Библија

 

Exode 9:23

Студија

       

23 Moïse étendit sa verge vers le ciel; et l'Eternel envoya des tonnerres et de la grêle, et le feu se promenait sur la terre. l'Eternel fit pleuvoir de la grêle sur le pays d'Egypte.

Из Сведенборгових дела

 

Arcanes Célestes # 7575

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7575. Et le feu allait à terre, signifie, les maux des cupidités : on le voit par la signification du feu, en ce que ce sont les maux des cupidités, numéro 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7324 ; et par la signification d'aller à terre, en ce que c'est envahir le mental naturel jusqu'à ce qu'il a de plus bas ; que la terre d'Egypte soit le mental naturel, on le voit numéro 5276, 5278, 5280, 5288, 5301. Comme la grêle signifie les faux, et le feu les maux d'où ces faux proviennent, c'est pour cela qu'il est aussi fait mention du feu, quand il est parlé de grêle, dans Ésaïe 30:30-31. Psaumes 18:12-13, 14, 15, , Apocalypse 8:7 ; et aussi dans le Verset suivant :

« Et il y eut de la grêle, et du feu marchant en même temps au milieu de la grêle, fort lourde. »

  
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Из Сведенборгових дела

 

Arcanes Célestes # 2553

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2553. Parce que j'ai dit : Sans doute il n'y a aucune crainte, de Dieu dans ce lieu, signifie la pensée procédant de la perception qu'ils n'auraient aucune considération pour le vrai spirituel dans cet état où ils sont : on le voit par la signification de la crainte de Dieu, en ce que c'est la considération pour le Vrai Divin ou spirituel ; et par la signification du lieu, en ce qu'il est l'état, numéros 1273, 1274, 1275, 1877. Voici ce qu'il en est de la chose elle-même : L'homme ne peut saisir aucun doctrinal purement spirituel et céleste, c'est-à-dire Divin, parce que ce doctrinal surpasse infini-ment sa conception, et par conséquent aussi sa foi : toutes les pensées de l'homme se terminent dans les naturels qui appartiennent à ses sensuels ; tout ce qui n'est pas dit d'après et selon ces sensuels, n'est pas compris, mais périt, ainsi qu'une vue sans bornes sur un océan ou sur l'univers. Si donc les doctrinaux étaient exposés autrement devant l'homme, ils ne seraient nullement reçus, ainsi l'on n'aurait aucune considération pour eux ; c'est ce qu'on peut suffisamment voir par chaque passage de la Parole ; les choses mêmes purement Divines y sont exposées, pour cette même raison, d'une manière naturelle et même sensuelle, par exemple, en ce qu'il est parlé des oreilles de Jéhovah, de ses yeux, de sa face, en ce qu'on lui attribue des affections semblables à celles de l'homme, comme la colère et plusieurs autres. Cela était encore plus frappant à l'époque où le Seigneur vint dans le monde ; alors les hommes ne savaient pas même ce que c'était que le céleste et le spirituel, ni même que ce céleste et ce spirituel étaient l'interne ; les terrestres et les mondains, et par conséquent les externes, occupaient seuls toutes les parties de leur mental. Il en était ainsi des Apôtres eux-mêmes, qui pensaient que le Royaume du Seigneur serait comme un Royaume du monde, et qui par cette raison demandèrent à être assis, l'un à sa droite, l'autre à sa gauche, et crurent longtemps qu'ils siégeraient sur douze trônes pour juger les douze tribus d'Israël, ne sachant pas encore que, dans l'autre vie, ils ne pourraient pas même juger la moindre action d'un seul homme, - numéro 2129 à la fin.

L'intuition dans cet état du genre humain fut cause que le Seigneur a d'abord pensé, si le rationnel ne devrait pas être consulté dans la doctrine de la foi ; et cela, d'après cet amour qui consistait à veiller au salut de tous, et à empêcher que la Parole ne périt.

  
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