La Biblia

 

Genèse 48:5

Estudio

       

5 Or maintenant tes deux fils, qui te sont nés au pays d'Egypte, avant que j'y vinsse vers toi, sont miens : Ephraïm et Manassé seront miens comme Ruben et Siméon.

De obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes #6126

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6126. Et pour le troupeau du menu bétail, et pour le troupeau du gros bétail, signifie les biens intérieurs et extérieurs du vrai : on le voit par la signification du menu bétail, en ce que ce sont les biens intérieurs, et par la signification du gros bétail, en ce que ce sont les biens extérieurs, numéro 5913 ; et comme ce sont les biens du vrai qui sont signifiés, il est dit le troupeau du menu bétail et le troupeau du gros bétail ; le troupeau (pecus) est le bien du vrai, numéro 6016, 6045, 6049.

  
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De obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes #6049

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6049. Et dites : Hommes de bétail ont été tes serviteurs dès leurs jeunesses et jusqu'à maintenant, signifie que les vrais d'après lesquels il y a le bien sont à eux dès le commencement et encore : on le voit par la signification des hommes de bétail, en ce que ce sont les vrais d'après lesquels il y a le bien, numéro 6016, 6045 ; et par la signification de dès leurs jeunesses et jusqu'à maintenant, en ce que c'est dès le commencement et encore. Quant à ce que les bestiaux (pecora) sont les vrais d'après lesquels il y a le bien, il faut qu'on sache que les bestiaux sont toutes les bêtes grandes et petites, tant celles qui sont dans le menu bétail que celles qui sont dans le gros bétail, et en outre les chameaux, les chevaux, les mulets, les ânes ; celles-ci signifient des choses qui se réfèrent aux vrais, mais celles-là, à savoir, celles du gros et du menu bétail signifient des choses qui se réfèrent au bien ; de là vient que toutes ces bêtes en général, qui sont les bestiaux, signifient les vrais d'après lesquels il y a le bien. Dans la Langue originale le nom de Bestiaux (Pecora) est dérivé d'un mot qui signifie aussi acquisition, et l'acquisition dans le sens spirituel est aussi le vrai d'après lequel il y a le bien ; et cela, parce que le bien est acquis par le vrai : mais les bêtes (pecudes) signifient les biens intérieurs, car elles appartiennent au menu bétail, comme agneaux, brebis, chevreaux, chèvres, béliers. Les bestiaux (pecora) signifient aussi les vrais d'après lesquels il y a le bien, dans d'autres passages de la Parole, par exemple, dans Ésaïe :

« Alors il donnera la pluie de ta semence, dont tu ensemenceras la terre, et le pain du produit de la terre, et il y aura graisse et opulence ; tes bestiaux paîtront en ce jour-là dans une prairie large. » - Ésaïe 30:23.

Paître, c'est être instruit dans les vrais et sur les biens, numéro 5201 ; la prairie large, c'est la doctrine du vrai, il est dit large, parce que la largeur est le vrai, numéro 3433, 3434, 4482 ; de là il est évident que les bestiaux sont les vrais d'après lesquels il y a le bien.

Dans Ézéchiel :

« Pour ramener ta main sur les dévastations habitées, et sur le peuple rassemblé d'entre les nations, travaillant en bestiaux et en possession ; ceux qui habitent sur l'ombilic de la terre. » - Ézéchiel 38:12.

Les bestiaux sont pareillement les vrais par lesquels il y a le bien ; la possession, c'est le bien.

  
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