Библията

 

Jérémie 51:39

Проучване

       

39 Je les ferai échauffer dans leurs festins, et les enivrerai, afin qu'ils se réjouissent, et qu'ils dorment d'un sommeil perpétuel, et qu'ils ne se réveillent plus, dit l'Eternel.

От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #9496

Проучете този пасаж

  
/ 10837  
  

9496. Et tu feras les barres de bois de Schittim, signifie la puissance qui en provient : on le voit par la signification des barres, en ce qu'elles sont la puissance qui appartient au vrai d'après le bien, ainsi qu'il va être exposé ; et par la signification des bois de Schittim, en ce que c'est le bien du Mérite qui appartient au Seigneur seul, numéros 9472, 9486. Ici, maintenant, il faut dire d'où vient que par l'Arche et par l'Habitacle a pu être Représenté le Ciel, et alors par la bordure de l'arche la limite, par les angles la fermeté, par les anneaux la conjonction du bien avec le vrai, et par les barres la puissance : Il a été montré que toute la nature, conséquemment toutes et chacune des choses qui y sont dans l'ordre, sont des représentatifs du Royaume du Seigneur, c'est-à-dire, du ciel et des célestes qui y sont, numéro 9280 ; il a aussi été montré que tout le ciel ressemble à un seul homme, et que c'est pour cela que le ciel a été appelé le Très-Grand Homme, numéro 9276 (fin). ; il s'ensuit donc que toutes les formes, par lesquelles sont représentés les célestes, se réfèrent à la forme humaine, et signifient selon la conformité avec elle : de là, maintenant, on voit clairement pourquoi, lorsque l'Arche signifie le ciel où est le Seigneur, la bordure de l'arche signifie la limite, les côtés le bien avec lequel doit être conjoint le vrai, les angles la fermeté, les anneaux la conjonction elle-même, et les barres la puissance ; en effet, les barres se réfèrent aux bras chez l'homme, et signifient par conséquent la même chose que les bras ; les anneaux se réfèrent, aux ginglymes ou emboitures où se fait la conjonction des bras avec la poitrine ; les angles, aux éminences elles-mêmes où est cette conjonction ; les côtés, à la partie pectorale ou thoracique ; la bordure, à la circonférence dans laquelle est la limite ; par là on peut voir que les barres signifient, comme les bras, la puissance ; car les bras et les mains sont la puissance, numéros 878, , 5327, 5328, 6292, 6947, 7188, 7189, 7205, 7518, 7673, 8050, 8153, 8281, 9025, 9133 ; et que les côtés signifient la même chose que la partie pectorale ou thoracique du corps, à savoir, le bien, car il y a là le cœur et le poumon, et le cœur signifie le bien céleste, et le poumon le bien spirituel, numéros , 9300 ; d'où il est évident que les anneaux signifient la même chose que les ginglymes ou jointures de la poitrine avec les épaules et des épaules avec les bras, à savoir, la conjonction du bien avec le vrai ; et que les angles signifient la fermeté, car là se développe la force du corps, qui manifeste sa force et sa puissance par les bras : par là on peut voir d'où vient que les formes naturelles non-vives représentent les mêmes choses que les formes vives ou que les formes dans le corps humain, à savoir, que cela vient de ce que le ciel ressemble à un seul homme, et que les choses qui sont dans le ciel ressemblent à celles qui sont chez l'homme, ainsi que cela devient évident d'après ce qui a été amplement montré sur la Correspondance de l'homme avec le Très-Grand Homme, voir les endroits cités numéro 9276. Comme les barres par lesquelles on portait l'arche signifiaient la puissance, de même aussi les barres par lesquelles on affermissait les portes des villes, ainsi qu'on le voit par les passages suivants ; dans Osée :

« L'épée tombera dans ses villes, et consumera ses barres. » - Osée 11:6 ;

L'épée, c'est le vrai qui combat contre le faux ; les villes sont les doctrinaux ; les barres sont la puissance.

Dans Ésaïe :

« A cause de vous j'ai envoyé dans Babel, et je renverserai toutes les barres. » - Ésaïe 43:14.

Dans Jérémie :

« Les forts de Babel sont assis dans les remparts, à l'oubli a été livrée leur puissance ; brisées ont été ses barres. » - Jérémie 51:30.

Dans Amos :

« Je briserai la barre de Damas. " - Amos 1:5.

Dans Ésaïe :

« Les portes d'airain je briserai, et les barres de fer je romprai. » - Ésaïe 45:2 :

Pareillement dans David : - Psaumes 107:16.

Dans Jérémie :

« Ni portes, ni barres pour eux, solitaires ils habitent. » - Jérémie 49:31.

Dans Ézéchiel :

« Tous habitent sans muraille ; ni barres ni portes pour eux. » - Ézéchiel 38:11.

Dans Jérémie :

« Enfoncées en terre ont été ses portes, il a détruit et brisé ses barres. “ - Lamentations Jérémie 2:9.

Dans David :

« Loue, Sion, ton Dieu, car il renforce les barres de tes portes. » - Psaumes 147:13 ;

Dans ces passages, les villes signifient les doctrinaux, numéros 2449, 2712, 3216, 4492, 4493 ; les portes la fermeté et la défense, et les barres la puissance qui appartient au vrai d'après le bien ; que toute puissance appartienne au vrai, mais au vrai qui provient du bien, on le voit, numéros 6344, 6423, 8200, 8304, 9133, 9327, 9410.

  
/ 10837  
  

От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #7131

Проучете този пасаж

  
/ 10837  
  

7131. Pour ramasser des brins pour paille, signifie pour trouver quelque vrai scientifique : on le voit par la signification des brins pour paille, en ce que c'est le vrai scientifique ; en effet, les brins sont un tel vrai qui a été approprié au scientifique que la paille signifie ; que les brins soient un tel vrai, c'est parce qu'ils sont des tuyaux au sommet desquels est la semence, et que les semences dans la Parole signifient les vrais et les biens ; ainsi le tuyau, qui est sous les semences, signifie le vase commun du vrai, par conséquent le vrai scientifique ; car les scientifiques de la foi et de la charité sont à la vérité des vrais, mais des vrais communs, ainsi des vases récipients des vrais particuliers et singuliers ; c'est même ce que chacun peut voir ; par exemple : c'est un Vrai scientifique, que la Charité envers le prochain est l'essentiel de l'Église ; puis, que la foi ne peut exister que là où il y a la charité ; comme aussi, que le vrai et le bien peuvent être conjoints, mais que le vrai et le mal ne peuvent l'être, non plus que le bien et le faux ; outre plusieurs autres propositions semblables, qui sont des vrais scientifiques ; que ces vrais puissent être enrichis de vrais innombrables, il est facile de le voir en ce qu'on peut écrire des volumes sur chacun d'eux ; et cependant les vrais singuliers, qui sont les vrais intérieurs de la foi ne peuvent jamais être décrits, car ils ne peuvent être vus que dans la lumière du Ciel, et ne tombent point dans les mots naturels ; il en est de ces vrais comme de la charité, qui est une affection spirituelle, laquelle, quant à la plus grande partie, ne peut être exprimée par des mots, excepté ce qu'elle a de plus commun, c'est-à-dire, ce qui se revêt d'un dehors naturel et qu'on peut comparer à des choses qui sont dans le monde : ces détails ont été donnés, afin qu'on sache ce que c'est que les scientifiques communs.

  
/ 10837