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Jérémie 51:38

Дослідження

       

38 Ils rugiront ensemble comme des lionceaux, et bruiront comme des faons de lions.

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Arcanes Célestes #10042

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10042. Et l'un des béliers lu prendras, signifie le bien de l'innocence dans l'homme interne : on le voit par la signification du bélier, en ce qu'il est le bien de l'innocence dans l'homme interne, ainsi qu'il va être montré. Comme dans ce Chapitre il s'agit de sacrifices et d'holocaustes de béliers et d'agneaux, il sera dit ce qu'ont signifié les animaux en général qui étaient offerts en sacrifices et en holocaustes : ces animaux étaient des Bœufs, des Taureaux, des Boucs, des Béliers, des Chèvres et des Chevreaux, des Agneaux, des Agnelles, et des Chevrettes de chèvres : celui qui ne sait pas ce que ces animaux signifient ne peut nullement savoir ce que signifient les Sacrifices et les Holocaustes faits avec chacune de ces espèces ; il faut qu'on sache que tous les animaux, qui sont dans les terres, signifient des choses qui sont chez l'homme, lesquelles se réfèrent en général aux affections qui appartiennent à sa volonté, et aux pensées qui appartiennent à son entendement, ainsi aux biens et aux vrais, car les biens appartiennent à la volonté, elles vrais appartiennent à l'entendement ; et comme elles se réfèrent aux biens et aux vrais, elles se réfèrent aussi à l'amour et à la foi, car toutes .les choses qui appartiennent à l'amour sont appelées biens, et toutes celles qui appartiennent à la foi sont appelées vrais. Si les animaux de divers genre signifient de telles choses, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie ; là apparaissent des animaux de plusieurs genres et d'espèces innombrables ; ces animaux y sont des apparences tout-à-fait frappantes (ad vivum) correspondant aux affections et aux pensées qui sont chez les Esprits et chez les Anges : qu'il en soit ainsi, on peut môme le voir par les visions prophétiques rapportées çà et là dans la Parole ; en effet, toutes les choses qui ont été vues par les prophètes sont de celles qui apparaissent devant les anges dans le ciel : c'est de là qu'il est si souvent parlé de bêtes dans la Parole, et que cha- » que bête signifie quelque chose qui se réfère à des affections ou à des pensées qui sont chez l'homme ; l'homme, quant à son homme externe, n'est autre chose qu'un animal, mais il en est distingué par son homme interne, en ce que son homme interne et son homme externe peuvent être élevés vers le ciel et jusqu'à Dieu, et par suite recevoir la foi et l'amour ; de là vient que des bêtes ont été employées dans les sacrifices et dans les holocaustes : celui qui ne sait pas ces choses ne peut nullement savoir pourquoi il a été ordonné d'offrir tantôt des Taureaux, des Béliers, des Agneaux, tantôt des Bœufs, des Chèvres et des Agnelles, tantôt des Boucs, des Chevreaux et des Chevrettes de chèvres ; autrement, à quoi bon tout cela ? Que les bêtes dans la Parole signifient les biens et les maux chez l'homme, comme aussi les vrais et les faux, on le voit, numéros 142, 143, 246, 714, 715, 776, 1823, 2179, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 ; et que ce soit à cause de cela qu'elles ont été employées dans les sacrifices, on le voit, numéros 1823, 2180, 2805, 2807, 2830, [Il manque du texte ici], , 923, 2165, 6905, 8680, 8936 ; que l'autel a été le principal représentatif du Seigneur, et par conséquent du culte, numéros 2777, 2811, 8935, 8940, 9388, 9389, 9714, 9964 ; que les Anciens avant Éber n'ont rien connu des sacrifices, numéro 2180 ; que depuis Éber, ainsi chez la nation des Hébreux, et par suite chez les descendants de Jacob, les sacrifices ont été institués, et pourquoi, numéros 1128, 1343, 2180, 2818 ; que les Sacrifices ont été non pas commandés mais permis, numéro 2180. 2, [Il manque du texte ici], ; ; , ,Lévitique , , Lévitique 5:6, 10, 13, 16, 18, , 19, 15:30, , ;

Le pardon des péchés, l'expiation, la propitiation, et la rédemption, ne sont pas non plus autre chose que la purification des maux et des faux, l'implantation du bien et du vrai, et leur conjonction, ainsi la régénération, numéros 9076, 9452, 9453, 9454, 9937, 9938 ; tout procédé de la Régénération est aussi décrit par chacun des rites de chaque Sacrifice et de chaque Holocauste, et se manifeste quand les représentatifs sont développés par le sens interne, numéro 10022. (2 bis.) Les Sacrifices et les Holocaustes dans le sens suprême signifient la Glorification de l'Humain du Seigneur : c'est parce que tous les rites du culte institués chez la Nation Israélite et Juive regardaient uniquement le Seigneur ; ainsi Le regardaient principalement les Sacrifices et les Holocaustes qui en général représentaient le tout du culte, comme il a été montré ci-dessus ; la Régénération de l'homme ne vient pas non plus d'autre part que du Seigneur, numéros 9506, 9715, 9486, 9487, 9809, 10019 ; c'est pourquoi, lorsque dans la Parole il s'agit de la régénération de l'homme, dans le sens suprême il s'agit de la glorification de l'Humain du Seigneur ; caria régénération de l'homme est l'image de la glorification du Seigneur, numéros 3138, 3212, 3296, 3490, 4402, 5688 ; Glorifier l'Humain, c'est le faire Divin ; régénérer l'homme, c'est le faire céleste, afin que le Divin du Seigneur puisse habiter en lui. , [Il manque du texte ici], 9992, 10005, 10017 ; et que pour être régénéré, l'homme doive être régénéré quant aux internes et quant aux externes, on le voit dans les articles cités, numéro 9325 (fin). Quant à ce qui est spécialement signifié par le Sacrifice et l'Holocauste du bélier, dont il s'agit dans ce Chapitre, on le voit par les passages de la Parole, où les sacrifices et les holocaustes du bélier sont décrits, et où le bélier est nommé ; d'après ces passages, il est évident que le bélier signifie le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme interne, et que le sacrifice et l'holocauste du bélier signifient la purification et la régénération de l'homme interne, ainsi l'implantation du bien de l'innocence et de la charité dans cet homme ; que ce soit là ce qui est signifié par le bélier, on le voit par les passages suivants ; dans Ésaïe :

« Tous les troupeaux de l'Arabie seront rassemblés pour toi, les béliers de Nébajoth seront à Ion service ; ils monteront à mon bon plaisir sur mon autel. » - Ésaïe 6.

Là, il s'agit du Seigneur, de son Ciel et de son Église ; les troupeaux de l'Arabie sont tous les biens de l'homme interne ; les béliers de Nébajoth sont les biens de l'innocence et de la charité dans cet homme ; on peut voir que les troupeaux sont les biens de l'homme interne, numéros 8937, 9135 ; que l'Arabie, c'est où est le bien, numéro 3268 ; et que Nébajoth, ce sont ceux qui dans l'homme interne sont dans ce bien, numéro ' 3268, 3686, 3688.

Dans Ézéchiel :

« L'Arabie et tous » les princes de Kédar, les marchands de ta main en petit bétail, et en béliers et en boucs. » - Ézéchiel 27:21.

Là, il s'agit de Tyr, par laquelle est signifiée l'Église où sont les connaissances du bien et du vrai, numéro 1201 ; les marchands sont ceux qui ont ces connaissances et qui les communiquent, numéros 2967, 4453 ; le petit bétail, ce sont les biens de l'amour ; les béliers sont les biens de la charité, et les boucs sont les biens de la foi ; dans la Parole il est parlé de menu bétail (grèges), de petit bétail (pecora), et de bétail (pecudes), qui dans la Langue originale sont distingués par leurs noms ; et par le menu bétail sost signifiés en général les internes, par le bétail les externes spécialement, et par te petit bétail les intimes spécialement ; mais par le gros bétail (armenta) sont signifiés les externes.

Dans Jérémie :

« Je les ferai descendre comme le petit bétail à la tuerie, comme les béliers avec les boucs. » - Jérémie 51:41.

Le petit bétail, les béliers et les boucs signifient ici les mêmes choses.

Dans Ézéchiel :

« Ainsi a dit le Seigneur Jéhovah : Voici, Moi, je juge entre bétail et bétail, entre les béliers et les boucs. " - Ézéchiel 34:17 ;

Entre bétail et bétail, c'est entre ceux qui dans les intérieurs sont bons, et ceux qui sont mauvais ; entre les béliers et les boucs, c'est entre ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, et ceux qui son dans les vrais de la foi sans la charité ; les béliers signifient ici la même chose que les brebis, car les béliers sont les mâles des brebis ; que les brebis soient ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, on le voit, numéros 4169, 4809 ; et que les boucs soient ceux qui sont dans les vrais, appelés vrais de la foi, sans la charité, on le voit, numéros 4169 (fin), 4769 ; les mêmes choses sont signifiées par le bélier et le bouc, dans Daniel 8 ; et aussi par les brebis et les boucs, dans Matthieu 25:32.

Dans Moïse :

« Si une âme a péché par erreur, elle apportera son délit à Jéhovah, un bélier sans défaut d'entre le menu bétail. " - Lévitique 5:15, 18, ;

Les sacrifices du bélier signifient la purification de l'homme interne et l'implantation du bien de l'innocence dans cet homme, car le péché par erreur est le péché provenant de l'ignorance dans laquelle est l'innocence, et l'innocence de l'ignorance appartient à l'homme interne.

Dans le Même :

« Dans les Nouvelles Lunes on offrait deux taureaux, un bélier et sept agneaux, et ensuite un bouc de chèvres. Pareillement chacun des jours de la Pâque : et pareillement le jour des prémices. » - Nombres 22:6, 15, 19, 22, 27 ;

C'était pour que fût représentée la purification de tout l'homme, tant de l'externe que de l'interne et de l'intime ; par le sacrifice et l'holocauste des taureaux, la purification de l'homme externe ; par celui du bélier, la purification de l'homme interne ; et par ceux des agneaux, la purification de l'homme intime ; et comme la purification était représentée, l'implantation du bien de l'innocence l'était aussi, car le taureau est le bien de l'innocence dans l'homme externe, le bélier dans l'homme interne, et l'agneau dans l'homme intime, ainsi qu'il a été dit ci-dessus ; si le bouc était sacrifié le dernier de tous, c'est parce que le bouc signifie le vrai de la foi dans l'homme externe, et que le vrai de la foi dans cet homme est le dernier, numéro 9959. Gomme les biens et les vrais chez l'homme se suivent dans cet ordre, c'est pour cela aussi que les présents des princes d'Israël, quand on oignait l'autel et la Tente de convention, étaient un Taureau, un Bélier et un Agneau en holocaustes, et un Bouc de chèvres en sacrifice, - Nombres , [Il manque du texte ici],

  
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Arcana Coelestia #1343

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1343. That 'Eber' was a nation, the Hebrew nation, which took its name from 'Eber' as its forefather, and which means the worship in general of the second Ancient Church, is clear from the references to him in the historical sections of the Word. Because a new form of worship began with that nation, all those were called Hebrews whose worship was similar to it. Their worship was like that re-established at a later time among the descendants of Jacob, its chief features being that they called their God Jehovah and held sacrifices. The Most Ancient Church was of one mind in acknowledging the Lord and calling Him Jehovah, as is clear also from the early chapters of Genesis and elsewhere in the Word. The Ancient Church, that is, the Church after the Flood also acknowledged the Lord and called Him Jehovah, especially those who possessed internal worship and were called 'the sons of Shem'. The remainder whose worship was external also acknowledged Jehovah and worshipped Him. But when internal worship became external, and still more when it became idolatrous, and when each nation started to have its own god to worship, the Hebrew nation retained the name of Jehovah and called their own God Jehovah. In this they were different from all other nations.

[2] Along with external worship, Jacob's descendants in Egypt, including Moses himself, lost knowledge even of this fact, that their God was called Jehovah. Consequently they had first of all to be taught that Jehovah was the God of the Hebrews, and the God of Abraham, Isaac, and Jacob, as becomes clear from the following in Moses,

Jehovah said to Moses, You and the elders of Israel shall go in to the king of Egypt, and you shall say to him, Jehovah the God of the Hebrews has met with us; and now let us go, pray, a three days' journey into the wilderness, and let us sacrifice to Jehovah our God. Exodus 3:18.

In the same author,

Pharaoh said, Who is Jehovah that I should hearken to His voice to send Israel away? I do not know Jehovah, and moreover I will not send Israel away. And they said, The God of the Hebrews has met with us; let us go, pray, a three days' journey into the wilderness, and let us sacrifice to Jehovah our God. Exodus 5:2-3.

[3] The fact that Jacob's descendants lost in Egypt, along with the worship, even the name of Jehovah becomes clear from the following in Moses,

Moses said to God, Behold, when I come to the children of Israel and say to them, The God of your fathers has sent me to you, and they say to me, What is His name? What shall I tell them? And God said to Moses, I Am Who I Am. And He said, Thus shall you say to the children of Israel, I Am has sent me to you. And God said moreover to Moses, Thus shall you say to the children of Israel, Jehovah the God of your fathers, the God of Abraham, the God of Isaac, and the God of Jacob, has sent me to you; this is My name for ever. Exodus 3:13-15.

[4] From this it is evident that even Moses did not know it and that they were distinguished from everyone else by the name of Jehovah, the God of the Hebrews. Hence also Jehovah is elsewhere called the God of the Hebrews,

You shall say to Pharaoh, Jehovah the God of the Hebrews has sent me to you. Exodus 7:16.

Go in to Pharaoh and say to him, Thus said Jehovah the God of the Hebrews. Exodus 9:1, 13.

Moses and Aaron went in to Pharaoh and said to him, Thus said Jehovah the God of the Hebrews Exodus 10:3.

In Jonah,

I am a Hebrew, and I fear Jehovah, the God of heaven. Jonah 1:9.

And also in Samuel,

The Philistines heard the noise of the shouting and said, What does the noise of this great shouting in the camp of the Hebrews mean? And they learned that the Ark of Jehovah had come to the camp. The Philistines said, Woe to us! Who will deliver us from the hand of these mighty gods? These are the gods who smote the Egyptians with every sort of plague in the wilderness. Acquit yourselves like men, O Philistines, lest you be slaves to the Hebrews. 1 Samuel 4:6, 8-9.

Here also it is evident that nations were distinguished from one another by the gods whose names they called on, and that the Hebrew nation was distinguished by that of Jehovah.

[5] The fact that sacrifices were the second essential feature of the worship of the Hebrew nation is also evident from the words from Exodus 3:18; 5:2-3, quoted above, as well as from the fact that the Egyptians abhorred the Hebrew nation on account of this form of worship, as is clear from the following in Moses,

Moses said, It is not right to do so, for we would be sacrificing to Jehovah our God what is abhorrent to the Egyptians; behold, we would be sacrificing what is abhorrent to the Egyptians in their eyes; will they not stone us? Exodus 8:26.

Consequently the Egyptians also abhorred the Hebrew nation so much that they refused even 'to eat bread' with them, Genesis 43:32. From this it is also evident that not merely the descendants of Jacob constituted the Hebrew nation but everybody who possessed that kind of worship. This also was why in Joseph's day the land of Canaan was called the land of the Hebrews,

Joseph said. By theft I have been taken away out of the land of the Hebrews. Genesis 40:15.

[6] The fact that sacrifices took place among the idolaters in the land of Canaan becomes clear from many references, for they used to sacrifice to their gods - to the baals and to others What is more, Balaam, who came from Syria where Eber had lived, that is, where the Hebrew nation had originated, before Jacob's descendants entered the land of Canaan, not only offered sacrifices but also called his God Jehovah. As to the fact that Balaam came from Syria where the Hebrew nation had originated, see Numbers 23:7; that he offered sacrifices, Numbers 22:39-40; 23:1-3, 14, 29; that he called his God Jehovah, Numbers 22:18, and elsewhere in those chapters. And Genesis 8:20 speaks of Noah offering burnt offerings to Jehovah - though this is not true history but made-up history - for 'burnt offerings' means the holiness of worship, as may be seen in that story. These considerations now show what 'Eber' or 'the Hebrew nation' means.

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.