La Biblia

 

Jérémie 51:24

Estudio

       

24 Mais je rendrai à Babylone, et à tous les habitants de la Caldée, tout le mal qu'ils ont fait à Sion, vous le voyant, dit l'Eternel.

De obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes #9424

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9424. Et voici, Aharon et Chur avec vous signifie la doctrine du vrai d'après une telle parole : on le voit par la représentation d'Aharon, en ce que qu'il est la Parole dans le sens externe, et aussi la doctrine du bien et du vrai, numéros 6998, 7009, 7089, ici la doctrine du vrai d'après ce sens seul, parce que les anciens, auxquels Aharon commandait comme chef au bas de la montagne, signifient ceux qui sont dans le sens externe de la Parole, numéro 9421 ; et par la représentation de Chur, quand il est adjoint à Aharon, en ce qu'il est le vrai de cette doctrine, comme aussi lorsqu'avec Aharon il soutint les mains de Moïse, - Exode 17:10, 12, - numéros 8603, 8611 ; en effet, les Vrais d'après la Parole, desquels provient la doctrine, soutiennent la Parole qui était alors présentée par Moïse. Puisque l'occasion se présente ici de nouveau, il sera dit en peu de mots ce qu'il en est du soutien de la Parole par la doctrine tirée de la Parole : Celui qui ne connaît point les arcanes du ciel ne peut s'empêcher de croire que la Parole est soutenue sans une Doctrine tirée de la Parole ; car il s'imagine que la Parole dans la lettre, ou le sens littéral de la Parole, est la doctrine elle-même, mais il faut qu'on sache que toute doctrine de l'Église doit être d'après la Parole, et qu'une doctrine tirée d'autre part que de la Parole, n'est pas une doctrine dans laquelle il y ait quelque chose de l'Église, et moins encore quelque chose du Ciel ; mais la doctrine doit être recueillie de la Parole, et quand elle est recueillie l'homme doit être dans l'illustration par le Seigneur, et il est dans l'illustration quand il est dans l'amour du vrai pour le vrai, et non pour soi ni pour le monde : ce sont ceux-là qui sont illustrés dans la Parole quand ils la lisent, et qui voient le vrai, et par suite se font une doctrine ; s'il en est ainsi, c'est parce que ces hommes communiquent avec le ciel, par conséquent avec le Seigneur, et ainsi illustrés par le Seigneur ils sont conduits à voir les vrais de la Parole tels qu'ils sont dans le ciel, car le Seigneur influe par le ciel dans leur entendement, puisque c'est l'entendement intérieur de l'homme, qui est illustré ; et alors le Seigneur influe en même temps avec la foi, au moyen de la coopération de la nouvelle volonté, dont le propre est d'être affecté du vrai pour le vrai : d'après cela on peut maintenant voir comment la Doctrine du vrai et du Bien est donnée à l'homme par le Seigneur. Que cette Doctrine soutienne la Parole quant à son sens littéral ou externe, cela est évident pour quiconque réfléchit ; car dans l'Eglise tout homme qui pense d'après une doctrine voit les vrais dans la Parole d'après et selon sa doctrine et les choses qui ne coïncident pas avec elle, il les explique, et celles qui lui semblent opposées, il passe par-dessus comme quelqu'un qui ne voit point ou ne comprend point il est notoire que tous 'agissent ainsi, même les hérétiques : quant à ceux qui sont dans la Doctrine réelle du vrai d'après la Parole, et dans l'illustration en lisant la Parole, ils voient les vrais concordants partout, et il n'y a absolument rien qui soit contradictoire ; en effet, ils ne s'arrêtent point aux choses qui y ont été dites suivant les apparences et selon la pensée vulgaire de l'homme, parce qu'ils savent que si les apparences sont développées et pour ainsi dire démaillotées, le vrai s'y manifeste à nu ; les faux provenant des illusions des sens externes ne les séduisent pas, ainsi qu'ils séduisent les hérétiques et les fanatiques, et principalement les Juifs et les Sociniens ; et les faux provenant des amours de soi et du monde ne les séduisent pas non plus, ainsi qu'ils séduisent ceux qui sont entendus par Babel ; comme ces deux sortes d'hommes ainsi séduits ne peuvent pas être illustrés, ils se forgent en faveur de leurs amours une doctrine d'après le sens externe seul, et ils y ajoutent plusieurs choses tirées du propre ; par suite la Parole n'a aucun soutien, mais elle tombe. Il faut qu'on sache que le sens interne de la Parole contient la doctrine réelle de l'Église. Mais d'après cela, on peut voir quelle doctrine est représentée ici par Aharon et Chur ; comme elle était tirée du seul sens externe, elle était entièrement idolâtrique ; c'est pourquoi il est dit d'Aharon, par qui une telle doctrine était représentée, que c'est lui qui fit l'idole ou le veau d'or, Exode 32:2-3, 4-5, 21, 35, 20.

Dans la Parole, par les idoles sont aussi représentées de telles doctrines ; ainsi çà et là dans les prophètes ; dans Ézéchiel :

« J'entrai, et je vis toutes les idoles de la maison d'Israël, peintes sur la muraille, tout autour ; et soixante-dix hommes d'entre les anciens de la maison d'Israël se tenaient devant elles, et chacun avait son encensoir en sa main, et une abondance de la nuée du parfum montait. “ - Ézéchiel 8:10-11 ;

Ici les idoles de la maison d'Israël sont les doctrines tirées du seul sens externe de la Parole, non par l'illustration provenant du Seigneur, mais par la propre intelligence, ainsi ce sont les faux ; le culte selon ces faux est signifié par l'encensoir dans la main de chacun et par l'abondance de la nuée du parfum.

Dans Osée :

« Ils continuent à pécher, ils se font une image de foule de leur argent, dans leur intelligence un ouvrage d'artistes tout entier ; à eux ils disent : En sacrifiant l'homme, les veaux on baise. » - Osée 13:2.

L'image de fonte de leur argent, et l'ouvrage d'artistes, c'est la doctrine d'après la propre intelligence, et non d'après le Seigneur, ainsi d'après le sens externe de la Parole séparé de son interne, ce qui arrive chez ceux qui sont seulement dans les externes et non en même temps dans les internes, c'est-à-dire, chez ceux qui sont dans les amours de soi et du monde, et non dans l'amour envers le Seigneur ni dans l'amour à l'égard du prochain. Dans Ésaïe :

« En ce jour-là l'homme jettera les idoles de son argent et les idoles de son or, qu'ils se sont faites pour se prosterner devant les taupes et les chauves-souris, et entrer dans les fentes des rochers et dans les fissures des roches. » - Ésaïe 2:20, .

Les idoles d'argent sont les faux de la doctrine, et les idoles d'or les maux de la doctrine ; se prosterner devant les taupes et les chauves-souris, et entrer dans les fentes des rochers et dans les fissures des roches, c'est le culte d'après les faux et les maux de la foi.

Dans le Même :

« Impure vous jugerez la couverture des images taillées de ton argent, et le revêtement de l'image de fonte de ton or ; tu les disperseras comme des menstrues, ordure tu appelleras cela. » - Ésaïe 30:22.

La couverture des images taillées d'argent et le revêtement de l'image de fonte d'or, ce sont les scientifiques du faux et du mal, qui sont reconnus et adorés comme des vrais et des biens.

Dans le Même :

« Je t'ai annoncé dès lors ces choses, de peur que tu ne disses : Mon idole les a faites, et mon image taillée, et mon image de fonte les ont commandées. » - Ésaïe 48:5.

Ici aussi l'idole, l'image taillée et l'image de fonte sont les doctrinaux d'après la propre intelligence.

Dans Jérémie :

« Insensé est devenu tout homme par la science, de honte a été affecté tout fondeur par l'image taillée, car mensonge (est) son image de fonte, et point de respiration en elles ; vanité elles (sont), ouvrage d'erreurs. » - Jérémie 10:14-15.

Ici aussi l'image taillée et l'image de fonte sont des doctrinaux d'après la propre intelligence, lesquels, dans la forme externe, parce qu'ils proviennent du sens externe de la Parole, se présentent comme des vrais, mais dans la forme interne, ce sont des faux ; de là il est dit que cet homme est insensé par la science, que l'image de fonte est mensonge, qu'il n'y a point de respiration en elles, qu'elles sont vanité et ouvrage d'erreurs : pareillement dans Habacuc :

« De quoi sert l'image taillée, car son sculpteur l'a taillée ? l'image de fonte et le docteur de mensonge, car le sculpteur s'est confié sur son œuvre ? » - Habacuc 2:18.

Dans Ésaïe :

« Un ouvrier fond l'image et un orfèvre étend l'or par- dessus, et des chaînettes d'argent il fond ; un ouvrier sage il se cherche pour préparer une image taillée. » - Ésaïe 40:19-20, - ici pareillement l'image taillée est le doctrinal d'après la propre intelligence ; la vraisemblance qui y est introduite, au moyen de la Parole, d'après le sens externe seul et en même temps d'après les illusions et les apparences externes, est signifiée en ce qu'un orfèvre étend l'or par-dessus l'image, et fond des chaînettes d'argent, et en ce qu'il cherche un ouvrier sage pour la préparer.

Dans le Même :

« Les fabricateurs d'image taillée (sont) tous vanité, et leurs choses les plus désirées ne servent de rien ; il forge du fer avec des tenailles, et il opère avec le charbon, et avec les marteaux acérés il le forme ; ainsi il le fait par le bras de sa force ; il façonne des bois, il étend un fil ; il la trace à la ligne, il la fait dans les angles, et dans le contour il la termine, afin de la faire en forme d'homme selon la beauté de l'homme pour habiter dans une maison. » - .

Il est décrit ici comment est formée la doctrine provenant de la propre intelligence et non de quelque illustration venant du Seigneur, et comment la ressemblance du vrai est donnée aux faux par des explications de la Parole d'après le sens externe seul, et par des raisonnements d'après les illusions des sens : c'est pourquoi il est dit afin de la faire en forme d'homme selon la beauté de l'homme pour habiter dans une maison, d'où il résulte qu'il y a ressemblance du vrai dans la forme externe, mais fausseté dans la forme interne : il y a fausseté dans la forme interne, quand on ne pense pas sainement à l'égard des vrais ; car à l'égard d'une même vérité l'on pense d'une manière, et l'autre d'une autre, mais tous ceux qui sont dans le mal pensent d'une manière fausse ; car une vérité consiste en une infinité d'autres vérités ; mais chez ceux qui sont dans le mal elle consiste en une infinité de faussetés ; de là chez ceux-ci il n'y a dans cette vérité aucune vie, ce qui est entendu par “ Il n'y a point de respiration en elles » - et par « elles n'entendent, ni ne voient, ni ne comprennent. » - Psaumes 115:4-5, 6 :

Il en est de cela comme d'une peinture faite à la ressemblance d'un homme, au dedans de laquelle il n'y a que de la boue, respectivement à la forme de l'homme lui-même, au dedans de laquelle il y a la vie, et la beauté céleste, s'il y a les vrais d'après le bien.

  
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De obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes #4060

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4060. Que par conséquent ces paroles, qui sont rapportées ici, signifient l'état de l'Eglise alors quant au bien, c'est-à-dire, quant à la charité envers le prochain et à l'amour pour le Seigneur, on le voit par leur sens interne ; voici ce sens : Or aussitôt après l'affliction de ces jours, signifie l'état de l'Église quant au vrai qui appartient à la foi, état dont il s'agit dans ce qui précède ; dans la Parole, çà et là, la désolation du vrai est appelée affliction ; que les jours soient les états, on le voit numéro 23, 487, 488, 493, 893, 2788, 3462, 3785 ; de là il est évident que ces paroles signifient que, quand il n'y aura plus aucune foi, il n'y aura aucune charité ; car la foi conduit à la charité, parce qu'elle enseigne ce que c'est que la charité, et la charité reçoit sa qualité des vrais qui appartiennent à la foi, mais les vrais de la foi reçoivent leur essence et leur vie de la charité, ainsi qu'il a été plusieurs fois montré dans les Parties précédentes de cet ouvrage. Le soleil sera obscurci et la lune ne donnera point sa lueur, signifie l'amour pour le Seigneur, qui est le Soleil, et la charité envers le prochain, laquelle est la lune ; être obscurci et ne point donner sa lueur, signifie que cet amour et cette charité ne se montreront point, qu'ainsi ils s'évanouiront ; que le Soleil soit le céleste de l'amour, et la Lune le spirituel de l'amour, c'est-à-dire, que le soleil soit l'amour pour le Seigneur, et la lune la charité envers le prochain, charité qui existe par la foi, on le voit numéro 1053, 1529, 1530, 2120, 2441, 2495 ; si telle est la signification du soleil et de la lune, c'est parce que le Seigneur dans l'autre vie apparaît comme Soleil à ceux qui dans le Ciel sont dans l'amour pour Lui, lesquels sont appelés célestes, et connue Lune à ceux qui sont dans la charité envers le prochain, lesquels sont appelés spirituels, voir numéro 1053, 1521, 1529, 1530, 1531, 3636, 3643. Jamais le Soleil et la Lune dans les cieux, ou le Seigneur, ne sont obscurcis ni ne perdent leur lueur, mais ils luisent perpétuellement, jamais non plus l'amour pour le Seigneur chez les célestes, et la charité envers le prochain chez les spirituels dans les cieux, ni sur la terre chez ceux dans lesquels sont ces Anges, c'est-à-dire, chez ceux qui sont dans l'amour et dans la charité ; quant à ceux qui ne sont dans aucun amour ni dans aucune charité, mais qui sont dans l'amour de soi et du monde, et par suite dans les haines et les vengeances, eux-mêmes introduisent en eux cet obscurcissement ; il en est de cela comme du soleil du monde, le soleil luit perpétuellement, mais quand des nuages s'interposent, il ne se montre point, voir numéro 2441. Et les étoiles tomberont du Ciel, signifie que les connaissances du bien et du vrai périront.

Dans la Parole, les étoiles quand elles sont nommées ne signifient pas autre chose, numéro 1808, 2849. Et les puissances des deux seront ébranlées, signifie les fondements de l'Église, qui sont dits être ébranlés et secoués quand ils périssent ; en effet, l'Église sur la terre est le fondement du ciel, car l'influx du bien et du vrai, venant du Seigneur par les cieux dans les biens et les vrais qui sont chez l'homme de l'Église, est terminé dans le dernier ; quand donc l'homme de l'Église est dans un tel état perverti, qu'il n'admet plus l'influx du bien et du vrai, alors les puissances des cieux sont dites ébranlées ; c'est pourquoi le Seigneur pourvoit toujours à ce qu'il reste quelque chose de l'Église, et qu'une Église nouvelle soit instaurée quand la vieille Église périt. Et alors apparaîtra le signe dit Fils de l'homme dans le Ciel, signifie alors l'apparition du Vrai Divin ; le signe est l'apparition, le Fils de l'homme est le Seigneur quant au Vrai Divin, voir numéro 2803, 2813, 3704 ; c'est sur cette apparition , ou sur ce signe, que les disciples interrogeaient le Seigneur, quand ils lui disaient :

« Dis-nous quand ces choses arriveront, et quel (sera) le signe de ton avènement et de la consommation du siècle, » Vers. 3 de ce Chapitre ; car ils savaient d'après la Parole, que quand le siècle serait consommé le Seigneur viendrait ; et ils savaient, d'après le Seigneur, qu'il devait venir de nouveau, et par là ils avaient compris que le Seigneur viendrait une seconde fois dans le monde ne sachant pas encore que le Seigneur était venu autant de fois que l'Église avait été dévastée ; non pas qu'il fût venu en personne, comme lorsqu'il prit l'Humain par naissance et le fit Divin, mais il était venu par des apparitions, soit manifestes, comme lorsqu'il apparut à Abraham dans Mamré, à Moïse dans le buisson, au peuple Israélite sur la Montagne de Sinaï, à Josué quand il entra dans la terre de Canaan ; soit non de même manifestes, comme par les inspirations par lesquelles il a donné la Parole ; et enfin par la Parole, car dans la Parole le Seigneur est présent, puisque tout ce qui appartient à la Parole vient de Lui et traite de Lui, comme on peut le voir d'après ce qui a été montré plusieurs fois jusqu'ici ; c'est là l'apparition qui est signifiée ici par le signe du Fils de l'homme, et dont il s'agit dans ce Verset. Et alors gémiront toutes les tribus de la terre, signifie que tous ceux qui sont dans le bien de l'amour et dans le vrai de la foi seront dans la douleur ; que le gémissement ait cette signification, on le voit dans Zacharie Ch. Zacharie 12:10, 11, 12, 13, 14 ; et que les tribus signifient toutes les choses du bien et du vrai, ou de l'amour et de la foi, on le voit numéro 3858, 3926, par conséquent ceux qui sont dans le bien de l'amour et dans le vrai de la foi ; il est dit les tribus de la terre, parce qu'ici sont signifiés ceux qui sont au dedans de l'Église ; que la terre soit l'Église, on le voit numéro 662, 1066, 1067, 1262, 1733, 1850, 2117, 2928, 3355. Et elles verront le Fils de l'homme venant dans les nuées des Cieux avec puissance et beaucoup de gloire, signifie qu'alors sera révélée la Parole quant à son sens interne, dans lequel est le Seigneur ; le Fils de l'homme est le Vrai Divin qui est dans la Parole ; numéro 2803, 2813, 3704 ; la nuée est le sens littéral ; la puissance se dit du bien, et la gloire se dit du vrai, qui y sont ; que ce soit là ce qui est signifié par voir le Fils de l'homme venir dans les nuées du Ciel, c'est ce qui a été expliqué dans la Préface du Chapitre 18 de la Genèse : cet avènement du Seigneur est celui qui est entendu ici, mais ce n'est pas une apparition dans les nuées selon la lettre ; ce qui suit maintenant concerne l'instauration de la nouvelle Eglise, ce qui a lieu quand la vieille Église a été dévastée et rejetée. Et il enverra ses Anges avec trompette et voix grande, signifie l'élection, non par des Anges visibles, et moins encore avec des trompettes et de grandes voix, mais par l'influx du Saint bien et du Saint vrai procédant du Seigneur par les Anges ; aussi les Anges dans la Parole signifient-ils quelque chose qui appartient au Seigneur, numéro , 3039 ; ici, ils signifient les choses qui procèdent du Seigneur et qui traitent du Seigneur ; la trompette et la voix grande signifient l'évangélisation , comme aussi ailleurs dans la Parole. Et ils assembleront les élus des quatre vents, depuis l'extrémité des cieux jusqu'à leur extrémité, signifie l'instauration de la nouvelle Église ; les élus sont ceux qui sont dans le bien de l'amour et de la foi, numéro 3755 (fin). 3900 ; les quatre vents d'où ils seront assemblés sont tous les états du bien et du vrai, numéro 3708 ; depuis l'extrémité des cieux jusqu'à leur extrémité, ce sont les internes et les externes de l'Église. Telles sont donc les choses qui sont signifiées par ces paroles du Seigneur.

  
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