvrage même. 1 Mais comme il sera, dans la suite, traité des Discordances entre les dogmes de l’Eglise d’aujourd’hui et ceux de la Nouvelle Eglise je vais d’abord présenter les Doctrinaux d’aujourd’hui sur la Justification.

Notes de bas de page:

1. Swedenborg, né en 1686, était dans sa quatre-vingt-deuxième année 1769 quand il publia cet Abrégé. L’Ouvrage dont il est ici parle, à savoir LA VRAIE RELIGION CHRETIENNE, contenant la Théologie Universelle de la Nouvelle Eglise, a été mis sous la presse environ deux ans après; Swedenborg était alors dans sa quatre-vingt-quatrième année, et il quitta notre monde au commencement de 1772, peu de temps après la publication de cet important Traité.

  
/ 120  
  

Thanks to L'Eglise Générale de la Nouvelle Jérusalem de Côte d'Ivoire for their permission to use the scanned and corrected text of this French translation.

Le texte de la Bible

 

Apocalypse 21:19

Étudier

       

19 Les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de pierres précieuses de toute espèce: le premier fondement était de jaspe, le second de saphir, le troisième de calcédoine, le quatrième d'émeraude,

Des oeuvres de Swedenborg

 

Arcana Coelestia #3182

Étudier ce passage

  
/ 10837  
  

3182. 'They sent away Rebekah their sister' means separation from the affection for Divine truth. This is clear from the meaning of 'sending away' as being separated, and from the representation of 'Rebekah their sister' as the affection for Divine truth, dealt with above in 3077, 3179 - 'a sister' meaning truth, see 1495, 2508, 2524, 2556, 3160. What is implied here may be seen from what has been stated and shown above in this chapter; yet to make it even clearer let a further brief comment be made about it. When truth that is to be introduced and joined to good is raised up from the natural it is separated from things present in the natural. That separation is what is meant by 'they sent away Rebekah their sister'. The separation takes place when the person looks no longer from truth to good but from good to truth, or what amounts to the same, when he looks no longer from doctrine to life but from life to doctrine - as the following example shows: Doctrine teaches the truth that no one is to be hated, for anyone who hates another slays him every moment. In his earliest years a person scarcely recognizes this, but as he grows older, if he is being reformed he places it among those matters of doctrine which ought to be matters of life. At length he lives according to that truth, in which case he no longer thinks from doctrine but acts from life. When that happens this truth of doctrine is raised up from the natural, indeed it is separated from the natural, and is implanted within good in the rational. Once this has happened he no longer permits the natural man to voice any doubt about it by means of any captious argument existing there; indeed he does not allow the natural man to reason against it at all.

  
/ 10837  
  

Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.