Библията

 

Exode 34:35

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35 Or les enfants d'Israël avaient vu que le visage de Moïse, la peau, [dis-je], de son visage était resplendissante c'est pourquoi Moïse remettait le voile sur son visage, jusques à ce qu'il retournât pour parler avec l'Eternel.

От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #10644

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10644. Et leurs bocages vous couperez, signifie que leurs doctrinaux doivent être entièrement rejetés : on le voit par la signification des bocages, en ce qu'ils sont les doctrinaux de l'Église, ici les doctrinaux de la religiosité chez les idolâtres, c'est-à-dire, les doctrinaux du faux d'après le mal ; si les bocages signifient les doctrinaux, c'est parce que les arbres signifient les perceptions et les connaissances du bien et du vrai, les perceptions chez ceux qui sont dans le Royaume céleste du Seigneur, et les connaissances chez ceux qui sont dans son Royaume spirituel ; et chaque espèce d'arbre une espèce de perception et de connaissance ; c'est de là que les paradis et les jardins signifient l'intelligence et la sagesse célestes, et les forêts la science de l'homme naturel ; d'après cela, on peut voir pourquoi les Bocages signifient la doctrine, et pourquoi les anciens ont eu le saint du culte dans des bocages ; car chez les anciens il y avait une Église représentative, dont tous les externes représentaient les internes, tels qu'ils sont dans le ciel, concernant le Seigneur, l'amour et la foi en Lui, et concernant les choses qui appartiennent à l'amour et à la foi. Si les bocages, puis les forêts, les jardins et les paradis, et aussi les arbres selon leur espèce, ont ces significations, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie, car de semblables objets y apparaissent selon l'intelligence et la sagesse des anges, car là les apparences sont d'une origine céleste et spirituelle. Que les Bocages signifient la doctrine, et que les anciens aient eu un culte saint dans les Bocages, on le voit, numéro 2722, 4552 ; voir aussi que les Paradis signifient l'intelligence et la sagesse célestes, numéro 3220, 4528, 4529 ; qu'il en est de même des jardins, numéro 100, 108, 1588, 2722 ; que les forêts signifient la science qui appartient à l'homme naturel, numéro 9011 (fin). ; que les arbres signifient les perceptions et les connaissances du bien et du vrai, numéro 103, 2163, 2682, 2972, 7692, 8326 ; que l'Ancienne Église avait un culte dans des Bocages et dans des Jardins sous des arbres selon les significations de ces arbres, numéro 2722, 4552.

  
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От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #4529

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4529. Un homme qui, dans le monde, avait acquis de la célébrité et une grande réputation par son habileté dans la science de la Botanique, étant mort, apprit dans l'autre vie que là aussi des fleurs et des arbres se présentent à la vue ; à cette nouvelle, il fut dans un grand étonnement ; et comme la botanique avait été le plaisir de sa vie, il fut embrasé du désir de voir si cela était ainsi ; c'est pourquoi, ayant été transporté dans les Paradisiaques, il y vit dans une étendue immense les plus beaux vergers et les plus charmants parterres ; et comme alors il vint par l'affection dans l'ardeur de son plaisir, il lui fut permis de parcourir la campagne, et non-seulement de voir en particulier les végétaux, mais aussi d'en cueillir, de les approcher de son œil, et d'examiner comment était la chose ; ensuite il conversa avec moi, et même il me dit qu'il ne l'aurait jamais cru, et que si dans le monde on entendait dire de telles choses, on mettrait cela au nombre des paradoxes ; et de plus il rapportait qu'on y découvrait en immense quantité des fleurs végétales qui n'ont jamais été vues dans le monde, et qui y seraient @  peine saisissables par quelque perception, et que toutes ces fleurs brillent d'une splendeur incompréhensible, parce qu'elles proviennent de la lumière du Ciel ; il ne pouvait pas encore percevoir que l'éclat était d'origine spirituelle, à savoir, que dans chacune de ces fleurs il y avait quelque chose de l'intelligence et de la sagesse, qui appartiennent au vrai et au bien, dont elles tiraient cet éclat : de plus, il me disait que les hommes de la terre ne croiraient cela en aucune manière, par la raison qu'il y en a peu qui croient à l'existence d'un ciel et d'un enfer, et que ceux qui croient savent seulement que dans le ciel il y a joie, et parmi ceux-ci il en est peu qui sachent qu'il y existe des choses que l'œil n'avait jamais vues, que l'oreille n'avait jamais entendues, et que le mental n'avait jamais pu penser ; et cela, quoiqu'ils sachent d'après la Parole que des choses étonnantes ont été vues par les Prophètes, comme celles que Jean vit en grand nombre, et dont il est parlé dans l'Apocalypse, lesquelles cependant n'étaient que des représentatifs qui existent continuellement dans le Ciel, et qui apparurent à Jean quand sa vue interne lui fut ouverte. Mais ce sont là des choses qui sont respectivement d'une légère importance ; ceux qui sont dans l'intelligence même et dans la sagesse même, d'où ces choses proviennent, sont dans un tel état de félicité, que les merveilles qui viennent d'être rapportées, sont pour eux au nombre des moins importantes : quelques-uns même qui avaient dit, quand ils étaient dans les Paradisiaques, qu'ils surpassaient tout degré de félicité, ayant été transportés plus avant vers la droite dans un Ciel qui brillait avec encore plus de splendeur, et enfin vers ce Ciel où l'on perçoit aussi la béatitude de l'intelligence et de la sagesse qui est dans les objets, et pendant qu'ils y étaient, s'étant aussi entretenus avec moi, me disaient que les choses qu'ils avaient précédemment vues n'étaient respectivement que des riens ; et en dernier lieu ils furent portés dans un Ciel, où, à cause du bonheur de l'affection intérieure, ils pouvaient à peine subsister, car ce bonheur avait pénétré jusqu'aux parties Médullaires, et ces parties étant presque fondues en raison du bonheur, ils commençaient à tomber dans une sainte défaillance.

  
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