La Biblia

 

Exode 29:15

Estudio

       

15 Tu prendras l'un des béliers, et Aaron et ses fils poseront leurs mains sur la tête du bélier.

De obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes #4581

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4581. Et il fit sur elle une libation, signifie le Divin Bien du vrai : on le voit par la signification de la libation, en ce qu'elle est le Divin bien du vrai, comme il sera montré plus tard ; car il faut d'abord dire ce que c'est que le bien du vrai ; Le bien du vrai est ce qui a été appelé ailleurs le bien de la foi, et c'est l'amour à l'égard du prochain, ou la charité : il y a deux genres universels du Bien, l'un qui est appelé le Bien de la foi, et l'autre qui est appelé le Bien de l'amour. C'est le Bien de la foi, qui est signifié par la Libation, et le Bien de l'amour qui l'est par l'Huile ; ceux que le Seigneur conduit au Bien par le chemin interne sont dans le Bien de l'amour, et ceux qu'il y conduit par le chemin externe sont dans le bien de la foi ; les hommes de l'Église céleste, et de même les Anges du Ciel intime ou troisième Ciel, sont dans le bien de l'amour ; mais les hommes de l'Église spirituelle, et de même les anges du Ciel moyen ou second Ciel, sont dans le bien de la foi ; de là vient que le bien de l'amour est appelé bien céleste, et le bien de la foi bien spirituel ; il y a la même différence qu'entre bien vouloir d'après le bien vouloir, et bien vouloir d'après le bien comprendre ; ce bien donc, savoir, le bien spirituel ou le bien de la foi, ou le bien du vrai, est ce qui est signifié par la Libation ; mais l'autre, savoir, le bien céleste, ou le bien de l'amour, est ce qui est entendu par l'Huile dans le sens interne : que ce soit là ce qui est signifié par l'Huile et par la Libation, on ne peut le voir, il est vrai, que par le sens interne, mais néanmoins chacun peut conclure que des choses saintes ont été représentées par elles, car si, des choses saintes n'eussent pas été représentées par elles, faire une libation et répandre de l'huile sur une statue de pierre n'aurait été qu'une sorte de divertissement idolâtrique : de même que si, quand on crée un Roi, le cérémonial, à savoir, lui mettre une Couronne sur la tête, lui verser de l'huile sur le front et sur les poignets des mains avec une corne, lui donner un sceptre dans la main, et en outre une épée et des clefs, le revêtir d'un manteau de pourpre, l'asseoir alors sur un trône d'argent, le faire ensuite monter à cheval avec les ornements de la Royauté, et le faire servir à table par les principaux de l'état, etc., ne signifiait pas et n'enveloppait pas des choses saintes ; si cela ne représentait pas des choses saintes, et n'était pas saint par la correspondance avec les choses qui appartiennent au Ciel et par suite à l'Église, ce ne serait qu'un divertissement comme ceux des petits enfants, mais dans une forme plus grande, ou comme une scène de théâtre ; mais néanmoins tous ces rites ont tiré leur origine des temps Très-Anciens, quand les rites étaient saints par cela qu'ils représentaient des choses saintes, et correspondaient aux choses saintes qui sont dans le Ciel et par suite dans l'Église ; aujourd'hui aussi ils passent pour des choses saintes, non pas qu'on sache ce qu'ils représentent ou à quoi ils correspondent, mais par une interprétation comme d'emblèmes qui sont en usage ; mais si l'on savait ce que représentent et à quoi correspondent la couronne, l'huile, la corne, le sceptre, l'épée, les clefs, l'équitation sur un cheval blanc, le repas où les principaux de l'état font l'office de serviteurs, on penserait à ce cérémonial bien plus saintement ; mais on ne le sait pas, et ce qui est étonnant, on ne veut pas le savoir ; tant ont été détruits aujourd'hui dans les mentals les représentatifs et les significatifs qui sont dans ces cérémonies, et ceux qui sont partout dans la Parole ! Que la Libation signifie le bien du vrai ou le bien spirituel, on peut le voir par les sacrifices dans lesquels on l'employait ; les Sacrifices se faisaient ou avec du gros bétail ou avec du menu bétail, et ils étaient représentatifs du Culte interne du Seigneur, numéro 922, 923, 1823, 2180, 2805, 2807, 2830, 3519 ; on y ajoutait la Minchah et la Libation ; la Minchah qui était composée de fleur de farine mêlée d'huile signifiait le bien céleste, ou, ce qui est la même chose, le bien de l'amour, l'huile l'amour envers le Seigneur, et la fleur de farine la charité à l'égard du prochain ; mais la Libation qui consistait en Vin signifiait le bien spirituel, ou, ce qui est la même chose, le bien de la foi : l'une et l'autre donc, savoir, la Minchah et la Libation signifiaient les mêmes choses que le Pain et le Vin dans la Sainte-Cène. Que la Minchah et la Libation fussent ajoutées aux holocaustes et aux sacrifices, on le voit dans Moïse :

« Tu feras deux agneaux fils d'un an chaque jour perpétuellement, un agneau tu feras au matin, et l'autre agneau tu feras entre les soirs ; et un dixième de fleur de farine mêlée d'huile pilée, le quart d'un hin, et une Libation du quart d'un hin de vin, pour le premier agneau ; de même aussi pour l'autre agneau. » - Exode 29:38, 39, 40-41.

Dans le Même :

« Vous ferez, au jour que vous agiterez la poignée des prémices de la moisson, un agneau sans défaut fils d'un an en holocauste à Jéhovah, dont à la Minchah (sera) de deux dixièmes de fleur de farine mêlée d'huile, et la Libation de vin, du quart d'un hin. » - Lévitique 23:12-13, 18.

Dans le Même :

« Dans le jour où seront accomplis les jours du Naziréat, il offrira son présent à Jéhovah, des sacrifices, comme aussi une corbeille d'azymes de fleur de farine, des gâteaux mêlés d'huile, et des beignets d'azymes oints d'huile, avec leurs Minchah et leurs Libations. » Nombres 6:13-14, 15, 17.

Dans le Même :

« Sur l'holocauste on fera une Minchah de fleur de farine, d'un dixième, mêlée au quart d'un hin d'huile, du vin pour libation le quart d'un hin : autrement sur l'holocauste d'un bélier, et autrement sur l'holocauste d'un bœuf. » Nombres 15:3, 4, 5, 11.

Dans le Même :

« Pour l'holocauste perpétuel tu feras la Libation du quart d'un hin pour un agneau ; dans le saint répands la libation d'un hin à Jéhovah » Nombres 28:6-7.

En outre, sur les Minchahs et sur les Libations dans les sacrifices de divers genre, voir . Que la Minchah et la Libation aient eu ces significations, on peut aussi le voir, en ce que l'amour et la foi constituent le tout du culte ; et que le pain qui là est la fleur de farine mêlée d'huile, et le Vin, signifient l'amour et la foi, ainsi le tout du culte, dans la Sainte-Cène, on le voit numéro 1798, 2165, 2177, 2187, 2343, 2359, 3461, 3735, 3813, 4211, 1917. Mais lorsqu'on se fut éloigné du représentatif réel du culte du Seigneur, et qu'on se fut tourné vers d'autres Dieux, et qu'on leur fit des libations, les Libations signifiaient ce qui est opposé à la Charité et à la foi, à savoir, les maux de l'amour du monde et les faux ; comme dans Ésaïe :

« Vous vous êtes échauffés pour des Dieux sous tout arbre verdoyant, et même pour eux tu as répandu une Libation, tu as offert une Minchah. » - Ésaïe 57:5-6 ; S'échauffer pour des Dieux, c'est par les convoitises du faux ; les Dieux sont les faux, numéro 4402 (fin). 4544 ; sous tout arbre verdoyant, c'est d'après la foi de tous les faux, numéro 2722, 4552 ; répandre pour eux une libation et offrir une minchah, c'est le culte de ces faux.

Dans le Même :

« Vous qui abandonnez Jéhovah, qui oubliez la montagne de ma sainteté, qui dressez à Gad une fable, et qui emplissez à Meni une Libation. » - Ésaïe 65:11.

Dans Jérémie :

« Les fils amassent le bois, et les pères allument le feu, et les femmes pétrissent de la pâte pour faire des gâteaux à la reine des cieux, et pour faire libation à d'autres Dieux. » - Jérémie 7:18.

Dans le Même :

« En faisant nous ferons toute parole qui est sortie de notre bouche, en faisant des encensements à la reine des cieux, et en lui faisant des Libations, comme nous avons fait nous et nos pères, et nos princes, dans les villes de Juda et dans les places de Jérusalem. » Jérémie 44:17, 18, 19 ;

La reine des cieux, ce sont tous les faux, car l'armée des cieux dans le sens réel signifie les vrais, mais dans le sens opposé les faux ; il en est de même, du roi et de la reine, ainsi la reine signifie tous les faux ; lui faire des libations, c'est leur rendre un culte.

Dans le Même :

« Les Chaldéens brûleront la ville, et les maisons sur le toit desquelles on a fait des encensements à Baal, et des libations à d'autres Dieux. » Jérémie 32:29 ;

Les Chaldéens signifient ceux qui sont dans un culte où est le faux ; brûler la ville, c'est détruire et dévaster ceux qui sont dans les doctrinaux du faux ; faire des encensements à Baal sur les toits des maisons, c'est le culte du mal ; faire des libations à d'autres Dieux, c'est le culte du faux.

Dans Osée :

« Ils n'habiteront point dans la terre de Jéhovah ; et retournera Éphraïm en Egypte, et en Assyrie ils mangeront ce qui est impur ; ils ne feront point à Jéhovah de libations de vin. » Osée 9:3-4 ;

Ne point habiter dans la terre de Jéhovah, c'est ne point être dans le bien de l'amour ; Éphraïm retournera en Egypte, c'est l'intellectuel de l'Eglise, qui deviendra scientifique et sensuel ; en Assyrie ils mangeront ce qui est impur, ce sont les impuretés et les choses profanes provenant du raisonnement ; ils ne feront point à Jéhovah de libations de vin, signifie qu'il n'y aura aucun culte d'après le vrai.

Dans Moïse :

« On dira ; Où (sont) leurs Dieux, le rocher auquel ils se sont Confiés, qui ont mangé la graisse des sacrifices, ont bu le vin de leur libation ? qu'ils se lèvent et qu'ils les aident !Deutéronome 32:37-38 ; les Dieux sont les faux comme précédemment ; qui ont mangé la graisse des sacrifices, c'est-à-dire, qui ont détruit le bien du culte ; ont bu le vin de leur libation, c'est-à-dire, ont détruit, le vrai du culte. Les libations aussi se disent du sang ; dans David :

“ Ils multiplieront leur douleur ; vers un autre ils se sont hâtés, je ne ferai point leurs libations de sang, et je ne porterai point leurs noms sur mes lèvres. » Psaumes 16:4 ; et par ces libations sont signifiées les profanations du vrai, car le sang dans ce sens est la violence portée à la Charité, numéro 374, 1005, et la profanation, numéro 1003.

  
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De obras de Swedenborg

 

Arcanes Célestes #2343

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2343. Et ils mangèrent, signifie l'appropriation : on le voit par la signification de Manger, en ce que c'est être communiqué et être conjoint, par conséquent être approprié, ainsi qu'il a déjà été montré, numéro 2187. D'après tout ce qui a été dit et expliqué jusqu'à présent, on peut voir comment les choses qui sont contenues dans le Verset précédent et dans celui-ci sont liées ensemble dans le sens interne, en ce que les Anges signifient le Divin Humain et le Saint procédant du Seigneur ; se détourner, la résidence ; venir vers sa maison, être confirmé dans le bien ; faire un festin, cohabiter ; faire cuire des azymes, être purifié ; et manger, être approprié ; de là, ou voit manifestement quelle est la série des choses dans le sens interne, quoiqu'il n'en paraisse absolument rien dans le sens historique ; tel est l'ordre et telle est la série dans toutes les choses de la Parole tant en général qu'en particulier ; mais la série elle-même ne peut pas, dans l'explication des mots en particulier, se montrer clairement telle qu'elle est, car il en résulte que les choses se présentent séparées, et que la continuité du sens est brisée ; mais cette série peut se montrer clairement lorsqu'elles sont toutes en même temps considérées en une seule idée, ou perçues par une seule intuition de la pensée, ainsi qu'il arrive pour ceux qui sont dans le sens interne et en même temps dans la lumière céleste qui procède du Seigneur ; ceux-ci voient avec évidence, dans ces paroles, la progression entière de la réformation et de la régénération de ceux qui deviennent hommes de l'Eglise et qui sont représentés ici par Loth, savoir, en ce que d'abord ils perçoivent quelque chose de la tentation, et que lorsqu'ils persistent et sont vainqueurs, le Seigneur réside chez eux et les confirme dans le bien, les introduit auprès de Lui son Royaume, cohabite avec eux, et là les purifie et les perfectionne, et leur approprie en même temps les biens et les félicités, et cela par son Divin Humain et son Saint procédant. Que ce soit du Seigneur seul que vienne toute régénération ou toute vie nouvelle, par conséquent le salut, c'est, il 'est vrai, ce qui est connu dans l'Eglise, mais peu de personnes le croient ; si on ne le croit pas, c'est parce qu'on n'est pas dans le bien de la charité ; il est aussi impossible à ceux qui ne sont pas dans ce bien de le croire, qu'il l'est à un chameau de passer par le trou d'une aiguille, car le bien de la charité est l'humus même qui reçoit les semences de la foi ; le vrai et le bien sont en accord, mais le vrai et le mal ne le sont jamais, ils sont de nature opposée et ont de l'aversion l'un pour l'autre ; c'est pourquoi, autant l'homme est dans le bien, autant il peut être dans le vrai, ou autant il peut être dans le vrai, ou autant il est dans la charité, autant il peut être, dans la foi, surtout dans ce point principal de la foi, que tout salut vient du Seigneur. Que ce soit là le principal de la foi, c'est ce qu'on voit par plusieurs passages de la Parole, par exemple dans Jean :

« Dieu a tellement aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » - Jean 3:16.

Dans le même :

« Celui qui croit ait à vie éternelle, mais celui qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » - Jean 3:36.

Dans le même :

« L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en Celui que le Père a envoyé. » - Jean 6:29.

Dans le Même :

« C'est la volonté de Celui qui M'a envoyé, que quiconque voit le Fils et croit en Lui ait la vie éternelle, et que je le ressuscite au dernier Jour. » - Jean 6:40.

Dans le Même :

« Si vous ne croyez pas que Moi je suis, vous mourrez dans vos péchés. » - Jean 8:24.

Dans le Même : Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en Moi, quand il serait mort vivra ; mais quiconque vit et croit en Moi ne mourra point pour l'éternité. » - Jean 11:25-26.

Que personne ne puisse croire dans le Seigneur à moins qu'il ne soit dans le bien, ou que personne ne puisse avoir la foi à moins qu'il ne soit dans la charité, c'est aussi ce qu'on voit dans Jean :

« A tous ceux qui L'ont reçu. Il leur a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son Nom, qui étaient nés non de sangs, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. » - Jean 1:12-13 ;

Et dans le Même :

« Moi je suis le cep ; vous, les sarments, Celui qui demeure en Moi, et Moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruits, parce que sans moi vous ne pouvez rien faire. Si quelqu'un ne demeure pas en Moi, il est jeté dehors comme le sarment, et il devient sec. De même que mon Père M'a aimé, de Même. Moi je vous ai aimés ; demeurez dans mon amour. C'est ici mon commandement ; que vous vous aimiez les uns les autres, comme je vous ai aimés. » - Jean 15:5-6, 9, 12.

D'après ces passages on peut voir que l'amour dans le Seigneur et la charité envers le Prochain sont la vie de la foi. Que ceux, au contraire, qui sont dans le mal, c'est-à-dire la vie dans la vie du mal, ne puissent nullement croire que tout salut vienne du Seigneur, c'est ce que j'ai pu voir par ceux de la Chrétienté qui étaient passés dans l'autre vie, même par ceux qui, dans la vie du corps, selon le doctrinal de la foi, avaient professé de bouche et même enseigné que sans le Seigneur il n'y a aucun salut, et qui cependant avaient été dans la vie du mal ; lorsque seulement on nommait le Seigneur en leur présence, aussitôt ils remplissaient leur sphère de purs scandales, car dans l'autre vie ce qu'ils ne font même que penser est aperçu, et ils répandent hors d'eux une sphère dans laquelle leur foi se manifeste telle qu'elle est, voir numéro 4394. Chez les mêmes, lorsque seulement on nommait l'amour ou la charité, on percevait comme quelque chose de ténébreux, de grumeleux en même temps, qui provenait de leur amour impur, et qui était d'une telle nature, qu'il éteignait, étouffait et pervertissait tout le perceptif de l'amour pour le Seigneur et de la charité envers le prochain ; telle est aujourd'hui la foi, qu'on dit sauver sans les biens de la charité. On demanda aussi à ces mêmes esprits quelle foi ils avaient eue, puisqu'ils déclaraient n'avoir pas eu celle qu'ils avaient professée de bouche dans la vie du corps ; ils dirent (car personne dans l'autre vie ne peut cacher ce qu'il pense) qu'ils avaient cru en un Dieu Créateur de l'univers ; mais ayant été examinés pour qu'on s'assurât s'il en était ainsi, on découvrit qu'ils n'avaient cru en aucun Dieu, mais qu'ils avaient pensé que toutes choses venaient de la nature, et que tout ce que l'on disait de la vie éternelle n'était que fable ; telle est la foi de tous ceux qui, au-dedans de l'Eglise, ne croient point au Seigneur, mais disent qu'ils croient en un Dieu Créateur de l'univers, car le vrai ne peut influer que du Seigneur, et le vrai ne peut être semé que dans le bien qui procède du Seigneur. Que le Divin Humain et le Saint procédant du Seigneur soient ce par quoi et d'après quoi il y a vie et salut, c'est ce qu'on sait d'une manière claire par les paroles de la Sainte Cène :

« Ceci est mon Corps, Ceci est mon Sang :

“ Il est évident que c'est là le Divin Humain du Seigneur, et que tout le Saint en procède : soit que l'on dise le Divin Humain, ou le Corps, ou la Chair, ou le Pain, ou le Divin Amour, c'est la même chose ; en effet, le Divin Humain du Seigneur est le pur Amour, et le Saint appartient à l'amour seul, mais le Saint de la foi en procède.

  
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