Библија

 

Exode 21:25

Студија

       

25 Brûlure pour brûlure, plaie pour plaie, meurtrissure pour meurtrissure.

Из Сведенборгових дела

 

Arcanes Célestes # 8993

Проучите овај одломак

  
/ 10837  
  

8993. Et quand aura vendu un homme sa fille pour servante, signifie l'affection du vrai d'après le plaisir naturel : on le voit par la signification de la fille d'un homme, en ce qu'elle est l'affection du vrai, car la fille signifie l'affection, numéros 2362, 3963, et l'homme le vrai, numéro 3134, comme aussi l'Israélite qui ici est entendu par l'homme, numéros 5414, 5879, 5951, 7957, 8234 ; et par la signification de servante, en ce que c'est l'affection externe ou naturelle, numéros 2567, 3835, 3849 ; de là, la fille d'un homme vendue pour servante, signifie l'affection du vrai d'après le plaisir de l'affection naturelle. Par le plaisir naturel est entendu le plaisir qui découle de l'amour de soi et de l'amour du monde ; ceux qui par là sont dans l'affection du vrai, sont ceux qui apprennent les doctrinaux de l'Église, qu'on nomme vrais de la foi, soit pour le profit, soit pour les honneurs, et non pour la vie ; ces sortes d'affections du vrai, qui découlent non du bien spirituel mais du plaisir naturel, sont représentées par la fille d'un homme Israélite vendue pour servante ou en servitude, car tout ce qui tire son origine de l'amour de soi, ou de l'amour du monde, n'est pas libre, mais est en servitude ; ce que c'est que la liberté et ce que c'est que la servitude, on le voit, numéros 892, 905, 1947, , 6205. Dans le sens interne de ce qui va suivre, il est décrit comment la chose se passe à l'égard des affections du vrai qui tirent leur origine de ces amours. Il ne faut par oublier que l'affection réelle du vrai est de vouloir et de désirer savoir les vrais mêmes de la foi pour un usage bon comme fin, et pour la vie, mais que l'affection non-réelle du vrai est de vouloir et de désirer les vrais pour soi-même, ainsi pour obtenir des honneurs et acquérir des profits ; ceux qui sont dans l'affection du vrai provenant de cette origine-ci, ne s'inquiètent point si les choses qu'ils savent sont des vrais réels, pourvu qu'elles soient de celles qui peuvent être prônées comme des vrais ; ils s'attachent donc seulement à confirmer les doctrinaux de leur Église, dans laquelle ils sont nés, soit que ces doctrinaux soient des vrais ou qu'ils ne soient pas des vrais ; ils sont aussi dans les ténèbres'quant aux vrais eux-mêmes ; car les fins mondaines qui sont les profits, et les fins corporelles qui sont les honneurs, les aveuglent entièrement : quant à ceux qui sont dans l'affection réelle du vrai, c'est-à-dire, qui désirent savoir les vrais pour un usage bon et pour la vie, ils restent aussi dans les doctrinaux de leur Église jusqu'à ce qu'ils parviennent à l'âge où ils commencent à penser d'après eux-mêmes, alors ils scrutent les écritures et supplient le Seigneur de les illustrer, et quand ils sont illustrés, ils se réjouissent de cœur ; car ils savent que sans l'examen de l'Écriture d'après l'affection réelle du vrai, s'ils fussent nés où il y "à une autre doctrine de l'Église, et même où existe la plus grande hérésie, ils y seraient restés ; par exemple, s'ils fussent nés Juifs, ou Sociniens. Par là on voit clairement qui sont et quels sont ceux qui sont dans l'affection réelle du vrai, et qui sont et quels sont ceux qui sont dans l'affection non réelle du vrai ; ceux qui sont dans l'affection réelle du vrai sont dans le sens représentatif les filles d'hommes d'entre les Israélites, et ceux qui sont dans l'affection non réelle du vrai sont dans le sens représentatif les servantes d'entre les filles d'Israël.

  
/ 10837  
  

Из Сведенборгових дела

 

Arcanes Célestes # 5951

Проучите овај одломак

  
/ 10837  
  

5951. Et firent ainsi les fils d'Israël, signifie l'effet par les vrais spirituels dans le naturel : on le voit par la signification de ils firent, en ce que c'est l'effet ; et par la représentation des Fils d'Israël, en ce qu'ils sont les vrais spirituels dans le naturel, numéro 5414, 5879. Il faut dire ce que c'est que les vrais spirituels dans le Naturel : Les vrais de la foi hors de l'homme, de l'esprit et de l'ange, ne sont point des vrais de la foi, car ils n'ont été appliqués à aucun sujet, dans lequel ils le deviennent ; mais quand ils sont appliqués à l'homme, à l'esprit ou à l'ange, comme sujet, ils deviennent des vrais de la foi, avec différence cependant selon les états de la vie de chacun ; chez ceux qui commencent à les apprendre, ce sont seulement des scientifiques ; plus tard, si ceux-là les vénèrent saintement, ils vont au-delà et deviennent des vrais de l'Église ; mais quand ils en sont affectés et y conforment leur vie, ils deviennent des vrais spirituels ; car le bien de l'amour et de la charité, qui vient uniquement du monde spirituel, pénètre ces vrais et fait qu'ils vivent, car en être affecté et y conformer sa vie, cela provient de ce bien. Il m'a été montré quels sont les vrais, qu'on nomme vrais de la foi, chez ceux qui y conforment leur vie, et chez ceux qui n'y conforment point leur vie : Chez ceux qui n'y conforment point leur vie, ils apparaissaient comme des filaments blancs, et chez ceux qui ont eu ces vrais, mais sans aucun bien, comme des filaments fragiles, tandis que chez ceux qui y conforment leur vie, ils apparaissaient comme des fibres du cerveau, remplies d'esprit et souples ; ainsi ces vrais étaient les uns animés, les autres inanimés ; d'après cela, on peut savoir que les vrais chez les hommes sont selon l'état de la vie de chacun. Les vrais, qui sont représentés par les fils de Jacob, sont des vrais non encore spirituels, parce qu'ils ne sont pas encore devenus choses de la vie ; mais les vrais qui sont représentés par eux, comme fils d'Israël, sont des vrais spirituels, parce qu'étant devenus choses de la vie, ils ont été pénétrés par le bien de l'amour et de la charité : ces vrais sont entendus ici, parce qu'il vient d'être question de l'initiation à la conjonction des vrais dans le naturel, qui sont les fils de Jacob, avec le Bien Interne qui est Joseph, par le Médium qui est Benjamin, et aussi par le Bien spirituel qui est Israël.

  
/ 10837