Библија

 

Exode 29:6

Студија

       

6 Tu poseras la tiare sur sa tête, et tu placeras le diadème de sainteté sur la tiare.

Из Сведенборгових дела

 

Arcanes Célestes # 10149

Проучите овај одломак

  
/ 10837  
  

10149. Et sanctifié il sera dans ma gloire, signifie le réceptif du Divin Vrai procédant du Seigneur : on le voit par la signification d'être sanctifié, en ce que c'est le réceptif du Divin procédant du Seigneur, ainsi qu'il va être montré ; et par la signification de la gloire, en ce qu'elle est le Divin Vrai, numéros 4809, 5922, 8427, 9429. Qu'être sanctifié, ce soit le réceptif du Divin procédant du Seigneur, c'est parce que le Seigneur seul est saint, et que par suite tout ce qui est saint procède de Lui, numéro 9229 ; et parce que le Divin Vrai procédant de Lui est ce qui dans la Parole est entendu par le saint, numéro 9818 : mais ici, où il s'agit des fils d'Israël, des Holocaustes et des Sacrifices, de la Tente de convention et de l'Autel, c'est le représentatif de ce Divin qui est signifié par le saint et par être sanctifié ; et cela, parce que chez la nation

Israélite et Juive, toutes choses étaient des représentatifs des intérieurs de l'Église, qui appartiennent à la foi et à l'amour d'après le Seigneur envers le Seigneur, car l'Église chez cette nation avait été instituée Église représentative ; de là tous les externes signifiaient et représentaient ces choses que le sens interne enseigne ; c'est pour cela que ces externes étaient appelés saints, par exemple, l'Autel, le Feu sur l'autel, l'Holocauste, la Graisse, le Sang ; la Tente de convention, la table ou étaient les pains des faces, la table du parfum, le Chandelier, et tous leurs vases ; surtout l'Arche dans laquelle était le Témoignage ; et en outre, les pains, les gâteaux, les beignets, qui étaient appelés Minchah, l'Huile, l'Encens ; et même les habits d'Aharon, comme l'Éphod, le Manteau, la Tunique, le Turban, surtout le Pectoral ; et aussi Aharon lui-même était appelé saint ; de même les fils d'Israël : mais toutes ces choses n'étaient saintes que parce qu'elles représentaient et ainsi signifiaient les saints, c'est-à-dire, les Divins qui procèdent du Seigneur, car ces Divins seuls sont saints. Celui qui est dans les externes sans les internes croit que ces choses ont été saintes non représentativement mais essentiellement, après qu'elles eurent été initiées ; mais on se trompe grossièrement ; si on les adore comme sainte* essentiellement, on adore alors des choses terrestres, et on diffère peu de ceux qui adorent la pierre et le bois, comme les idolâtres ; mais ceux qui adorent les choses qui sont représentées ou signifiées, c'est-à-dire, les saints Divins, ceux-là sont dans le culte réel, car pour eux les externes sont seulement des causes moyennes pour penser aux choses qui sont les essentiels de l'Église et pour les vouloir, et ces essentiels, comme il a été dit ci-dessus, sont les choses qui appartiennent à la foi et à l'amour d'après le Seigneur envers le Seigneur. Il eu est aujourd'hui de môme de la Sainte Cène ; ceux qui, lorsqu'ils la fréquentent, ne pensent point, d'après la foi, au Seigneur, à son amour à l'égard du genre humain, et au renouvellement de la vie selon ses préceptes, y adorent seulement le pain et le vin, et non le Seigneur, et croient saints des externes, qui cependant ne sont point saints en eux-mêmes, mais ne le sont que d'après les choses qu'ils signifient, car le pain y signifie le Seigneur quant au bien de l'amour, et le vin le Seigneur quant au vrai de la foi, et en môme temps le réceptif par l'homme ; ces deux choses sont les essentiels mêmes de l'Église, ainsi les essentiels mômes du culte, voir numéros 4211, 4217, 4735, 6135, 6789, 7850, 8682, 9003, 9127, 10040. D'après ce qui vient d'être dit, on peut voir maintenant ce qui est signifié dans la Parole par le saint et par être sanctifié.

  
/ 10837  
  

Из Сведенборгових дела

 

Arcanes Célestes # 7850

Проучите овај одломак

  
/ 10837  
  

7850. Et ils mangeront la chair, signifie la jouissance du bien : on le voit par la signification de manger, en ce que c'est la jouissance, ainsi qu'il vient d'être montré, numéro 7849 ; et par la signification de la chair, en ce que c'est le propre de l'homme vivifié par le Divin Humain du Seigneur, ainsi tout bien céleste et spirituel chez l'homme, numéros 3813, 6968 : chez les Anciens on savait très-bien que la Chair a cette signification ; aujourd'hui cependant on l'ignore tellement qu'il n'y a personne qui ne soit étonné quand on dit qu'une telle chose est signifiée par la chair ; si l'on dit que c'est un spirituel correspondant, cela n'est point compris ; si l'on dit que c'est un significatif, cela est compris, il est vrai, mais dans un sens autre que celui dans lequel il est significatif correspondant, savoir, comme s'il était entièrement séparé, lorsque cependant le spirituel ou le significatif correspondant est conjoint avec la chose à laquelle il correspond, comme la vue de l'homme avec son œil, l'ouïe avec son oreille, la pensée qui est spirituelle avec la forme des intérieurs de l'homme, et par elle avec les petits organes du langage, ou comme la volonté qui est aussi spirituelle avec les fibres musculaires par lesquels il y a action ; il en est ainsi de tout spirituel correspondant ou significatif respectivement à son naturel avec lequel il y a correspondance : qui ne peut voir que, quand le Seigneur, dans Jean parle de la chair et du sang, il n'est entendu ni chair ni sang :

« En vérité, en vérité, je vous dis : si vous ne mangez la chair du fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'aurez point la vie en vous : celui qui mange ma Chair et boit mon Sang, a la vie éternelle, et Moi je le ressusciterai au dernier jour ; car ma Chair est véritablement un aliment, et mon Sang est véritablement un breuvage. “ - Jean 6:53, 54, 55-56.

Que par la Chair soit entendu le Divin Bien du Divin Amour du Seigneur, procédant de son Divin Humain, et par le sang le Divin Vrai procédant de son Divin Bien, et en même temps le réciproque de l'homme, c'est ce qu' aujourd'hui très-peu d'hommes savent, et ceux qui peuvent le savoir ne le veulent pas ; s'ils ne veulent pas le savoir, c'est parce qu'ils ne sont dans aucune affection da vrai pour le vrai, mais qu'ils sont dans l'affection du vrai pour des motifs mondains ; et aussi parce que les hommes naturels veulent saisir toutes choses d'une manière naturelle. Ces détails ont été donnés, afin qu'on sache ce qui est signifié par manger la Chair dans le Souper pascal, conséquemment ce qui est signifié dans la Sainte-Cène, qui a été alors instituée : sur le Pain et le Vin qui, dans la Sainte-Cène, signifient la même chose que la Chair et le Sang, voir numéros 2165, 2177, 2187, 3464, 3478, 3735, 3813, 4211, 4217, 4735, 4976, 5915. Que dans le sens spirituel de la Parole la Chair ne soit pas de la chair, outre qu'on le voit par d'autres passages, cela est bien évident par celui-ci dans Jean :

« Venez et assemblez-vous pour le souper du grand Dieu, afin de manger des chairs de rois, et des chairs de kiliarques, et des chairs de puissants, et des chairs de chevaux et de ceux qui les montent, et des chairs de tous libres et esclaves, et petits et grands. » - Apocalypse 19:17-18.

Là par les chairs sont signifiés des biens de divers genre.

  
/ 10837