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Jérémie 51:15

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15 C'est lui qui a fait la terre par sa vertu, et qui a rangé le monde habitable par sa sagesse, et qui a étendu les cieux par son intelligence.

От "Съчиненията на Сведенборг

 

L’Apocalypse Révélée #298

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298. Vers. 6:2. Et je vis, et voici, un Cheval blanc, signifie l'entendement du vrai et du bien d'après la Parole chez eux. Par le Cheval est signifié l'entendement de la Parole, et par le Cheval blanc l'entendement du vrai d'après la Parole, car le blanc se dit des vrais, No. 167. Que le Cheval signifie l'entendement de la Parole, cela a été montré dans un Opuscule particulier sur le cheval blanc ; mais comme il n'y a été rapporté que quelques passages, il en sera rapporté ici plusieurs pour confirmation ; cela est bien évident en ce que Jean vit des chevaux sortir du Livre que l'Agneau ouvrit, et que les Animaux disaient : Viens et vois ; car par les Animaux est signifiée la Parole, Nos. 239, 275, 286 ; par le Livre, pareillement, No. 256 ; et par le Fils de l'Homme, qui ici est l'Agneau, le Seigneur quant à la Parole, No. 44 : par là il est d'a bord évident que par le Cheval il n'est pas entendu ici autre chose que l'entendement de la Parole : on peut le voir plus manifestement par ces paroles plus loin dans l'Apocalypse :

— « Je vis le Ciel ouvert, et voici, un CHEVAL BLANC ; et celui qui était monté dessus est appelé la PAROLE DE DIEU. Et il a sur son vêtement et sur sa cuisse (ce) Nom écrit : Roi des Rois et Seigneur des Seigneurs. Et ses armées dans les Cieux Le suivaient sur des Chevaux blancs. » — Apocalypse 19:11, 13-14, 16.

— Que le Cheval signifie l'entendement de la Parole, on peut encore le voir par les passages suivants :

— « Est-ce que contre la mer est ton emportement, Jéhovah, que tu chevauches sur tes Chevaux ? Tes Chars (sont) le salut ; tu as foulé la mer avec tes Chevaux, le limon des eaux. » — Habacuc 3:8, 15.

— « Les sabots des Chevaux de Jéhovah comme le roc sont réputés. » — Ésaïe 5:28.

— « En ce jour-là, je frapperai tout Cheval de stupeur, et son Cavalier de fureur ; et tout Cheval des peuples je frapperai d'aveuglement. » — Zacharie 12:4.

— « En ce jour-là, il y aura sur les sonnettes du Cheval : Sainteté à Jéhovah. » — Zacharie 14:20.

— « Parce que Dieu lui a fait oublier la Sagesse, et ne lui a point départi l'intelligence, au temps où elle s'élève en haut, elle se moque du Cheval et de son Cavalier. » — Job 39:20, 21.

— « Je retrancherai le Cheval hors de Jérusalem ; au contraire, il parlera de paix aux nations. » — Zacharie 9:10.

— « Devant ta réprimande, Jéhovah, se sont endormis et le Char et le Cheval. » — Psaumes 76:6-7.

— « Je renverserai le Trône des royaumes, et je renverserai le Char et ceux qui le montent, et descendront les Chevaux et leurs Cavaliers. » — Haggée 2:22.

— « Je disperserai par Toi les royaumes, je disperserai par Toi le Cheval et son Cavalier. » — Jérémie 51:20-21.

— « Rassemblez-vous d'alentour sur mon sacrifice ; vous serez rassasiés sur ma table de Cheval et de Char ; ainsi je donnerai ma gloire parmi les nations. » — Ézéchiel 39:17, 20-21.

— « Assemblez-vous pour le grand Souper de Dieu, et vous mangerez chairs de Chevaux et de ceux qui les montent. » — Apocalypse 19:17-18.

— « Dan sera un aspic sur le sentier, qui mord les talons du Cheval, et tombera son Cavalier à la renverse. Ton salut j'attends, Jéhovah! » — Genèse 49:17-18.

— « Ceins ton épée, Homme Puissant! monte, Chevauche sur la Parole de vérité. » — Psaumes 45:5, 6.

— « Chantez à Dieu, exaltez Celui qui Chevauche sur les nuées. » — Psaumes 68:5.

— « Voici, Jéhovah Chevauchant sur une nuée, » — Ésaïe 19:1-2.

— « Psalmodiez au Seigneur qui Chevauche sur le Ciel du ciel d'antiquité. » — Psaumes 68:34.

— « Dieu Chevauchait sur un Chérubin. » — Psaumes 18:11.

— « Alors tu te réjouiras sur Jéhovah, et Chevaucher je te ferai sur les lieux élevés de la terre. » — Ésaïe 58:14.

— « Jéhovah seul l'a conduit, et Chevaucher il l'a fait sur les lieux élevés de la terre. » — Deutéronome 32:12-13.

— « Je ferai Chevaucher Éphraïm. » — Hosée 10:11.

Éphraïm aussi signifie l'entendement de la Parole. Comme Élie et Elisée représentaient le Seigneur quant à la Parole, c'est pour cela qu'ils ont été appelés Char d'Israël et ses Cavaliers ; Elisée dit à Élie :

— « Mon Père, mon Père, Char d'Israël et ses Cavaliers. » — 2 Rois 2:12.

— et le roi Joas dit à Elisée :

— « Mon Père, Char d'Israël et ses Cavaliers. » — 2 Rois 13:14.

— « Jéhovah ouvrit les yeux du serviteur d'Elisée, et il vit, et voici, la Montagne pleine de Chevaux et de Chars de feu au tour d'Elisée. » — 2 Rois 6:17.

— le Char signifie la doctrine d'après la Parole, et le Cavalier le sage par cette doctrine. De semblables choses sont signifiées par les quatre Chars sortant d'entre des montagnes d'airain, et par les quatre Chevaux attelés, qui étaient roux, noirs, blancs et tachetés, lesquels aussi sont appelés les quatre Vents, et sont dits être sortis d'où ils se tenaient près du Seigneur de toute la terre, — Zacharie 6:1 à 8, 15 :

— dans ces passages, par les Chevaux est signifié l'entendement de la Parole ou l'entendement du vrai d'après la Parole ; pareillement dans les autres passages. On peut encore le voir par les Chevaux nommés dans le sens opposé, où ils signifient l'entendement de la Parole et du vrai, falsifié par les raisonnements, et même entièrement détruit, puis aussi la propre intelligence, comme dans les passages suivants :

— « Malheur à ceux qui descendent en Égypte pour du secours, et sur des Chevaux s'appuient, et qui ne regardent point vers le Suint d'Israël', car l'Égypte (est) homme et non Dieu, et ses Chevaux chair et non esprit. » — Ésaïe 31:1, 3.

— « Tu établiras sur Israël un Roi qu'aura choisi Jéhovah ; seulement qu'il ne multiplie pas pour lui les Chevaux, et qu'il ne ramène pas le peuple en Égypte, pour multiplier les Chevaux. » — Deutéronome 17:14, 15, 16 ;

Ces choses ont été dites, parce que par l'Égypte il est signifié la science, et aussi le raisonnement d'après la propre intelligence ; de là la falsification du vrai de la Parole, qui ici est le Cheval.

— « Aschar ne nous sauvera point ; sur le Cheval nous ne Chevaucherons point. » — Hosée 14:4.

— « Ceux-ci (se glorifient) en Char et ceux-là en Chevaux, mais nous dans le Nom de notre Dieu nous nous glorifierons. » — Psaumes 20:8-9.

— « Mensonge, le Cheval, pour le salut. » — Psaumes 33:17.

— « Jéhovah dans la force du Cheval ne se délecte point. » — Psaumes 147:10.

— « Ainsi a dit le Saint d'Israël : Dans la confiance sera votre force ; mais vous avez dit : Non ; à Cheval nous nous enfuierons, et sur un Léger nous Chevaucherons. » — Ésaïe 30:15-16.

— « Jéhovah placera Jehudah comme un Cheval de gloire ; honteux seront ceux qui Chevauchent sur des Chevaux. » — Zacharie 10:3-4, 5.

— « Malheur à la ville de sangs, tout entière de mensonge pleine ; et Cheval hennissant, et Char bondissant, Cavalier faisant lever. » — Nahum 3:1-4

— « J'amènerai contre Tyr le Roi de Babel avec Cheval et avec Char et avec Cavaliers ; à cause de la multitude de ses Chevaux, leur poussière te couvrira ; à cause de la voix du Cavalier et du Char tes murailles seront ébranlées ; par les sabots de ses Chevaux il foulera toutes tes rues. « — Ézéchiel 26:7-11 ;

Tyr signifie l'Église quant aux connaissances du vrai, ici ces connaissances falsifiées dans l'Église, elles sont les Chevaux de Babel ; outre cela, dans d'autres passages, par exemple, dans Ésaïe 5:26, 28 ; Jérémie 6:22-23 ; 8:16 ; 46:4, 9 ; 50:37-38, 42 ; Ézéchiel 17:15 ; 23:6, 20 ; Habacuc 1:6, 8-9, 10 ; Psaumes 66:11-12.

L'entendement de la Parole entièrement détruit est aussi signifié par le Cheval roux, le Cheval noir et le Cheval pâle dans ce qui va suivre. Si le Cheval signifie l'Entendement du vrai d'après la Parole, c'est en raison des apparences dans le Monde spirituel, voir dans l'Opuscule du CHEVAL BLANC.

  
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Arcanes Célestes #3603

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3603. Et tu briseras son joug de dessus ton cou, signifie qu'il y aura alors conjonction par le bien et que le vrai appartiendra au bien : on le voit par la signification de briser le joug de dessus le cou, en ce que c'est la délivrance ; que le cou signifie l'influx et la communication, et par suite la conjonction, et le joug sur le cou, la fermeture et l'interception, c'est ce qu'on voit numéro 3542 ; ainsi, briser le joug de dessus le cou, c'est la délivrance de la fermeture et de l'interception, par conséquent la conjonction par le bien, et alors le Vrai appartient au bien, car lorsqu'il n'y a plus ni fermeture ni interception, le bien influe et se conjoint au vrai. D'après ce qui a été dit et montré jusqu'ici, on peut voir comment ces choses se passent ; mais il en est peu qui comprennent ce que c'est que la priorité apparente du vrai et l'infériorité du bien pendant ce temps, et cela par cette raison principalement qu'il en est peu qui réfléchissent sur de telles choses, et que de plus on ne réfléchit pas même au sujet du bien, qu'il est distinct du vrai ; tous ceux-là qui vivent de la vie de l'amour de soi et de l'amour du monde ignorent aussi ce que c'est que le bien, car ils ne croient pas qu'il y ait d'autre bien que ce qui provient de ces deux amours ; et comme ils ignorent ce que c'est que le bien, ils ignorent aussi ce que c'est que le vrai, car le vrai appartient au bien ; ils savent, à la vérité, d'après la révélation, que le bien, c'est aimer Dieu et le prochain, et que le vrai ce sont les doctrinaux qui sont tirés de la Parole ; mais comme ils ne conforment pas leur vie à ces doctrinaux, ils n'ont aucune perception de ce bien ni de ce vrai, mais ils ont seulement des connaissances séparées d'avec le bien et le vrai ; bien plus, ceux-là mêmes qui sont régénérés ne savent pas non plus ce que c'est que le bien avant qu'ils aient été régénérés ; car avant cette régénération ils s'imaginaient que le vrai était le bien, et que faire selon le vrai, c'était faire le bien, lorsque cependant ce qu'ils font alors est non pas le bien, mais le vrai ; quand l'homme est dans cet état, il est dans l'état qui est décrit par Jacob et dans la bénédiction donnée à Jacob ; mais quand l'homme vient dans l'état où il fait le bien d'après l'affection du bien, c'est-à-dire quand il a été régénéré, il vient dans l'état qui est décrit dans la Bénédiction donnée à Esaü : cela peut être illustré par les choses qui se manifestent chez l'homme dans son premier âge et dans le second, et ensuite dans le troisième et le quatrième ; l'homme, dans le premier âge, ne sait que de mémoire les choses qui sont dans la Parole, il en est de même de celles qui sont dans les doctrinaux de la foi, et alors il se croit bon, quand il en connaît un grand nombre, et peut en appliquer quelques-unes non à sa vie, mais à celle des autres ; dans le second âge, quand il a grandi davantage, il n'est pas content de posséder par la mémoire seule les choses qui sont dans la Parole et celles qui sont dans les doctrinaux, mais il commence alors à y réfléchir, d'après sa pensée, et en tant qu'il peut y ajouter par sa pensée, cela lui plaît ; par là il est dans l'affection du vrai d'après un certain amour mondain, qui aussi est un moyen pour qu'il apprenne plusieurs choses qui sans cela auraient été laissées de côté : mais dans le troisième âge, s'il est du nombre de ceux qui peuvent être régénérés, il commence à penser à l'usage, et alors à réfléchir sur les choses qu'il lit dans la Parole et puise dans les doctrinaux, en vue de l'usage ; quand il est dans cet étal, l'ordre est renversé, savoir, en ce que le vrai n'est plus ainsi placé au premier rang : mais dans le quatrième âge, quand c'est l'âge de sa régénération, comme alors l'état est plein, ainsi qu'il a été dit numéro 2636, il aime la Parole et les doctrinaux tirés de la Parole, c'est-à-dire le Vrai, en vue du bien de la vie, par conséquent d'après le bien de la vie ; ainsi se trouve au premier rang le bien qui, jusqu'à ce moment, avait été en apparence au second rang : si le bien a été en apparence au second rang, cela vient de ce qu'il était caché intimement dans toute son affection, et n'a pu se manifester, parce qu'il y avait au dehors des choses avec lesquelles il ne pouvait pas concorder, savoir, des choses vaines et futiles, comme sont celles qui appartiennent à la gloire du monde et de soi-même ; mais après qu'il a été régénéré, ces choses se retirent ; et le bien, qui était caché intimement, son comme d'une prison et influe dans les choses qui sont au dehors, et il fait que les vrais sont à lui, ou sont des vrais du bien, et ainsi il se manifeste. Le Bien chez l'homme est, pendant ce temps-là, comme cet involontaire qui est dans son volontaire, dans chacune des choses qu'il pense, et par suite dans chacune des choses qu'il fait ; l'homme ne sait pas qu'il a cet involontaire, parce qu'il ne perçoit chez lui autre chose que ce qui est sien, c'est-à-dire volontaire ; cet involontaire est double, l'un est son héréditaire qui lui vient du père et de la mère, l'autre influe du Seigneur par le Ciel ; quand l'homme grandit, celui qui lui vient de ses parents par l'héréditaire se manifeste de plus en plus, si l'homme est tel qu'il ne se laisse point régénérer, car c'est delà qu'il tire les maux et qu'il les fait siens ou propres ; mais l'involontaire qui influe du Seigneur par le Ciel se manifeste dans l'âge adulte chez ceux qui sont régénérés ; chez ceux-ci cet involontaire a, pendant ce temps, disposé et gouverné en général et en particulier toutes les choses de la pensée et aussi de la volonté, quoiqu'il ne se soit pas montré.

  
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