A Bíblia

 

Jérémie 51:59

Estude

       

59 C'est ici l'ordre que Jérémie le Prophète donna à Séraja, fils de Nérija, fils de Mahaséja, quand il alla de la part de Sédécias Roi de Juda en Babylone, la quatrième année de son Règne; or Séraja était principal Chambellan.

Das Obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes # 150

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150. L'état de l'homme, lorsqu'il est dans le propre, ou lorsqu'il pense vivre par lui-même, a été comparé à un assoupissement ; il était même appelé assoupissement par les anciens ; et dans la Parole, il est dit de ceux qui sont dans cet état, qu'ils sont saisis de l'esprit d’assoupissement et qu'ils dorment. Que le propre de l'homme soit mort en soi, ou que personne n'ait aucune vie par soi-même, c'est ce qui m'a été montré dans le monde des esprits, à un tel point, que les esprits qui n'aiment que le propre, et qui persistent à soutenir avec opiniâtreté qu'ils vivent par eux-mêmes, furent convaincus par de vives expériences et avouèrent qu'ils ne vivent pas par eux-mêmes. Il m'a été donné, depuis déjà quelques années, de connaître mieux que tout autre ce qui en est du propre de l'homme, à savoir, en ce que je n'ai pas pensé la moindre chose par moi-même, et qu'il m'a été donné de percevoir clairement que chaque idée de la pensée influait, et parfois aussi comment et d'où elle influait. L'homme qui pense vivre par lui-même est donc dans le faux, et par cela seul qu'il croit vivre par lui-même, il s'approprie tout mal et tout faux, qu'il ne s'approprierait nullement, s'il croyait ce qui est réellement.

  
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Das Obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes # 568

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568. Les Filles signifient les choses qui appartiennent à la volonté de cet homme, par conséquent les cupidités : on le voit d'après ce qui a été dit et montré au sujet des fils et des filles au Chapitre 5 : Vers. 4, où les fils ont signifié les vrais, et les filles les biens ; les filles où les biens appartiennent à la volonté ; mais tel est l'homme, tel est l'entendement et telle est la volonté ; par conséquent tels sont les fils et telles sont les filles. Ici, il s'agit de l'homme corrompu qui n'a aucune volonté, mais qui, au lieu de volonté, à la propre cupidité qu'on croit être la volonté et qu'on appelle aussi volonté : l'attribut est conformé à la qualité du sujet : que l'homme, auquel les filles sont attribuées, soit l'homme corrompu, cela a été précédemment montré. Si les filles signifient ce qui appartient à la volonté, et, lorsqu'il n'y a aucune volonté du bien, les cupidités ; et si les fils signifient ce qui appartient à l'entendement, et, lorsqu'il n'y a aucun entendement du vrai, les fantaisies, cela vient de ce que le sexe féminin est tel, et qu'il a été formé de manière que la volonté ou la cupidité règne de préférence à l'entendement ; telle est toute la disposition des fibres des femmes, et telle leur nature : le sexe masculin, au contraire, a été formé de manière que l'entendement où la raison règne ; telle est aussi la disposition des fibres des hommes, et telle leur nature. De là le mariage de l'un et de l'autre sexe, comme est celui de la volonté et de l'entendement dans chaque homme ; et parce qu'aujourd'hui il n'y a aucune volonté du bien, mais qu'il y a cupidité, et que néanmoins il peut y avoir une sorte d'intellectuel ou de rationnel, voilà pourquoi tant de lois ont été établies dans l'Eglise Judaïque au sujet de la prérogative du mari et de l'obéissance de l'épouse.

  
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