От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #10644

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10644. Et leurs bocages vous couperez, signifie que leurs doctrinaux doivent être entièrement rejetés : on le voit par la signification des bocages, en ce qu'ils sont les doctrinaux de l'Église, ici les doctrinaux de la religiosité chez les idolâtres, c'est-à-dire, les doctrinaux du faux d'après le mal ; si les bocages signifient les doctrinaux, c'est parce que les arbres signifient les perceptions et les connaissances du bien et du vrai, les perceptions chez ceux qui sont dans le Royaume céleste du Seigneur, et les connaissances chez ceux qui sont dans son Royaume spirituel ; et chaque espèce d'arbre une espèce de perception et de connaissance ; c'est de là que les paradis et les jardins signifient l'intelligence et la sagesse célestes, et les forêts la science de l'homme naturel ; d'après cela, on peut voir pourquoi les Bocages signifient la doctrine, et pourquoi les anciens ont eu le saint du culte dans des bocages ; car chez les anciens il y avait une Église représentative, dont tous les externes représentaient les internes, tels qu'ils sont dans le ciel, concernant le Seigneur, l'amour et la foi en Lui, et concernant les choses qui appartiennent à l'amour et à la foi. Si les bocages, puis les forêts, les jardins et les paradis, et aussi les arbres selon leur espèce, ont ces significations, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie, car de semblables objets y apparaissent selon l'intelligence et la sagesse des anges, car là les apparences sont d'une origine céleste et spirituelle. Que les Bocages signifient la doctrine, et que les anciens aient eu un culte saint dans les Bocages, on le voit, numéro 2722, 4552 ; voir aussi que les Paradis signifient l'intelligence et la sagesse célestes, numéro 3220, 4528, 4529 ; qu'il en est de même des jardins, numéro 100, 108, 1588, 2722 ; que les forêts signifient la science qui appartient à l'homme naturel, numéro 9011 (fin). ; que les arbres signifient les perceptions et les connaissances du bien et du vrai, numéro 103, 2163, 2682, 2972, 7692, 8326 ; que l'Ancienne Église avait un culte dans des Bocages et dans des Jardins sous des arbres selon les significations de ces arbres, numéro 2722, 4552.

  
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От "Съчиненията на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #4528

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4528. L'œil ou plutôt la vue de l'œil correspond principalement à ces sociétés qui, dans l'autre vie, sont dans des lieux paradisiaques, lesquels apparaissent au-dessus par devant un peu sur la droite, où se présentent à la vue d'une manière vivante (ad vivum) des jardins avec des arbres et des fleurs de tant de genres et d'espèces, que ceux qui sont sur la terre entière sont respectivement en petit nombre ; là, dans tous les objets, il y a quelque chose de l'intelligence et de la sagesse, qui brille, de sorte qu'on dirait que dans les paradis ils sont en même temps des intelligences et des sagesses ; c'est cela qui affecte par les inférieurs ceux qui y sont, et réjouit ainsi non-seulement la vue, mais en même temps aussi l'entendement. Ces paradisiaques sont dans le Premier Ciel, et à l'entrée même qui conduit vers les intérieurs de ce Ciel, et ce sont des représentatifs qui descendent du Ciel supérieur, quand les Anges du Ciel supérieur parlent intellectuellement entre eux des vrais de la foi ; la conversation des anges s'y fait par des idées spirituelles et célestes, qui pour eux sont les formes des mots, et continuellement par des séries de représentations d'une telle beauté et d'un tel charme, qu'il n'est nullement possible de les exprimer ; ce sont ces beautés et ces charmes de leur conversation, qui sont représentés comme des Paradisiaques dans le Ciel inférieur : ce Ciel a été distingué en plusieurs cieux, auxquels correspondent, chacune en particulier, les choses qui sont dans les Chambres de l'œil ; il y a le Ciel ou sont les jardins paradisiaques, dont il vient d'être parlé ; il y a le Ciel où sont des atmosphères de diverses couleurs, où toute l'aure (aura) lance comme des éclairs d'or, d'argent, de perles, de pierres précieuses, de fleurs dans les formes les plus petites, et de choses innombrables ; il y a le Ciel iridé, où sont de très-beaux arcs-en-ciel, grands et petits, bigarrés par les couleurs les plus resplendissantes : chacun de ces objets existe par la Lumière qui procède du Seigneur, dans laquelle il y a l'intelligence et la sagesse ; de là vient que dans chaque objet il y a quelque chose de l'intelligence du vrai et de la sagesse du bien, qui se montre ainsi d'une manière représentative. Ceux qui n'ont eu aucune idée du Ciel, ni de la Lumière du Ciel, peuvent difficilement être amenés à croire qu'il y existe de tels objets ; c'est pourquoi ceux qui portent avec eux dans l'autre vie cette incrédulité, s'ils ont été dans le vrai et dans le bien de la foi, sont transportés par les Anges au milieu de ces merveilles, et lorsqu'ils les voient, ils sont dans le plus grand étonnement : sur les Paradisiaques, les Atmosphères et les iridés, voir ce qui a été précédemment rapporté d'après l'expérience, numéro , 2296, 3220 ; que dans les cieux il y ait du continuelles représentations, on le voit, numéro 1807, 1808, 1971, 1980, 1981, 2299, 2763, 3213, 3216, 3217, 3318, 3222, 3350, 3475, 3485.

  
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