Biblija

 

Genèse 30:15

Studija

       

15 Et elle lui répondit : Est-ce peu de chose de m'avoir oté mon mari, que tu m'otes aussi les mandragores de mon fils? Et Rachel dit : Qu'il couche donc cette nuit avec toi, pour les mandragores de ton fils.

Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #3905

Proučite ovaj odlomak

  
/ 10837  
  

3905. Et vit Rachel qu'elle n'enfantait point à Jacob, signifie que le vrai intérieur n'était point encore reconnu : On le voit par la représentation de Rachel, en ce qu'elle est l'affection du vrai intérieur ou le vrai intérieur, numéros 3758, 3782, 3793, 3819 ; par la signification d'enfanter, en ce que c'est reconnaître par la foi et aussi par l'acte, ainsi qu'il va être montré ; et par la représentation de Jacob, en ce qu'il est le bien du vrai naturel, numéros 3669, 3677, 3829, et dans tout le Chapitre précédent. Si enfanter signifie reconnaître par la foi et aussi par l'acte, c'est parce que les enfantements dans la Parole signifient des enfantements spirituels, numéros 1145, 1255, 3860, 3868 ; l'enfantement spirituel est la reconnaissance et la foi du vrai et du bien, ici la reconnaissance par la foi et aussi par l'acte, savoir, du vrai intérieur représenté par Rachel ; comme aucune chose n'est reconnue par la foi avant qu'on vive selon cette chose, c'est pour cela qu'il est dit la reconnaissance par la foi et aussi par l'acte ; les vrais de la foi qui ne sont point appris en vue de les mettre en pratique, mais qui le sont seulement en vue de les savoir, s'adjoignent aux affections du mal et du faux ; c'est pourquoi, ils n'appartiennent point à la foi chez celui qui les a appris, mais ils sont intérieurement contre la foi.

  
/ 10837  
  

Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #1255

Proučite ovaj odlomak

  
/ 10837  
  

1255. Selon leurs nativités, signifie selon qu'ils ont pu être reformés : c'est ce qu'on voit par la signification de la nativité, qui est la réformation. Quand un homme renaît ou est régénéré par le Seigneur, toutes les choses, en général et en particulier, qu'il reçoit de nouveau, sont des nativités ; par conséquent, comme il s'agit ici de l'Eglise Ancienne, les nativités signifient selon qu'ils ont pu être reformés. Quant à ce qui regarde les réformations des nations, toutes n'ont pas eu un semblable culte, ni une semblable doctrine, et cela parce que toutes n'avaient pas eu un semblable génie, et que toutes n'avaient pas été élevées de la même manière, ni instruites de la même manière dès l'enfance. Les principes que l'homme prend dès le bas âge, jamais le Seigneur ne les brise, mais il les ploie ; s'il en est quelques-uns dans lesquels il ait placé la sainteté, et s'ils sont tels qu'ils ne soient point contre l'ordre Divin, ni contre l'ordre naturel, mais qu'ils soient en eux-mêmes adiaphorèse (indifférents), le Seigneur laisse ces principes à l'homme et permet qu'il y reste ; c'est ainsi qu'il en laissa plusieurs à la seconde Eglise Ancienne ; il en sera parlé, dans la suite par la Divine Miséricorde du Seigneur.

  
/ 10837