La Biblia

 

Jérémie 51:52

Estudio

       

52 C'est pourquoi voici, les jours viennent, dit l'Eternel, que je ferai justice de ses images taillées, et les blessés à mort gémiront par tout son pays.

De obras de Swedenborg

 

Apocalypse Explained #705

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705. APOCALYPSE. CHAPTER 12.

1. And a great sign was seen in heaven; a woman arrayed with the sun, and the moon under her feet, and upon her head a crown of twelve stars.

2. And being with child she cried out, travailing, and pained to bring forth.

3. And there was seen another sign in heaven; and behold, a great red dragon, having seven heads, and ten horns, and upon his heads seven diadems.

4. And his tail drew the third part of the stars of heaven, and cast them unto the earth. And the dragon stood before the woman who was about to bring forth, that when she brought forth he might devour her offspring.

5. And she brought forth a son, a male who is to tend all the nations with an iron rod; and her offspring was caught up unto God and His throne.

6. And the woman fled into the wilderness, where she hath a place prepared by God, that there they may nourish her a thousand two hundred and sixty days.

7. And there was war in heaven, Michael and his angels fought with the dragon, and the dragon fought and his angels.

8. And they prevailed not; and their place was not found anymore in heaven.

9. And that great dragon was cast out, that old serpent, called the devil and Satan, that seduceth the whole world; he was cast out into the earth, and his angels were cast out with him.

10. And I heard a great voice in heaven, saying, Now is come the salvation, and the power, and the kingdom of our God, and the authority of His Christ; for the accuser of our brethren is cast down, that accuseth them before our God day and night.

11. And they overcame him through the blood of the Lamb, and through the word of their testimony: and they loved not their soul even unto death.

12. For this rejoice, ye heavens, and ye that dwell in them. Woe to those that inhabit the earth and the sea, for the devil is come down unto you, having great anger, knowing that he hath but a short time.

13. And when the dragon saw that he was cast unto the earth, he persecuted the woman that brought forth the son.

14. And there were given to the woman two wings of a great eagle, that she might fly into the wilderness into her place, where she is nourished a time, and times, and half a time, from the face of the serpent.

15. And the serpent cast out after the woman out of his mouth water as a river, that he might cause her to be swallowed up by the river.

16. And the earth helped the woman; and the earth opened her mouth, and swallowed up the river, which the dragon cast out of his mouth.

17. And the dragon was angry against the woman, and went away to make war with the rest of her seed, who keep the commandments of God, and have the testimony of Jesus Christ.

18. 1 And I stood upon the sand of the sea.

Notas a pie de página:

1. English Bible, Revelation 13:1

EXPOSITION.

Verses 1, 2. And a great sign was seen in heaven; a woman arrayed with the sun, and the moon under her feet, and upon her head a crown of twelve stars. And being with child she cried out, travailing, and pained to bring forth.

1. "And a great sign was seen in heaven," signifies Divine attestation respecting the coming church and the reception of its doctrine, and by whom it will be assaulted n. 706; "a woman arrayed with the sun," signifies the church with those who are in love to the Lord, and thence in love towards the neighbor (n. 707); "and the moon under her feet," signifies faith with those who are 1 in charity n. 708; "and upon her head a crown of twelve stars," signifies the wisdom and intelligence of those who are of that church through doctrinals and the knowledges of all things of truth and good from the Word (n. 709).

2. "And being with child," signifies the nascent doctrine from the good of celestial love n. 710; "and 2 she cried out, travailing, and pained to bring forth," signifies non-reception by those who are in the church, and the resistance of those who are in faith separated from charity (n. 711).

1. In No. 705 the words "who are natural and" are crossed out, but they are found in No. 708.

2. The photolithograph has "and," which is not in the Greek.

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

De obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes #1326

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1326. C'est pourquoi il appela son nom Babel, signifie un tel culte, savoir, un culte tel que celui qui est signifié par Babel : cela est évident d'après ce qui a été dit jusqu'ici ; c'est-à-dire que c'est un culte qui renferme intérieurement l'amour de soi-même, par conséquent tout ce qui est corrompu et profane. L'amour de soi-même n'est autre chose que le propre, numéros 210, 215, combien il est corrompu et profane. De la Philautie, c'est-à-dire, de l'amour de soi-même ou du propre, découlent tous les maux, tels que les haines, les vengeances, les cruautés, les adultères, les fourberies, les hypocrisies, l'impiété ; c'est pourquoi, lorsque l'amour de soi-même ou le propre est dans le culte, il y a dans ce culte de tels maux, mais selon la différence et le degré de quantité et de qualité résultant de cet amour : de la précède toute profanation du culte ; mais voici comment cela se fait : Autant il s'introduit d'amour de soi-même ou du propre dans le culte, autant le culte interne se retire, ou autant le culte interne devient nul. Le culte interne consiste dans l'affection du bien et la reconnaissance du vrai ; mais autant il y a d'amour de soi-même ou autant il y a de propre qui s'insinue ou qui entre, autant l'affection du bien et la reconnaissance du vrai se retirent ou sortent. Le saint ne peut utilement être avec le profane, pas plus que le ciel ne peut être avec l'enfer ; mais l'un doit s'éloigner de l'autre : tel est l'état et l'ordre dans le Royaume du Seigneur. C'est pour cela que chez de tels hommes, dont le culte est appelé Babel, il n'y à point de culte interne, mais ce qu’ils adorent est quelque chose de mort et même de cadavéreux à l'intérieur. On voit par là quel est leur culte externe dans lequel est une telle putréfaction. Que Babel soit un tel culte, c'est ce qu'on voit, dans la Parole, dans tous les passages où Babel est décrite, comme dans Daniel, où la statue que vit en songe Nébuchadnezar, Roi de Babel, et dont la tête était d'or, la poitrine et les bras d'argent, le ventre et les cuisses d'airain, les jambes de fer, les pieds d'un mélange de fer et d'argile, signifie que du véritable culte est dérive un culte qui est enfin devenu tel qu'est celui qu'on nommé Babel ; c'est pour cela même qu'une pierre détachée du rocher brisa le fer, l'airain, l'argile, l'argent et l'or.

Daniel 2:31, 32, 44-45.

La statue d'or que Nébuchadnezar Roi de Babel érigea pour qu'elle fût adorée, n'était pas non plus autre chose. - Daniel 3:1, jusqu'à la fin, - C'était encore le même culte qui fut représenté lorsque le Roi de Babel, avec les grands de son royaume buvait du vin dans des vases d'or enlevés du Temple de Jérusalem, et louait des Dieux d'or, d'argent, d'airain, de fer et de pierre, et c'est pour cela qu'il parut une inscription sur la muraille, - Daniel 5:1, jusqu’à la fin.

Puis, lorsque Darius le Mède ordonnait qu'on l'adorât comme un Dieu, - , Daniel , jusqu'à la fin. Enfin c'est aussi le même culte qui est représenté dans Jean par les Bêtes et la Babel de l'Apocalypse. Ce n'est pas seulement dans Daniel et dans Jean qu'on voit clairement qu'un tel culte a été signifié et représenté, on en trouve aussi la preuve dans les Prophètes ; dans Ésaïe :

« Leurs visages (seront) des visages des flammes ; les étoiles des cieux et leurs constellations ne font point briller leur lumière ; le soleil a été obscurci à son lever, et la lune ne fait point resplendir sa lumière : Les ziim » y couchent, et leurs maisons sont remplies d'Ochim, et les filles de la chouette y habitent, et les satyres y dansent ; et les ziim répondent dans ses palais, et les dragons dans ses édifices de volupté. » - Ésaïe 13:8, 10, 21-22.

Là, il s'agit de Babel, et l'interne d'un tel culte est décrit par les visages de flammes qui sont les cupidités ; par les étoiles, qui sont les vérités de la foi, en ce qu'elles ne brillent point ; par le soleil, qui est l'amour saint, en ce qu'il est obscurci ; par la lune, qui est le vrai de la foi, en ce qu'elle ne resplendit point ; par les ziim, les ochim, les filles de la chouette, les satyres, les ziim, les dragons, qui sont les intérieurs du culte, car de telles représentations appartiennent à l'amour de soi ou au propre : c'est aussi pour cela que, dans Jean Babel est nommé

« la mère des prostitutions et des abominations. » - Apocalypse 18:5. -. Puis

« la Demeure des dragons, et la prison de » tout esprit immonde, et la prison de tout oiseau immonde et odieux. » - Apocalypse 18:2.

D'où il est évident que, quand de telles choses sont dans l'intérieur, il est impossible qu'il y ait quelque bien et quelque vrai de la foi, et que les biens de l'affection et les vérités de la foi s'éloignent à proportion qu'elles entrent, elles sont aussi nommées

« les images taillées des Dieux de Babel. » - Ésaïe 21:9.

Que Babel soit l'amour de soi-même ou le propre qui est dans le culte, ou le culte de soi-même, c'est ce qu'on voit clairement dans Ésaïe :

« Prophétise cette parabole sur/e Roi de Babel : Tu as dit dans ton cœur : Je monterai aux cieux ; j'élèverai mon trône par-dessus les étoiles de Dieu, et je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, aux côtés du septentrion ; je monterai au-dessus des hauts lieux de la nuée ; je deviendrai » semblable au Très-Haut ; cependant tu seras précipité dans l'enfer. » - Ésaïe 14:4, 13-14, 15.

Ici, il est évident que Babel veut être adoré comme un Dieu, c'est-à-dire, que Babel est le culte de soi-même. Dans le même Prophète :

« Descends, assieds-toi sur la poussière, vierge, fille de Babel ; assieds-toi à terre, » point de trône, fille des Chaldéens. Tu t'es confiée dans la malice ; tu as dit : Nul ne me voit ; ta sagesse et ta science (c'est) ce (qui) t'a détournée ; tu as dit dans ton cœur : Moi ! Et point d'autre comme moi ! » - Ésaïe 47:1, 10.

Dans Jérémie :

« Me » voici contre toi, montagne qui corromps, qui corromps toute la terre ; et j'étendrai ma main sur toi, et je te roulerai en bas des rochers, et te changerai en montagne de combustion. Si Babel est montée dans les cieux et si elle a affermi le haut lieu de sa force, (c'est) d'avec Moi (que} lui viendront ses dévastateurs. » - Jérémie 51:25, 53. -De là il est encore évident que Babel est le culte de soi-même. Que ceux qui sont dans ce culte n'aient aucune lumière du vrai, mais qu'ils soient dans une complète obscurité, c'est-à-dire qu'ils n'aient point le vrai de la foi, c'est ce qui est décrit dans Jérémie :

« La Parole que Jéhovah prononça contre babel, contre la terre des Chaldéens : Une nation montera contre elle du septentrion ; elle mettra sa terre en désolation, et il n'y aura point d'habitant en elle ; depuis l'homme jusqu'à la bête, ils se retireront, ils s'en iront. » - Jérémie 50:1, 3.

Le septentrion est l'obscurité on l'absence du vrai ; point d'homme, point de bête, c'est-à-dire, nul bien. On pourra voir plus de détails sur Babel au vers. 23, ci-après, où il est question de la Chaldée.

  
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