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Jérémie 51:24

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24 Mais je rendrai à Babylone, et à tous les habitants de la Caldée, tout le mal qu'ils ont fait à Sion, vous le voyant, dit l'Eternel.

От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #10042

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10042. Et l'un des béliers lu prendras, signifie le bien de l'innocence dans l'homme interne : on le voit par la signification du bélier, en ce qu'il est le bien de l'innocence dans l'homme interne, ainsi qu'il va être montré. Comme dans ce Chapitre il s'agit de sacrifices et d'holocaustes de béliers et d'agneaux, il sera dit ce qu'ont signifié les animaux en général qui étaient offerts en sacrifices et en holocaustes : ces animaux étaient des Bœufs, des Taureaux, des Boucs, des Béliers, des Chèvres et des Chevreaux, des Agneaux, des Agnelles, et des Chevrettes de chèvres : celui qui ne sait pas ce que ces animaux signifient ne peut nullement savoir ce que signifient les Sacrifices et les Holocaustes faits avec chacune de ces espèces ; il faut qu'on sache que tous les animaux, qui sont dans les terres, signifient des choses qui sont chez l'homme, lesquelles se réfèrent en général aux affections qui appartiennent à sa volonté, et aux pensées qui appartiennent à son entendement, ainsi aux biens et aux vrais, car les biens appartiennent à la volonté, elles vrais appartiennent à l'entendement ; et comme elles se réfèrent aux biens et aux vrais, elles se réfèrent aussi à l'amour et à la foi, car toutes .les choses qui appartiennent à l'amour sont appelées biens, et toutes celles qui appartiennent à la foi sont appelées vrais. Si les animaux de divers genre signifient de telles choses, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie ; là apparaissent des animaux de plusieurs genres et d'espèces innombrables ; ces animaux y sont des apparences tout-à-fait frappantes (ad vivum) correspondant aux affections et aux pensées qui sont chez les Esprits et chez les Anges : qu'il en soit ainsi, on peut môme le voir par les visions prophétiques rapportées çà et là dans la Parole ; en effet, toutes les choses qui ont été vues par les prophètes sont de celles qui apparaissent devant les anges dans le ciel : c'est de là qu'il est si souvent parlé de bêtes dans la Parole, et que cha- » que bête signifie quelque chose qui se réfère à des affections ou à des pensées qui sont chez l'homme ; l'homme, quant à son homme externe, n'est autre chose qu'un animal, mais il en est distingué par son homme interne, en ce que son homme interne et son homme externe peuvent être élevés vers le ciel et jusqu'à Dieu, et par suite recevoir la foi et l'amour ; de là vient que des bêtes ont été employées dans les sacrifices et dans les holocaustes : celui qui ne sait pas ces choses ne peut nullement savoir pourquoi il a été ordonné d'offrir tantôt des Taureaux, des Béliers, des Agneaux, tantôt des Bœufs, des Chèvres et des Agnelles, tantôt des Boucs, des Chevreaux et des Chevrettes de chèvres ; autrement, à quoi bon tout cela ? Que les bêtes dans la Parole signifient les biens et les maux chez l'homme, comme aussi les vrais et les faux, on le voit, numéros 142, 143, 246, 714, 715, 776, 1823, 2179, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 ; et que ce soit à cause de cela qu'elles ont été employées dans les sacrifices, on le voit, numéros 1823, 2180, 2805, 2807, 2830, [Il manque du texte ici], , 923, 2165, 6905, 8680, 8936 ; que l'autel a été le principal représentatif du Seigneur, et par conséquent du culte, numéros 2777, 2811, 8935, 8940, 9388, 9389, 9714, 9964 ; que les Anciens avant Éber n'ont rien connu des sacrifices, numéro 2180 ; que depuis Éber, ainsi chez la nation des Hébreux, et par suite chez les descendants de Jacob, les sacrifices ont été institués, et pourquoi, numéros 1128, 1343, 2180, 2818 ; que les Sacrifices ont été non pas commandés mais permis, numéro 2180. 2, [Il manque du texte ici], ; ; , ,Lévitique , , Lévitique 5:6, 10, 13, 16, 18, , 19, 15:30, , ;

Le pardon des péchés, l'expiation, la propitiation, et la rédemption, ne sont pas non plus autre chose que la purification des maux et des faux, l'implantation du bien et du vrai, et leur conjonction, ainsi la régénération, numéros 9076, 9452, 9453, 9454, 9937, 9938 ; tout procédé de la Régénération est aussi décrit par chacun des rites de chaque Sacrifice et de chaque Holocauste, et se manifeste quand les représentatifs sont développés par le sens interne, numéro 10022. (2 bis.) Les Sacrifices et les Holocaustes dans le sens suprême signifient la Glorification de l'Humain du Seigneur : c'est parce que tous les rites du culte institués chez la Nation Israélite et Juive regardaient uniquement le Seigneur ; ainsi Le regardaient principalement les Sacrifices et les Holocaustes qui en général représentaient le tout du culte, comme il a été montré ci-dessus ; la Régénération de l'homme ne vient pas non plus d'autre part que du Seigneur, numéros 9506, 9715, 9486, 9487, 9809, 10019 ; c'est pourquoi, lorsque dans la Parole il s'agit de la régénération de l'homme, dans le sens suprême il s'agit de la glorification de l'Humain du Seigneur ; caria régénération de l'homme est l'image de la glorification du Seigneur, numéros 3138, 3212, 3296, 3490, 4402, 5688 ; Glorifier l'Humain, c'est le faire Divin ; régénérer l'homme, c'est le faire céleste, afin que le Divin du Seigneur puisse habiter en lui. , [Il manque du texte ici], 9992, 10005, 10017 ; et que pour être régénéré, l'homme doive être régénéré quant aux internes et quant aux externes, on le voit dans les articles cités, numéro 9325 (fin). Quant à ce qui est spécialement signifié par le Sacrifice et l'Holocauste du bélier, dont il s'agit dans ce Chapitre, on le voit par les passages de la Parole, où les sacrifices et les holocaustes du bélier sont décrits, et où le bélier est nommé ; d'après ces passages, il est évident que le bélier signifie le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme interne, et que le sacrifice et l'holocauste du bélier signifient la purification et la régénération de l'homme interne, ainsi l'implantation du bien de l'innocence et de la charité dans cet homme ; que ce soit là ce qui est signifié par le bélier, on le voit par les passages suivants ; dans Ésaïe :

« Tous les troupeaux de l'Arabie seront rassemblés pour toi, les béliers de Nébajoth seront à Ion service ; ils monteront à mon bon plaisir sur mon autel. » - Ésaïe 6.

Là, il s'agit du Seigneur, de son Ciel et de son Église ; les troupeaux de l'Arabie sont tous les biens de l'homme interne ; les béliers de Nébajoth sont les biens de l'innocence et de la charité dans cet homme ; on peut voir que les troupeaux sont les biens de l'homme interne, numéros 8937, 9135 ; que l'Arabie, c'est où est le bien, numéro 3268 ; et que Nébajoth, ce sont ceux qui dans l'homme interne sont dans ce bien, numéro ' 3268, 3686, 3688.

Dans Ézéchiel :

« L'Arabie et tous » les princes de Kédar, les marchands de ta main en petit bétail, et en béliers et en boucs. » - Ézéchiel 27:21.

Là, il s'agit de Tyr, par laquelle est signifiée l'Église où sont les connaissances du bien et du vrai, numéro 1201 ; les marchands sont ceux qui ont ces connaissances et qui les communiquent, numéros 2967, 4453 ; le petit bétail, ce sont les biens de l'amour ; les béliers sont les biens de la charité, et les boucs sont les biens de la foi ; dans la Parole il est parlé de menu bétail (grèges), de petit bétail (pecora), et de bétail (pecudes), qui dans la Langue originale sont distingués par leurs noms ; et par le menu bétail sost signifiés en général les internes, par le bétail les externes spécialement, et par te petit bétail les intimes spécialement ; mais par le gros bétail (armenta) sont signifiés les externes.

Dans Jérémie :

« Je les ferai descendre comme le petit bétail à la tuerie, comme les béliers avec les boucs. » - Jérémie 51:41.

Le petit bétail, les béliers et les boucs signifient ici les mêmes choses.

Dans Ézéchiel :

« Ainsi a dit le Seigneur Jéhovah : Voici, Moi, je juge entre bétail et bétail, entre les béliers et les boucs. " - Ézéchiel 34:17 ;

Entre bétail et bétail, c'est entre ceux qui dans les intérieurs sont bons, et ceux qui sont mauvais ; entre les béliers et les boucs, c'est entre ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, et ceux qui son dans les vrais de la foi sans la charité ; les béliers signifient ici la même chose que les brebis, car les béliers sont les mâles des brebis ; que les brebis soient ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, on le voit, numéros 4169, 4809 ; et que les boucs soient ceux qui sont dans les vrais, appelés vrais de la foi, sans la charité, on le voit, numéros 4169 (fin), 4769 ; les mêmes choses sont signifiées par le bélier et le bouc, dans Daniel 8 ; et aussi par les brebis et les boucs, dans Matthieu 25:32.

Dans Moïse :

« Si une âme a péché par erreur, elle apportera son délit à Jéhovah, un bélier sans défaut d'entre le menu bétail. " - Lévitique 5:15, 18, ;

Les sacrifices du bélier signifient la purification de l'homme interne et l'implantation du bien de l'innocence dans cet homme, car le péché par erreur est le péché provenant de l'ignorance dans laquelle est l'innocence, et l'innocence de l'ignorance appartient à l'homme interne.

Dans le Même :

« Dans les Nouvelles Lunes on offrait deux taureaux, un bélier et sept agneaux, et ensuite un bouc de chèvres. Pareillement chacun des jours de la Pâque : et pareillement le jour des prémices. » - Nombres 22:6, 15, 19, 22, 27 ;

C'était pour que fût représentée la purification de tout l'homme, tant de l'externe que de l'interne et de l'intime ; par le sacrifice et l'holocauste des taureaux, la purification de l'homme externe ; par celui du bélier, la purification de l'homme interne ; et par ceux des agneaux, la purification de l'homme intime ; et comme la purification était représentée, l'implantation du bien de l'innocence l'était aussi, car le taureau est le bien de l'innocence dans l'homme externe, le bélier dans l'homme interne, et l'agneau dans l'homme intime, ainsi qu'il a été dit ci-dessus ; si le bouc était sacrifié le dernier de tous, c'est parce que le bouc signifie le vrai de la foi dans l'homme externe, et que le vrai de la foi dans cet homme est le dernier, numéro 9959. Gomme les biens et les vrais chez l'homme se suivent dans cet ordre, c'est pour cela aussi que les présents des princes d'Israël, quand on oignait l'autel et la Tente de convention, étaient un Taureau, un Bélier et un Agneau en holocaustes, et un Bouc de chèvres en sacrifice, - Nombres , [Il manque du texte ici],

  
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Arcanes Célestes #8995

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8995. Si mauvaise elle est aux yeux de son maître, signifie si l'affection du vrai d'après le plaisir naturel ne concorde point avec le vrai spirituel : on le voit paT la signification de la servante, de laquelle il est dit qu'elle est mauvaise, en ce que c'est l'affection d'après le plaisir naturel, numéros 8993, ; et par la signification de mauvaise, quand cela est dit de cette affection respectivement au vrai spirituel, en ce que c'est ne point concorder, ainsi qu'il sera expliqué ; par la signification de aux yeux, en ce que c'est dans la perception, numéros 2829, 3529, 4083, 4339 ; et par la signification du maître, en ce qu'il est le vrai spirituel, numéro 8981. Il faut dire comment la chose se passe : Que la servante soit l'affection du vrai d'après les plaisirs de l'amour de soi ou de l'amour du monde, cela a déjà été dit, numéros 8993, 8994 ; et que cette affection puisse être conjointe au vrai spirituel, on peut le voir en ce que l'affection du vrai spirituel est une affection interne ou dans l'homme intérieur, et que l'affection du vrai d'après le plaisir naturel est dans l'homme externe ; l'affection interne, qui appartient à l'homme spirituel, est continuellement conjointe avec l'affection externe qui appartient à l'homme naturel, mais néanmoins de manière que l'affection interne du vrai domine et que l'affection externe serve ; car il est selon l'ordre Divin que l'homme spirituel domine sur l'homme naturel, numéros 8961, 8967 ; et quand l'homme spirituel domine, l'homme regarde en haut, ce qui est représenté par avoir la tête dans le ciel ; mais quand l'homme naturel domine, l'homme regarde en bas, ce qui est représenté par avoir la tête dans l'enfer ; pour que cela devienne plus clair, de plus amples explications vont être données : Par les vrais qu'ils apprennent et par les biens qu'ils font, la plupart des hommes pensent aussi au profit qui en résulte pour la patrie, ou à l'honneur ; mais si ces choses sont considérées comme fin, l'homme naturel domine, et l'homme spirituel sert ; si au contraire, elles sont considérées non pas comme fin, mais seulement comme moyens pour la fin, l'homme spirituel domine, et l'homme naturel sert, absolument selon ce qui a été dit, numéros 7819, 7820 ; car lorsqu'on regarde le profit ou l'honneur comme moyen pour la fin, et non comme fin, ce n'est pas le profil, ou l'honneur qu'on regarde, mais c'est la fin, laquelle est l'usage : par exemple, celui qui, désire des richesses et en acquiert pour l'usage qu'il aime par dessus toutes choses, se réjouit des richesses non pour les richesses mais pour les usages : les usages eux-mêmes font la vie spirituelle chez les hommes, et les richesses servent seulement de moyens, voir numéros . D'après cela, on peut voir quel doit être l'homme naturel, pour qu'il puisse être conjoint à l'homme spirituel, c'est-à-dire qu'il faut qu'il regarde les profits et les honneurs, par conséquent les richesses et les dignités, comme moyen et non comme fin ; en effet, ce que l'homme regarde chez lui comme fin, constitue sa vie même, puisque c'est là ce qu'il aime par dessus toutes choses, car on regarde comme fin ce qu'on aime. Celui qui ne sait pas que la fin , ou, ce qui est la même chose, celui qui ne sait pas que l'amour fait la vie spirituelle de l'homme, qu'ainsi l'homme est où est son amour, dans le ciel si l'amour est céleste, dans l'enfer si l'amour est infernal, ne peut comprendre comment ces choses se passent ; il peut croire que le plaisir des amours naturels, qui sont l'amour de soi et l'amour du monde, ne peut pas concorder avec le vrai et le bien spirituels ; car il ne sait pas que l'homme, quand il est régénéré, doit être entièrement retourné, que, quand il a été retourné, il est par la tête dans le ciel, tandis qu'avant d'avoir été retourné, il était par la tête dans l'enfer ; il était par la tête dans l'enfer quand il avait pour fin les plaisirs de l'amour de soi ou du monde, et il est par la tête dans le ciel quand il les a comme moyens pour la fin, car la fin, qui est l'amour, vit uniquement chez l'homme, tandis que les moyens pour la fin ne vivent pas par eux-mêmes, mais c'est de la fin qu'ils reçoivent la vie, de là les moyens d'après la fin dernière sont appelés fins moyennes ; autant celles-ci regardent la fin dernière, qui est la principale, autant elles vivent : de là vient que quand l'homme a été régénéré, consé-quemment quand il a pour fin d'aimer le prochain et d'aimer le Seigneur, il a pour moyens de s'aimer lui-même et d'aimer le monde ; quand l'homme est tel, lorsqu'il porte ses regards vers le Seigneur, il se considère comme rien, et il en est de même du monde, et s'il se regarde lui-même comme quelque chose, c'est afin de pouvoir servir le Seigneur ; mais auparavant il avait été l'opposé, quand il se regardait, il considérait le Seigneur comme rien, et s'il le regardait comme quelque chose, c'était pour en retirer profit et honneur. D'après cela, on peut voir quel arcane est caché dans ce quia été statué sur les servantes d'entre les filles d'Israël, savoir, en ce que, quoiqu'elles fussent en servitude, cependant, si elles étaient bonnes, elles étaient fiancées'au maître qui les avait achetées ou à son fils ; et que si elles étaient mauvaises, elles n'étaient pas fiancées, mais elles étaient ou rachetées ou vendues, selon ce qui est contenu dans ces Versets : Se fiancer aussi les servantes, ou les avoir pour concubines, avait été permis dans l'Église représentative, principalement dans l'Église Juive et Israélite, par la raison que l'épouse représentait l'affection du vrai spirituel, et la servante l'affection du vrai naturel, ainsi celle-là l'interne de l'Église chez l'homme, et celle-ci l'externe ; cet externe a été représenté par Hagar qu'Abraham se fiança, puis par les deux servantes qui furent fiancées à Jacob. D'après cela, on voit à présent ce qui est entendu dans le sens interne représentatif par la servante, si elle est mauvaise, au point qu'elle ne puisse être fiancée, c'est-à-dire que si l'affection d'après le plaisir naturel, qui est la servante, ne concorde point avec le spirituel, ce qui arrive principalement en ce qu'elle voulait dominer, et en ce qu'elle était de caractère et de cœur à ne pouvoir être amenée à aimer le Seigneur. De plus encore, la concordance ou la discordance de l'affection d'après le plaisir naturel avec le spirituel a lieu selon la qualité de l'un et de l'autre ; mais il serait trop long d'expliquer ce sujet dans ses détails. Que la servante soit aussi le médium affirmatif qui Sert à la con-jonction de l'homme Externe et de l'homme Interne, on le voit, numéros 3913, 3917, 3931.

  
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