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Lévitique 6:5

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5 Ou tout ce dont il aura juré faussement; il restituera le principal, et il ajoutera un cinquième par dessus à celui-là qui il appartenait; il le donnera le jour qu'il aura été déclaré coupable.

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Arcanes Célestes # 9995

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9995. De fleur de farine de froments tu les feras, signifie le vrai qui procède du Divin Bien, vrai dont proviennent ces célestes : on le voit par la signification de la fleur de farine, en ce que c'est le vrai, ainsi qu'il va être expliqué ; et par la signification de froments, en ce que c'est le bien de l'amour, numéro 3941, ainsi dans le sens suprême le Divin Bien ; et par la signification de les faire, en ce que c'est que ces biens célestes, signifiés par le pain, les gâteaux et les beignets d'azymes, proviennent de ce vrai. Voici ce qu'il en est : Tous les vrais et tous les biens, qui sont dans les cieux proviennent du Divin Vrai procédant du Divin Bien du Seigneur ; ce Divin Vrai reçu par les Anges dans le Royaume céleste est appelé bien céleste, mais reçu par les Anges dans le Royaume spirituel il est appelé bien spirituel ; car quoique le Divin Vrai procédant du Divin Bien du Seigneur soit appelé le Vrai, toujours est-il cependant qu'il est le bien ; s'il est appelé le Vrai, c'est parce que dans les cieux, devant la vue externe des anges, il apparaît comme Lumière, car la Lumière y est le Divin Vrai ; mais, dans cette Lumière, la chaleur, qui est le bien de l'amour, fait qu'il est le bien : il en est de même chez l'homme ; quand le vrai de la foi procède du bien de la charité, ce qui arrive lorsque l'homme a été régénéré, le vrai se montre comme un bien, qui même par suite est appelé bien spirituel, car l'être du vrai est le bien, et le vrai est la forme du bien ; de là, on peut voir pourquoi l'homme peut si difficilement distinguer entre penser et vouloir, car lorsqu'il veut quelque chose, il dit qu'il le pense, et souvent lorsqu'il pense quelque chose il dit qu'il le veut, et cependant penser et vouloir sont distincts comme le vrai et le bien, car l'être de la pensée est la volonté, et la forme de la volonté est la pensée, comme l'être du vrai est le bien, et la forme du bien est le vrai, ainsi qu'il vient d'être dit : comme l'homme distingue si difficilement entre ces deux choses, c'est pour cela qu'il ne sait pas non plus quel est l'être de sa vie, ni que le bien est cet être, et que le vrai ne l'est pas, si ce n'est qu'en tant qu'il existe d'après le bien : le bien appartient à la volonté, et la volonté est ce que l'homme aime, c'est pourquoi le vrai ne devient pas l'être de la vie de l'homme, avant que l'homme aime ce vrai, et quand l'homme l'aime il le fait ; le vrai au contraire, appartient à l'entendement dont la fonction est de penser, et quand l'homme pense le vrai, il peut en parler, et il lui est donné de comprendre et de penser le vrai sans le vouloir et sans le faire, mais quand c'est sans le vouloir, il n'est point approprié à la vie de l'homme, parce qu'en soi il n'a point l'être de sa vie : c'est parce que l'homme ignore cela, qu'il attribue le tout du salut à la foi, et à peine quelque chose à la charité, lorsque cependant la foi a l'être de sa vie par la charité, comme le vrai l'a par le bien. En outre, tout bien chez l'homme est formé par le vrai, car le bien influe du Seigneur par le chemin interne, et le vrai entre par le chemin externe, et ils contractent mariage dans l'homme Interne, mais autrement chez l'homme et chez l'ange spirituels, et autrement chez , l'homme et chez l'ange célestes ; chez l'homme et chez l'ange spirituels le mariage se fait dans la partie intellectuelle, mais dans l'homme et dans Fange célestes il se fait dans la partie volontaire ; le chemin externe, par lequel entre le vrai, est par l'ouïe et par la vue dans l'entendement ; mais le chemin interne, par lequel le bien influe du Seigneur, est par l'intime dans la volonté ; voir sur ce sujet les explications données dans les passages cités, numéro 9596 : d'après cela, il est évident que les biens célestes, qui sont signifiés par le pain, les gâteaux et les beignets d'azymes, existent par le Divin Vrai procédant du Divin Bien du Seigneur, et que cela est entendu par de fleur de farine de froments tu les feras. Cela étant ainsi, voilà pourquoi toutes les minchahs, qui étaient confectionnées de différentes manières, se faisaient avec de la fleur de farine mêlée d'huile, voir , . Nombres 7:13, suivants. , .

Que la fleur de farine, comme aussi la farine, soit le vrai qui provient du bien, on le voit par les passages suivants ; dans Ézéchiel :

« De la fleur de farine, du miel et de l'huile tu mangeais ; de là, belle tu devins extrêmement, " - Ézéchiel 16:13.

Cela est dit de Jérusalem, par qui est entendue l'Ancienne Église ; la fleur de farine est le vrai d'après le bien de cette Église, le miel est le plaisir de ce vrai, l'huile est le bien de l'amour, et manger, c'est s'approprier ; voilà pourquoi il est dit qu'elle devint belle, car la beauté spirituelle provient des vrais et des biens.

Dans Hosëe :

« La moisson debout, non point pour lui ; le germe ne fera point de farine ; si toutefois il en fait, des étrangers la dévoreront. » - Ézéchiel 8:7.

La moisson debout, c'est le vrai de la foi d'après le bien en conception, numéro 9146, le germe ne fera point de farine, c'est la stérilité, parce qu'il n'y a pas le vrai d'après le bien ; les étrangers qui dévoreront sont les faux d'après le mal qui consumeront.

Dans 1 Rois : si La femme de Sidon en Zorpa dit à Élie, qu'elle n'avait pour faire un gâteau que plein la paume de la main de farine dans une cruche, et un peu d'huile dans une fiole : Élie lui dit de faire pour lui un gâteau en premier lieu, et que la cruche de farine ne serait point consommée, et que la fiole d'huile ne manquerait point ; ce qui aussi arriva. “ - ;

Là, par la farine est signifié le vrai de l'Église, et par l'huile le bien ; car la femme dans Sidon représente l'Église qui est dans les connaissances du vrai et du bien, et Élie le prophète représente le Seigneur quant à la Parole ; de là on voit clairement ce que ce Miracle enveloppe, car tous les miracles dont il est parlé dans la Parole enveloppent des choses qui concernent l'Église, numéros 7337, 8364, 9086 ; par là on voit clairement ce qui est signifié, en ce que la cruche de farine ne serait point consommée, et que la fiole d'huile ne manquerait point, si du peu qu'elle avait elle faisait en premier lieu un gâteau pour Élie, et en second lieu pour son fils ; que la femme soit l'Église, on le voit, numéros 252, 253 ; on peut voir aussi que Sidon signifie les connaissances du vrai et du bien, numéro 1201 ; et qu'Élie est le Seigneur quant à la Parole, numéros 2762, 5247 (fin).

Dans Ésaïe :

« Fille de Babel, prends une meule, et mouds de la farine. » - Ésaïe 47:2.

La fille de Babel, ce sont ceux dans l'Église qui sont dans le saint externe, mais dans le profane interne ; moudre de la farine, c'est choisir, dans le sens de la lettre de la Parole, des choses qui servent à confirmer les maux des amours de soi et du monde, ce mal est le profane ; moudre, c'est choisir, et aussi expliquer en faveur de ces amours ; et la farine est le vrai qui sert, voir numéro 4335 ; par là on voit clairement ce que c'est que moudre, par conséquent ce que signifie ce qui est moulu, comme dans Jérémie :

« Les princes par leur main ont été pendus, les faces des vieillards n'ont point été honorées ; tes jeunes gens pour moudre ils ont entraînés. » - Lamentations 5:12-13.

Dans Moïse :

« Moïse prit le veau, qu'ils avaient fait, et il le brûla au feu, et il le moulut jusqu'en poudre, et il la répandit sur les faces des eaux, et il (en) fit boire aux fils, d'Israël. " - Deutéronome 9:21 :

Et dans Matthieu :

« Alors deux seront dans le champ, l'un sera pris et l'autre laissé, deux moudront au moulin, l'une sera prise et l'autre laissée. “ - Matthieu 24:40-41.

De là, on voit clairement ce que c'est que moudre ; que, dans le sens bon, c'est choisir et expliquer les vrais tirés de la Parole pour qu'ils servent au bien, et dans le sens mauvais pour qu'ils servent au mal, voir numéro 7780 ; de là, on voit encore ce que signifie ce qui a été moulu, par conséquent ce que signifient la farine et la fleur de farine.

  
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Arcanes Célestes # 8495

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8495. Sabbath saint à Jéhovah demain, signifie la conjonction du bien et du vrai pour l'éternité : on le voit par la signification du sabbath, en ce que c'est la conjonction du bien et du vrai, ainsi qu'il va être exposé ; et par la signification de demain, en ce que c'est pour l'éternité, numéro 3998. Celui qui ne sait pas ce que représentait le sabbath , ni par conséquent ce qu'il signifiait, ne peut pas savoir non plus pourquoi il était regardé comme la chose la plus sainte de toutes ; or, il était regardé comme très-saint, parce que dans le sens suprême il représentait l'union du Divin et du Divin Humain dans le Seigneur, et dans le sens respectif la conjonction du Divin Humain du Seigneur avec le Genre Humain ; c'est de là que le sabbath était très-saint ; et comme il représentait ces conjonctions, il représentait aussi le ciel quant à la conjonction du bien et du vrai, conjonction qui est appelée mariage céleste ; et comme la conjonction du bien et du vrai est faite par le Seigneur seul, et en rien par l'homme, et qu'elle est faite dans l'état de paix, voilà pourquoi il fut très sévèrement défendu que l'homme fit alors aucun ouvrage, au point que l'âme qui en ferait devait être retranchée ; il en est parlé ainsi dans Moïse :

« Vous garderez le sabbath, car saint lui pour vous ; qui le profanera, en mourant mourra ; car quiconque fait en lui un ouvrage, cette âme-là sera retranchée du milieu de son peuple. » - Exode 31:14 :

C'est pour cela qu'était lapidé celui qui seulement coupait du bois dans ce jour-là. " - : -c'est aussi pour cela que le précepte sur le sabbath est le troisième précepte dans le décalogue, et suit immédiatement les deux préceptes sur le saint culte de Jéhovah.

Exode 20:8. Deutéronome 5:12 : et c'est pour cela que le sabbath est appelé « alliance éternelle. » - Exode 31:16, -car l'alliance signifie la conjonction, numéros 665, 666, 1023, 1038, 1864, 1996, 2003, 2021, 6804. D'après cela, on peut maintenant voir ce qui est entendu dans le sens interne par les choses qui sont dites du sabbath dans les passages suivants ; par exemple, dans Ésaïe :

« Heureux l'homme qui garde le sabbath, pour ne pas le profaner ! Ainsi a dit Jéhovah aux eunuques : Ceux qui gardent mes sabbaths, et choisissent ce qui me plaît, et tiennent mon alliance, je leur donnerai dans ma maison, et en dedans de mes murailles, un lieu et un nom meilleur que celui de fils et de filles, un nom d'éternité je leur donnerai, qui ne sera point retranché : quiconque garde le sabbath pour ne pas le profaner, et ceux qui tiennent mon alliance, je les amènerai sur la montagne de ma sainteté, et je les réjouirai dans la maison de ma prière. ». .

D’après ces expressions il est évident que par ceux qui sanctifient le sabbath sont entendus ceux qui sont en conjonction avec le Seigneur ; il est signifié qu'ils seront dans le ciel, en ce qu'il est dit qu'il leur sera donné dans la maison de Jéhovah un lieu et un nom meilleur que celui de fils et de filles, un nom d'éternité qui ne sera point retranché, et qu'ils seront amenés sur la montagne de la sainteté.

Dans le Même :

« Si tu détournes du sabbath ton pied, pour ne pas faire tes volontés dans le jour de ma sainteté, mais que tu appelles le Sabbath délices saintes, à Jéhovah honorables, et que tu l'honores, de manière à ne pas faire tes voies alors, et à ne pas trouver ton désir, ou prononcer une parole, alors tu te délecteras sur Jéhovah, et je te nourrirai de l'héritage de Jacob. » - Ésaïe 58:13-14.

Ici, l'on voit clairement ce qui a été représenté par ne faire aucun ouvrage au jour du sabbath, c'est-à-dire, ne rien faire d'après le propre, mais agir d'après le Seigneur ; car l'état des Anges dans le ciel est de ne vouloir et de ne faire, et même de ne penser et de ne prononcer rien d'après eux-mêmes ou d'après leur propre, leur conjonction avec te Seigneur consiste en cela ; le propre, d'après lequel ils ne doivent point agir, est signifié par ne pas faire ses volontés, ne pas faire ses voies, ne pas trouver son désir, et ne point prononcer une parole ; cet état chez les Anges est l'état céleste même ; quand ils sont dans cet état, ils ont alors la paix et le repos ; et il y a aussi repos pour le Seigneur, car lorsqu'ils ont été conjoints avec Lui, il n'y a plus de travail avec eux, puisqu'alors ils sont, dans le Seigneur ; cela est signifié par les paroles ainsi tu appelleras le sabbath délices saintes à Jéhovah, et ils se délecteront sur Jéhovah : » le repos du Seigneur est signifié en ce qu'après la création des six jours, il s'est reposé le septième jour, - Genèse 2:2.

Semblables choses sont entendues par ces paroles dans Jérémie :

« Si en écoutant vous M'écoutez, pour ne point introduire de fardeau par les portes de cette ville dans le jour du sabbat h, et que vous sanctifiiez le jour du sabbath, tellement que vous ne fassiez en lui aucun ouvrage, alors entreront par les portes de cette ville rois et princes, s'asseyant sur le trône de David, montant dans un char et sur des chevaux, eux et leurs princes, homme de Juda, et habitants de Jérusalem, et sera habitée cette ville pour l'éternité. » - Jérémie 17:24-25 ;

L'ouvrage dans le jour du sabbath signifie tout ce qui provient du propre ; l'état de ceux qui sont conduits, non d'après le propre, mais d'après le Seigneur, est décrit en ce que par les portes de la ville entreront rois et princes, s'asseyant sur le trône de David, montant dans un char et sur des chevaux ; les rois signifient les vrais de la foi, les princes les principaux vrais ; s'asseoir sur le trône de David, signifie que ces vrais procèdent du Seigneur ; le char et les chevaux sont les doctrinaux et les intellectuels de la foi : il faut qu'on sache que toutes les choses qui viennent du propre de l'homme sont des maux, et que toutes celles qui viennent du Seigneur sont des biens ; que chez ceux , qui sont conduits par le Seigneur toutes choses influent, jusqu'à la plus petite chose de la vie tant intellectuelle que volontaire, ainsi jusqu'à toutes et à chacune des choses de la foi et de la charité, voir ce qui a été exposé fort au long d'après l'expérience, numéros 2886, 2887, 2888, ,6982, 6985, 6996, 7004, 7055, 7056, 7058, 7147, 7270. Que le sabbath ait été le représentatif de la conjonction du Seigneur avec le Genre Humain, on le voit dans Ézéchiel :

« Mes sabbaths je leur ai donnés, pour être en signe entre Moi et eux, afin qu'ils reconnaissent que Moi Jéhovah je les sanctifie. » - Ézéchiel 20:12. Exode 31:13.

C'est aussi pour cela qu'il était défendu d'allumer du feu le jour du sabbath. » - Exode 35:3, - parce que le feu signifiait tout ce qui appartient à la vie, et que allumer du feu signifiait ce qui appartient à la vie d'après le propre. D'après ce qui vient d'être dit, on voit clairement que le Seigneur est le Seigneur du sabbath, selon ses paroles dans ;

Et pourquoi un grand nombre de-guérisons ont été faites par le Seigneur les jours de sabbath, Jean 7:22, Jean 9:14, 16 ; car les maladies que le Seigneur guérissait, enveloppaient les maladies spirituelles, qui viennent du mal, numéros 7337, 8364.

  
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