성경

 

Ézéchiel 5

공부

   

1 Et toi, fils de l'homme, prends un instrument tranchant, un rasoir de barbier; prends-le, et passe-le sur ta tête et sur ta barbe. Prends ensuite une balance à peser, et partage les cheveux.

2 Brûles-en un tiers dans le feu, au milieu de la ville, lorsque les jours du siège seront accomplis; prends-en un tiers, et frappe-le avec le rasoir tout autour de la ville; disperses-en un tiers au vent, et je tirerai l'épée derrière eux.

3 Tu en prendras une petite quantité, que tu serreras dans les bords de ton vêtement.

4 Et de ceux-là tu en prendras encore quelques-uns, que tu jetteras au feu et que tu brûleras dans le feu. De là sortira un feu contre toute la maison d'Israël.

5 Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: C'est là cette Jérusalem que j'avais placée au milieu des nations et des pays d'alentour.

6 Elle a violé mes lois et mes ordonnances, et s'est rendue plus coupable que les nations et les pays d'alentour; car elle a méprisé mes lois, elle n'a pas suivi mes ordonnances.

7 C'est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Parce que vous avez été plus rebelles que les nations qui vous entourent, parce que vous n'avez pas suivi mes ordonnances et pratiqué mes lois, et que vous n'avez pas agi selon les lois des nations qui vous entourent; -

8 cause de cela, ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Voici, j'en veux à toi, et j'exécuterai au milieu de toi mes jugements sous les yeux des nations.

9 A cause de toutes tes abominations, je te ferai ce que je n'ai point encore fait, ce que je ne ferai jamais.

10 C'est pourquoi des pères mangeront leurs enfants au milieu de toi, et des enfants mangeront leurs pères; j'exercerai mes jugements contre toi, et je disperserai à tous les vents tout ce qui restera de toi.

11 C'est pourquoi, je suis vivant! dit le Seigneur, l'Eternel, parce que tu as souillé mon sanctuaire par toutes tes idoles et toutes tes abominations, moi aussi je retirerai mon oeil, et mon oeil sera sans pitié, moi aussi je n'aurai point de miséricorde.

12 Un tiers de tes habitants mourra de la peste et sera consumé par la famine au milieu de toi; un tiers tombera par l'épée autour de toi; et j'en disperserai un tiers à tous les vents, et je tirerai l'épée derrière eux.

13 J'assouvirai ainsi ma colère, je ferai reposer ma fureur sur eux, je me donnerai satisfaction; et ils sauront que moi, l'Eternel, j'ai parlé dans ma colère, en répandant sur eux ma fureur.

14 Je ferai de toi un désert, un sujet d'opprobre parmi les nations qui t'entourent, aux yeux de tous les passants.

15 Tu seras un sujet d'opprobre et de honte, un exemple et un objet d'effroi pour les nations qui t'entourent, quand j'exécuterai contre toi mes jugements, avec colère, avec fureur, et par des châtiments rigoureux, -c'est moi, l'Eternel, qui parle, -

16 quand je lancerai sur eux les flèches pernicieuses de la famine, qui donnent la mort, et que j'enverrai pour vous détruire; car j'ajouterai la famine à vos maux, je briserai pour vous le bâton du pain.

17 J'enverrai contre vous la famine et les bêtes féroces, qui te priveront d'enfants; la peste et le sang passeront au milieu de toi; je ferai venir l'épée sur toi. C'est moi, l'Eternel, qui parle.

   

스웨덴보그의 저서에서

 

Arcanes Célestes #9335

해당 구절 연구하기

  
/ 10837  
  

9335. Et que ne se multiplie sur toi la bête du champ, signifie l'afflux des faux d'après les plaisirs des amours de soi et du monde : on le voit par la signification de se multiplier, quand il s'agit de l'éloignement subit des maux et des faux, en ce que c'est l'afflux ; et par la signification de la bête du champ, en ce que ce sont les faux d'après les plaisirs des amours de soi et du monde ; en effet, les bêtes de divers genre signifient dans la Parole les affections bonnes et les affections mauvaises, numéro 9280 ; de là, les bêtes féroces (ferœ) signifient les affections du faux qui tirent leur origine des plaisirs des amours de soi et du monde ; ces affections sont aussi représentées dans l'autre vie par des bêtes féroces, ainsi par des panthères, des tigres, des sangliers, des loups, des ours ; elles sont aussi comme des bêtes féroces, car ceux qui sont dans ces amours sont dans les maux et dans les faux de tout genre, et ils regardent et traitent leurs compagnons, comme le font les bêtes féroces ; que tous les maux et tous les faux proviennent de ces amours, on le voit, numéros 2041, 2045, 2057, 2363, 2364, 2444, 4750, 4776, 6667, 7178, 7364, 7255, , 7488, 7490, , 7643, 8318, 8487, 8678. Si les faux provenant de ces amours affluent par un éloignement subit des maux et des faux, cela vient de ce que les biens et les vrais doivent les éloigner par une implantation successive, car les faux ne sont éloignés que par les vrais, et les maux ne le sont que par les biens ; si cela ne s'opère pas successivement et selon l'ordre, les faux qui sont favorables à ces amours influent, car ces amours règnent chez chaque homme avant qu'il ait été régénéré ; et quand les faux influent, les vrais ne sont plus reconnus : l'homme qui est régénéré est tenu dans l'affection du vrai ; quand il est dans cette affection, il recherche de tout côté les vrais parmi les scientifiques dans le naturel, et là se présentent alors les illusions des sens externes, lesquelles y sont en grande quantité, et desquelles, quand soufflent les plaisirs des amours de soi et du monde, il ne conclut que des faux qui se succèdent et remplissent le mental, si les faux, du mal sont subitement éloignés : voilà ce qui est entendu dans le sens interne par

« Je ne le chasserai point de devant toi en une année, de peur que la terre ne soit désolée, et que ne se multiplie sur toi la bête du champ ; peu à peu je le chasserai de devant toi, jusqu'à ce que tu fructifies, et que tu hérites la terre. Que la bête féroce soit le faux et le mal d'après les amours de soi et du monde, cela est évident par les passages de la Parole où elle est nommée, comme dans Ésaïe :

« Il y aura là un sentier et un chemin, qui sera appelé le chemin de sainteté ; n'y passera point celui qui est souillé ; de bête féroce il n'y montera point. » - Ésaïe 35:8-9.

Dans Ézéchiel :

« J'enverrai sur toi famine et bête mauvaise, afin que privée d'enfants elles te fassent. » - Ézéchiel 5:17.

Dans le Même :

« Quand la bête mauvaise par la terre j'aurai fait passer, et qu'elle l'aura privée d'enfants, pour qu'elle devienne une désolation, au point que personne n'y passe à cause de la bête. » - Ézéchiel 14:15.

Dans le Même :

« Sur les faces du champ tu tomberas, à la bête de la terre et à l'oiseau du ciel je te donnerai en pâture. » - Ézéchiel 29:5.

Dans le Même :

« Alors je contracterai avec eux alliance de paix, et je ferai disparaître de la terre la bête mauvaise, afin qu'ils habitent dans le désert en sécurité ; ils ne seront plus en proie aux nations, et la bête du champ ne les dévorera plus. " - Ézéchiel 34:25, 28.

Dans Osée :

« Je dévasterai son cep et son figuier, et je les réduirai en forêt, et les dévorera la bête du champ. " - Osée 2:12.

Dans le Même :

« Dans le deuil sera la terre, et dans la langueur quiconque y habite, à cause de la bête du champ, et à cause de l'oiseau des cieux. » - Osée 4:3.

Dans David :

« Le sanglier de la forêt le foule, et la bête des champs le broute ; Dieu Zebaoth reviens et visite ton cep. “ - Psaumes 80:14.

Dans le Même :

« Tu disposes les ténèbres, afin que se fasse la nuit, pendant laquelle s'avance toute bête de la forêt. » - Psaumes 104:20.

Dans Moïse :

« Si dans mes statuts vous marchez, et mes préceptes vous observez et les faites, je ferai disparaître de la terre la bête mauvaise ; mais si mes statuts vous réprouvez, j'enverrai contre vous la bête du champ, qui vous dévastera. » - Lévitique 26:3, 6, 15, 22.

Dans le Même :

« Jéhovah ton Dieu chassera les Nations de devant toi peu à peu, de peur que ne se multiplie contre toi la bête du champ. » - Deutéronome 7:22 ;

Dans ces passages, la bête du champ, la bête de la terre et la bête de la forêt, ce sont les faux et les maux qui appartiennent aux amours de soi et du monde. Comme la bête féroce signifie les faux, et que le faux provient de deux origines, à savoir, du mal et du probe, numéro 9258, il en résulte que dans la Parole la bête (fera) signifie aussi les Nations probes qui, bien que dans le faux, sont cependant dans le probe de la vie ; c'est dans ce sens que la bête est mentionnée dans David :

« A Moi toute bête (fera) de la forêt, et les bêtes (bestiœ) dans les montagnes par milliers ; je connais tout oiseau des montagnes, et la bête de mes champs (est) avec Moi. » - Psaumes 50:10-11.

Dans le Même :

« Louez Jéhovah bête (fera) et toute bête. » - .

Dans Ésaïe :

« Toute bête de mes champs, venez pour manger, (vous) toute bête de la forêt. » - Ésaïe 56:9. -.

Dans Ézéchiel :

« Dans les branches du cèdre, qui est Aschur, avaient fait leurs nids tous les oiseaux des deux, et sous ses branches avaient engendré toutes les bêtes du champ ; et dans son ombre avaient habité toutes les nations grandes. » - Ézéchiel 31:6.

  
/ 10837  
  

스웨덴보그의 저서에서

 

Arcanes Célestes #5084

해당 구절 연구하기

  
/ 10837  
  

5084. A la maison du prince des satellites, signifie par les choses qui sont principales pour l'interprétation : On le voit par la signification du prince des satellites, en ce que ce sont les choses principales pour l'interprétation, numéros 4790, 4966 ; ici donc en ce que les sensuels de l'un et de l'autre genre ont été rejetés par les choses qui sont principales pour l'interprétation, à savoir, qui appartiennent à la Parole quant au sens interne ; ces sensuels sont dits être rejetés, quand on n'a pas foi en eux pour de telles choses ; en effet, les sensuels, et les choses qui entrent immédiatement par les sensuels dans la pensée, sont trompeurs ; toutes les illusions qui règnent chez l'homme proviennent de là ; c'est à cause des illusions que peu d'hommes croient aux vrais de la foi, et que l'homme naturel est contre l'homme spirituel, c'est-à-dire, l'homme externe contre l'homme interne ; c'est pourquoi, si l'homme naturel ou externe commence à dominer sur l'homme spirituel ou interne, on ne croit plus rien de ce qui appartient à la foi, car les illusions jettent de l'ombre et les cupidités éteignent. Comme il en est peu qui sachent ce que c'est que les illusions des sens, et peu qui croient qu'elles jettent une ombre si épaisse sur les rationnels, et principalement sur les spirituels de la foi, au point de les éteindre, surtout quand l'homme est en même temps dans le plaisir des cupidités par l'amour de soi et du monde, il m'est permis d'illustrer ce sujet par des exemples : D'abord, en disant ce que c'est que les illusions purement naturelles des sens, ou les illusions des sens dans les choses qui sont dans la nature ; et ensuite, en parlant des illusions des sens dans les choses spirituelles :

1. Une illusion du sens, purement naturelle, ou qui est dans la nature, c'est de croire que le soleil est porté une fois chaque jour autour de cette terre, et en même temps aussi le ciel avec tous les astres ; et quoiqu'on dise que, parce que la chose est impossible, on ne doit pas croire qu'autour de la terre tourne une fois chaque jour un si grand Océan de feu, tel qu'est le Soleil, et non-seulement le Soleil, mais encore des astres innombrables sans aucun changement de lieu l'un à l'égard de l'autre ; et quoiqu'on ajoute que par les planètes on peut voir que la terre fait un mouvement diurne de rotation et un mouvement annuel de circonvolution, en ce que les planètes sont également des terres, et ont même aussi autour d'elles des lunes, et qu'il a été observé qu'elles ont des mouvements pareils à ceux de notre terre, à savoir, des mouvements diurnes et annuels, toujours est-il cependant que chez un très-grand nombre d'hommes l'illusion du sens prévaut et fait croire que cela est comme l'œil le voit.

2. Une illusion du sens, purement naturelle ou dans la nature, c'est qu'il n'existe qu'une seule atmosphère, que seulement dans ses parties elle est successivement plus pure, et que là où elle se termine, c'est le vide ; le sensuel externe de l'homme ne saisit pas autre chose, lorsqu'il est seul consulté.

3. Une illusion du sens, purement naturelle, c'est que par première création a été imprimée dans les semences la qualité de croître en arbres et en fleurs, et de se prolifier, et que de là toutes choses ont leur existence et leur subsistance ; et si l'on objecte qu'aucune chose ne peut subsister à moins qu'elle n'existe perpétuellement, selon la maxime, la subsistance est une perpétuelle existence, et que tout ce qui n'est point lié par un antérieur à soi tombe dans le néant, toujours est-il cependant que le sensuel du corps et la pensée qui provient de ce sensuel ne saisissent point cela, et ne saisissent pas non plus que toutes choses en général et en particulier subsistent, de même qu'elles ont existé, par l'influx d'après le monde spirituel, c'est-à-dire, d'après le Divin par le monde spirituel.

4. Une illusion du sens, purement naturelle et provenant de la précédente, c'est qu'il y a des substances simples, qui sont des monades et des atomes ; car tout ce qui est en dedans du sensuel externe, l'homme naturel croit que c'est une substance simple, ou que ce n'est rien.

, [Il manque du texte ici], 5078, [Il manque du texte ici], , [Il manque du texte ici], , [Il manque du texte ici], ; 4954, 2706, , 2893, 3001, 3318, 3337, 3338, 3484, 3742, 3743, 4151, 4249, 4318, 4319, 4320, 4417, 4523, 4524, [Il manque du texte ici], , [Il manque du texte ici], ; ; , ,

  
/ 10837