Библията

 

Exode 12:46

Проучване

       

46 On la mangera dans une même maison, et vous n'emporterez point de sa chair hors de la maison, et vous n'en casserez point les os.

От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #7828

Проучете този пасаж

  
/ 10837  
  

7828. Le premier, lui, pour vous des mois de l'année, signifie le commencement d'où dérivent tous les états suivants durant l'éternité : on le voit par la signification d'être le premier, quand cela est dit des mois de l'année, et, dans le sens interne, des états de la vie, en ce que c'est le commencement : par la signification des mois, en ce qu'ils sont les états, ainsi qu'il vient d'être montré numéro 7827 ; et par la signification de l'année, en ce que c'est la période de la vie depuis le commencement jusqu'à la fin, numéro 2906 ; ici, comme il s'agit de ceux de l'Église spirituelle dans l'autre vie, desquels la période de la vie a un commencement, mais non une fin , l'année signifie la période de la vie depuis le commencement durant l'éternité ; que l'année soit aussi cela, on le voit ; numéro 2906 (fin). Si ce mois est devenu la tête des mois et le premier de tous, c'est parce qu'il signifie le commencement de la délivrance, de ceux qui étaient de l'Église spirituelle, et qui jusque-là avaient été dans un état de captivité, parce qu'ils étaient détenus dans la terre inférieure, et y étaient infestés par les méchants qui sont représentés par Pharaon et par les Égyptiens. Que leur premier état quand ils ont été délivrés ait été le principal de tous et le principe d'où proviennent tous les états suivants durant l'éternité, c'est parce que ceux qui étaient dans la terre inférieure ont été délivrés par l'avènement du Seigneur dans le monde, et que sans l'avènement du Seigneur dans le monde ils n'auraient pu en aucune manière être sauvés ; et parce qu'ils ont été délivrés alors que le Seigneur est ressuscité. De là il est évident que cet état, savoir, quand ils ont été délivrés, a été pour eux le principal de tous les états : il en a été aussi de même dans la suite pour tous ceux qui ont été de l'Église spirituelle, ils n'auraient pu en aucune manière être sauvés, si le Seigneur ne fût pas venu dans le monde et n'eût pas glorifié son Humain, c'est-à-dire s'il ne l'eût pas fait Divin ; que ceux qui étaient de l'Église spirituelle avant l'avènement du Seigneur aient été détenus dans la terre inférieure, et qu'ils aient été délivrés et sauvés par le Seigneur, on le voit numéro 6854, 6914 ; et qu'en général ceux qui sont de l'Église spirituelle aient été sauvés par l'avènement du Seigneur, on le voit numéro 2661, 2716, 6372, 7035, 7091 (fin). : c'est pourquoi dans le sens suprême ces paroles signifient que toute salvation provient de la glorification et de la résurrection du Seigneur quant à son Humain.

  
/ 10837  
  

От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #3834

Проучете този пасаж

  
/ 10837  
  

3834. Et il prit Léah sa fille, et il l'amena vers lui ; - et il vint vers elle, signifie que la conjonction n'était encore qu'avec l'affection du vrai externe : on le voit par la représentation de Léah, en ce qu'elle est l'affection du vrai externe, numéros 3793, 3819 : que l'amener vers lui, ce soit une conjonction telle que la conjonction conjugale, cela est évident. Voici comment les choses se passent : Celui qui est dans l'affection du vrai interne, c'est-à-dire, dans le désir de savoir les arcanes intérieurs du Royaume du Seigneur, n'a pas dans le commencement ces vrais conjoints à lui, quoiqu'il les con-naisse, et quoiqu'assez souvent il les reconnaisse et les croie en quelque sorte, car il y a encore des affections mondaines et corporelles qui se présentent, et qui font même qu'il reçoit ces vrais et les croit en quelque sorte ; mais autant ces affections sont présentes, autant ces vrais ne peuvent être conjoints ; il n'y a que l'affection du vrai d'après le bien et l'affection du bien, qui s'appliquent ces vrais ; autant l'homme est dans ces affections, autant les vrais intérieurs lui sont conjoints, car les vrais sont les vases récipients du bien ; en effet, le Seigneur pourvoit à ce que les vrais célestes et spi-rituels, tels que sont tous les vrais intérieurs, ne soient point conjoints à d'autres affections qu'aux affections réelles ; de là vient que la commune affection du vrai d'après le bien précède, et que les vrais qui y sont insinués ne sont que des vrais communs ; il en est absolument des états du vrai comme des états du bien, ou des états de la foi comme de l'état de la charité ; par exemple, les mé-chants aussi peuvent savoir que le Seigneur gouverne tout le ciel, et que le ciel est l'amour mutuel et l'amour pour le Seigneur ; ils peuvent savoir que c'est de là que leur viendrait la conjonction avec le Seigneur, la sagesse et aussi la félicité ; ils peuvent même être dans la persuasion que cela est ainsi ; mais le vrai de la foi, ni à plus forte raison le bien de l'amour, ne leur ont pas été conjoints pour cela : c'est par la vie qu'on connaît si ce vrai et ce bien ont été conjoints, comme on connaît l'arbre par le fruit ; il en est de cela comme des grains de raisin dans lesquels il n'y a pas de pépins, si on les met dans une terre, quelque féconde qu'elle soit, ils s'y changent en fumier : il en est encore comme d'un feu follet pendant la nuit, dès que le soleil se lève, il disparaît : mais, dans la suite, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, il sera donné de plus longs détails sur ce sujet.

  
/ 10837