Библия

 

Exode 11

Учиться

   

1 Or l'Eternel avait dit à Moïse, je ferai venir encore une plaie sur Pharaon, et sur l'Egypte, et après cela il vous laissera aller d'ici, il vous laissera entièrement aller, et vous chassera tout à fait.

2 Parle maintenant, le peuple l'entendant, et [leur dis] : que chacun demande à son voisin, et chacune à sa voisine, des vaisseaux d'argent, et des vaisseaux d'or.

3 Or l'Eternel avait fait trouver grâce au peuple devant les Egyptiens; et même Moïse passait pour un fort grand homme au pays d'Egypte, tant parmi les serviteurs de Pharaon, que parmi le peuple.

4 Et Moïse dit : ainsi a dit l'Eternel : environ sur la minuit je passerai au travers de l'Egypte.

5 Et tout premier-né mourra au pays d'Egypte, depuis le premier-né de Pharaon, qui devait être assis sur son trône, jusqu'au premier-né de la servante qui est employée à moudre; même tout premier-né des bêtes.

6 Et il y aura un si grand cri dans tout le pays d'Egypte, qu'il n'y en eut jamais, ni il n'y en aura jamais de semblable.

7 Mais contre tous les enfants d'Israël un chien même ne remuera point sa langue, depuis l'homme jusques aux bêtes; afin que vous sachiez que Dieu aura mis de la différence entre les Egyptiens et les Israélites.

8 Et tous ces tiens serviteurs viendront vers moi, et se prosterneront devant moi, en disant : sors, toi, et tout le peuple qui [est] avec toi; et puis je sortirai. Ainsi Moïse sortit d'auprès de Pharaon dans une ardente colère.

9 L'Eternel donc avait dit à Moïse : Pharaon ne vous écoutera point, afin que mes miracles soient multipliés au pays d'Egypte.

10 Et Moïse et Aaron firent tous ces miracles-là devant Pharaon. Et l'Eternel endurcit le cœur de Pharaon, tellement qu'il ne laissa point aller les enfants d'Israël hors de son pays.

   

Из произведений Сведенборга

 

Arcanes Célestes # 7780

Изучить этот эпизод

  
/ 10837  
  

7780. Jusqu'au premier-né de la servante qui est après les meules, signifie les vrais falsifiés de la foi qui sont au dernier rang : on le voit par la signification du premier-né, en ce que c'est la foi, numéro 7779 ; et parce que c'est la foi, c'est le vrai dans le complexe, car le vrai appartient à la foi, puisqu'il faut le croire ; par la signification de la servante, en ce qu'elle est l'affection extérieure du vrai ou l'affection des sciences, numéro 1895, 2567, 3835, 3849 ; mais la servante après les meules est l'affection la plus externe des sciences, car après les meules signifie ce qui est au dernier rang : il est dit après les meules, parce que la meule se dit des choses qui appartiennent à la foi ; en effet, par les meules le blé est réduit en farine, et est ainsi préparé pour le pain ; or, la farine signifie le vrai dont provient le bien , et le pain signifie ce bien lui-même qui provient de là : ainsi, s'asseoir aux meules, c'est s'instruire et se remplir des choses qui doivent servir à la foi et par la foi à la charité ; c'est de là que les Anciens, quand ils décrivaient les premiers rudiments de la doctrine de la foi, les ont décrits par s'asseoir aux meules, et ont décrit, ce qui était encore plus grossier, par s'asseoir après les meules : comme ces expressions ont de telles significations, c'est pour cela qu'en instruisant ses disciples sur le dernier temps de l'Église, le Seigneur dit :

« De deux qui moudront au moulin, l'une sera prise et l'autre sera laissée. " - Matthieu 24:41.

Ces expressions n'auraient en aucune manière été employées, si la meule ne signifiait pas les choses qui appartiennent à la foi : ce que c'est que la meule et ce que c'est que moudre dans le sens interne, on le voit numéro 4335. Quant à ce qui concerne les vrais de la foi qui sont au premier rang et ceux qui sont au dernier rang, il faut qu'on sache que les vrais de la foi qui sont au premier rang sont ceux qui procèdent immédiatement du bien de la charité, car ce sont des biens dans une forme, et que les vrais qui sont au dernier rang sont des vrais nus ; en effet, lorsque les vrais sont successivement dérivés, ils s'éloignent du bien à chaque degré, et enfin ils deviennent des vrais nus : tels sont les vrais qui sont signifiés par les servantes après les meules.

  
/ 10837