Біблія

 

Jérémie 51:4

Дослідження

       

4 Et les blessés à mort tomberont au pays des Caldéens; et les transpercés [tomberont] dans ses places;

З творів Сведенборга

 

Arcanes Célestes #6419

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6419. De la fille qui s'avance sur la muraille, signifie pour combattre contre le faux : on le voit par la signification de la fille, eu ce qu'elle est l'Église, numéros 2362, 3963, ici l'Église spi-rituelle, parce qu'il s'agit de cette Église ; par la signification de s'avancer sur la muraille, en ce que c'est pour combattre contre le faux, comme le montrent clairement les paroles qui suivent,

“ Ils l'irritent, et ils lancent, et ils l'ont en haine, les archers ; et il sera assis dans la force de son arc, » paroles qui signifient le combat du faux contre le vrai. S'il est dit

“ Qui s'avance sur la muraille, c'est parce que dans le sens interne il s'agit de l'attaque du vrai par les faux, et de la défense du vrai contre les faux ; car l'Église spirituelle, qui est représentée par Joseph, est continuellement attaquée, mais le Seigneur la défend continuellement ; de là, dans la Parole, les choses qui appartiennent à cette Église sont comparées à une ville, qui a une Muraille, un Avant-mur, des Portes, des Barres ; et par les attaques contre cette ville sont décrites les attaques du vrai par les faux ; c'est pourquoi aussi la ville signifie les doctrinaux, numéro 402, 2268, 2449, 2712, 2943, 3216, 4492, 4493, et la muraille signifie les vrais de la foi qui défendent, et dans le sens opposé les faux qui sont détruits ; que la muraille signifie les vrais de la foi qui défendent, on le voit clairement dans Ésaïe :

« Une ville forte (est) à nous ; pour salut il posera les murailles et l'avant-mur ; ouvrez les portes pour qu'elle entre, la nation juste qui garde les fidélités. » - Ésaïe 26:1 :

Et dans le Même :

« Tu appelleras salut tes murailles, et tes portes, louange. » - Ésaïe 60:18.

Dans le Même :

« Voici, sur les mains je t'ai gravée, tes murailles (sont) devant Moi continuellement. » - Ésaïe 49:16.

Les murailles sont les vrais de la foi.

Dans le Même :

« Sur tes murailles, Jérusalem, j'ai établi des sentinelles, tout le jour et toute la nuit elles ne se tairont point, remettant en mémoire Jéhovah. » - Ésaïe 62:6.

Pareillement.

Dans Jérémie :

« Ainsi a dit Jéhovah Sébaoth : Moi, je détourne les armes de guerre, avec lesquelles vous combattez contre le Roi de Rabel, et contre les Chaldéens qui vous assiègent, en dehors de la muraille ; je combattrai Moi-Même contre vous par main étendue. » - Jérémie 21:4.

Dans le Même :

« Jéhovah a pensé à détruire la muraille de la fille de Sion ; il a mis dans le deuil l'avant-mur et la muraille, ensemble ils languissent ; enfoncées en terre ont été ses portes ; il a détruit et brisé ses barres. » - Lamentations Jérémie 2:8, 9.

Dans Ézéchiel :

« Les fils d'Arvad et ton armée, sur tes murailles tout autour, et les Gamadéens dans tes tours ont été ; leurs boucliers ils ont suspendu sur tes murailles tout autour, et ils ont perfectionné ta beauté. » - Ézéchiel 27:11.

Là, il s'agit de Tyr, par laquelle sont signifiées les connaissances du bien et du vrai. Que de telles choses soient signifiées par la Ville et par les murailles, on peut le voir clairement d'après la description de la Sainte Jérusalem descendant du ciel et montrée à Jean par laquelle est signifiée une nouvelle Église, comme le prouve chaque expression ; et là, par la muraille est signifié le Divin Vrai procédant du Seigneur ; il en est parlé ainsi dans Jean :

« La sainte Jérusalem descendant du ciel, ayant une muraille grande et élevée, ayant douze portes ; la muraille de la ville avait douze fondements, et en eux les noms des douze Apôtres de l'Agneau : celui qui me parlait mesurait la ville et ses portes, et sa Muraille ; sa Muraille était de cent quarante-quatre coudées, mesure d'homme, c'est-à-dire, d'ange : la structure de la muraille était de jaspe, et la ville un or pur semblable à un verre pur ; les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de toute pierre précieuse. » - Apocalypse 21:10-11, 12, 14, 15, 17-18, 19.

Que la Muraille soit le Divin Vrai procédant du Seigneur, et par suite le vrai de la foi d'après le bien de la charité, cela est évident d'après chacune des choses qui y sont dites de la muraille ; par exemple, que la muraille avait douze fondements et en eux les noms des douze Apôtres de l'Agneau, car douze signifie toutes choses, numéros 3272, 3858, 3913 ; la muraille et ses fondements signifient les vrais de la foi ; il en est de même des douze Apôtres, numéros 3488, 3858 (fin), 6397 ; ensuite, que la muraille était de cent quarante-quatre coudées, car ce nombre signifie la même chose que douze, à savoir, toutes choses, puisqu'il est composé de douze multiplié par douze ; et comme ce nombre, quand il se dit de la muraille, signifie tous les vrais et tous les biens de la foi, il est ajouté qu'il est mesure d'homme, c'est-à-dire, d'ange ; et aussi, que la structure de la muraille était de jaspe, et que ses fondements étaient ornés de toute pierre précieuse, car le jaspe et les pierres précieuses signifient les vrais de la foi, numéros 114. Que la muraille dans le sens opposé signifie les faux qui sont détruits, on le voit clairement par ces passages, dans Ésaïe :

« Jour de tumulte dans la vallée de la vision ; le Seigneur Jéhovah Sébaoth détruit la muraille, et le cri (va) jusqu'à la montagne ; car Élam a pris le carquois, avec le char de l'homme, des cavaliers ; les cavaliers se plaçant se sont placés jusqu'à la porte. » - Ésaïe 22:5, 6, 7.

Dans le Même :

« Le rempart de refuge de tes murailles, il l'abaissera, l'abattra, le renversera à terre, jusque dans la poussière. » - Ésaïe 25:12.

Dans Jérémie :

« Montez sur ses murailles, et renversez-les. » - Jérémie 5:10.

Dans le Même :

« J'allumerai un feu sur la muraille de Damas, qui dévorera les palais de Benhadad. » - Jérémie 49:27.

Dans le Même :

« Contre les murailles de Babel levez l'étendard, tenez la garde, placez les sentinelles. » - Jérémie 51:12.

Dans Ézéchiel :

« Elles renverseront les murailles de Tyr, et elles détruiront ses tours, et je tirerai sa poussière hors d'elle, et je la réduirai en aridité de rocher. » - Ézéchiel 26:4, 8-9, 12.

  
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Arcana Coelestia #6516

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6516. 'In my grave which I dug for myself in the land of Canaan, there you are to bury me' means that it - the Church - was to be restored to life where the previous one had existed. This is clear from the meaning of 'a grave' and 'burying' as restoring to life, dealt with in 5551; and from the meaning of 'the land of Canaan' as the Lord's kingdom and the Church, dealt with in 1413, 1437, 1607, 1866, 3038, 3481, 3705, 4240, 4447. The reason Jacob wished to be buried in the land of Canaan, where Abraham and Isaac had been buried, and not in any other place was that his descendants were going to possess that land, and so he would be lying among his own people. But in the internal sense not this but something else is meant, namely regeneration and resurrection, because these are what the Church resides in. For 'burial' means in the internal sense regeneration and resurrection, 2916, 1917, 4621, 5551. While 'the land of Canaan' means the Church, as is evident from the places referred to above in the present paragraph, and Abraham, Isaac, and Jacob represent the Lord as regards the Divine itself and the Divine Human, and in the relative sense the Lord's kingdom as regards the internal aspect and the external aspect of it, 1965, 1989, 2011, 3245, 3305 (end), 4615, 6098, 6185, 6276. This then is what is meant in the internal sense by the burial of them in that land; and it explains why among Jews who believe in resurrection the conviction continues to exist that even though they have been buried in some other place they will nevertheless rise again in the land of Canaan.

[2] The reason why it is said that the Church was to be restored to life in the place where the previous one had existed is that the Lord's Church had existed in that land since most ancient times, see 3686, 4447, 4454, 4516, 4517, 5136. It also explains why Abraham was told to go there and why the descendants of Jacob were led into it. And the reason for all this was not that the land was holier than all others but that since most ancient times all the locations there, both provinces and cities as well as mountains and rivers, had been representative of such things as belonged to the Lord's kingdom; and the actual names conferred on those locations implied such things. For every particular name supplied from heaven to a place or person implies some celestial or spiritual reality; and when the name has been supplied from heaven, that reality is perceived by them there. The Most Ancient Church too, which was celestial and was in contact with heaven, was one that used to confer names. The reason therefore why the Church was to exist again in that land was that a Word was going to be given in which every detail would be representative of and would mean some spiritual or celestial reality, and that Word would accordingly be understood in heaven no less than on earth. But this could not possibly have been accomplished unless also the names of places and persons had had spiritual meanings. This is the reason why the descendants of Jacob were led into that land, why prophets were raised up there through whom the Word was written, and therefore why a representative of the Church was established among Jacob's descendants. From all this one may see the reason for the statement that the Church was to be restored to life where the previous one had existed.

[3] The fact that names in the Word mean spiritual things may be seen in 1224, 1264, 1876, 1888, 4442, 5225, as well as in the multitude of places where explanations are given of what their meanings are. But the fact that in heaven they perceive what the meanings are of names used in the Word, and that they do this without prior instruction, is an arcanum unknown as yet to anyone and must therefore be described. When the Word is read the Lord comes in and teaches; also - and this is one of the marvels in the spiritual world - writings exist, which I have frequently seen and been able to read yet not understand. But good spirits and angels understand them perfectly well because those writings accord with the universal language they speak. I have been led to know that individual words used there, even individual letters, hold within themselves the kinds of things that belong to that world, thus spiritual things, and that these are perceived there from the breath that is used, and from the affection resulting from the uttering of those words, thus from the varying smooth or rough delivery of them. But it is probable that hardly anyone will believe this. This arcanum has been disclosed so that people may know that those in heaven perceive instantly what the meanings are of names used in the Word, because those names are registered in heaven.

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.