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Jérémie 51:2

Дослідження

       

2 Et j'enverrai contre Babylone des vanneurs qui la vanneront, et qui videront son pays; car de tous côtés ils seront venus contre elle au jour de son mal.

З творів Сведенборга

 

Arcanes Célestes #3707

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3707. Ta semence sera comme la poussière de la terre, signifie que le Divin Vrai naturel serait comme le Divin Bien naturel : on le voit par la signification de la semence, en ce qu'elle est le vrai, numéro 3706, de là ta semence, ou la semence de Jacob, est le Divin Vrai naturel, car il a été montré ci-dessus que Jacob représente le Divin Naturel du Seigneur ; et par la signification de la poussière de la terre, en ce qu'elle est le bien, numéro 1610 ; de là ces mots ta semence sera comme la poussière de la terre signifient, dans le sens interne, que le Divin Vrai naturel sera comme le Divin Bien naturel. Si la poussière de la terre signifie le bien, c'est parce que la terre signifie le Royaume du Seigneur, par conséquent le bien, ainsi qu'il vient d'être montré, numéro 3705 ; la poussière de cette terre est donc le bien, mais le bien naturel, parce que la terre, comme il y a été aussi expliqué, signifie ce qui est inférieur dans le Royaume du Seigneur, par conséquent le naturel, tandis que le ciel, quand il est aussi nommé, signifie ce qui est intérieur ou le rationnel ; de là vient que la fructification du bien et la multiplication du vrai, sont exprimées çà et là dans la Parole par la semence qui sera comme les étoiles des cieux et comme la poussière de la terre ; alors les étoiles des cieux signifient les rationnels, et la poussière de la terre les naturels, qui croîtront ainsi. Dans la suite, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, il sera expliqué ce qui est entendu par le vrai naturel sera comme le bien naturel. »

  
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З творів Сведенборга

 

Arcanes Célestes #1321

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1321. Confondons leur lèvre, signifie que le vrai de la doctrine n'est dans aucun d'eux : c'est ce qu'on peut voir par la signification de la Lèvre, qui est la doctrine, ainsi que je l'ai montré ci-dessus, vers. 4 ; de là résulte que confondre les lèvres, c'est confondre les choses qui appartiennent à la doctrine, c'est-à-dire les vérités de la doctrine. Confondre signifie, dans le sens interne, non-seulement couvrir de ténèbres, mais encore effacer et dissiper au point qu'il n'y ait plus rien de vrai. Quand le culte de soi-même prend la place du culte du Seigneur, non-seulement on pervertit tout vrai, mais même on l'abolit, et enfin l'on reconnaît le faux pour vrai et le mal pour bien ; car toute lumière de la vérité existe par le Seigneur, et toute obscurité existe par l'homme. Quand l'homme prend dans le culte la place du Seigneur, la lumière du vrai devient obscurité ; alors la lumière est considérée par eux comme obscurité, et l'obscurité comme lumière. Telle est aussi leur vie après la mort ; la vie du faux est pour eux comme la lumière, et la vie du vrai est pour eux comme l'obscurité ; mais la lumière d'une telle vie est changée en une complète obscurité lorsqu'ils approchent vers le ciel. Tant qu'ils sont dans le monde, ils peuvent, à la vérité parler du vrai, même avec éloquence et avec un zèle apparent ; et comme il y a continuellement réflexion sur soi, il leur semble aussi penser la même chose ; mais comme la fin elle-même est le culte de soi, les pensées tiennent de la fin de ne reconnaître le vrai qu'autant qu'il y a du soi-même dans le vrai. Lorsque l'homme dans la bouche de qui est le vrai est tel, il est évident que le vrai n'est point en lui : c'est ce qu'on voit clairement dans l'autre vie : là de tels esprits non-seulement ne reconnaissent pas le vrai qu'ils ont professé dans la vie du corps, mais ils le haïssent même et le persécutent, et cela, en proportion de ce que le faste ou le culte de soi n'est pas détruit en eux.

  
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