Bibliorum

 

Jérémie 51:27

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27 Levez l'enseigne sur la terre, sonnez de la trompette parmi les nations; préparez les nations contre elle; convoquez contre elle les Royaumes d'Ararat, de Minni, et d'Askenas; établissez contre elle des Capitaines, faites monter ses chevaux comme le hurebec qui se hérisse.

from the Writings of Emanuel Swedenborg

 

Arcanes Célestes #9140

Studere hoc loco

  
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9140. Et qu'il aura lâché sa bête de somme, signifie s'il le fait avec peu de connaissance : on le voit par la signification de la bête de somme, en ce que c'est la volonté ou l'appétit du corps ; que ce soit avec peu de connaissance, c'est parce que, quand l'homme est dans les voluptés du corps, il consulte peu la raison, et ainsi il a peu de connaissance de ce qu'il fait : toutes les bêtes, de quelque genre et de quelque espèce qu'elles soient, signifient les affections, les bêtes douces et utiles les affections bonnes, et les bêtes non-douces et inutiles les affections mauvaises, numéros 45, 46, 142, 143, , 1823, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 : quand la bête est dite bête de somme, elle signifie les affections purement corporelles, qui en elles-mêmes ont peu de raison, car plus l'homme agit d'après le corps, et moins il agit d'après la raison, puisque le corps est dans le monde, ainsi loin du ciel où est la véritable raison.

Dans la Langue originale l'expression bête de somme se dit aussi d'un homme stupide et sot, ainsi d'un homme ayant peu de connaissance, comme dans Ésaïe 19:11 ; dans David, Psaumes 49:11, ; dans Jérémie 51:17, et ailleurs.

  
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from the Writings of Emanuel Swedenborg

 

Arcanes Célestes #715

Studere hoc loco

  
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715. Comme les Très-Anciens ont su, et qu'ils ont reconnu, lorsqu'ils étaient dans l'humiliation d'eux-mêmes, qu'ils n'étaient que des bêtes et des bêtes sauvages, et que s'ils étaient hommes, ils avaient cette prérogative seulement par le Seigneur, voilà pourquoi non-seulement ils assimilaient toutes les choses qui étaient en eux aux bêtes et aux oiseaux, mais même ils les désignaient par leurs noms : ils comparaient aux bêtes les choses qui appartiennent à la volonté, et les appelaient bêtes ; ils comparaient aux oiseaux celles qui appartiennent à l'entendement, et les appelaient oiseaux ; mais ils faisaient une distinction entre les affections bonnes et les affections mauvaises ; ils comparaient les affections bonnes aux agneaux, aux brebis, aux chevreaux, aux chèvres, aux boucs, aux béliers, aux veaux, aux bœufs, parce que ces bêtes sont bonnes et douces, et parce qu'elles sont utiles à la vie, en ce sens qu'on peut se nourrir de leur chair et se vêtir de leurs peaux et de leur laine. Ce sont là principalement les bêtes pures. Mais les bêtes qui sont méchantes et cruelles, comme aussi celles qui sont inutiles à la vie, sont des bêtes impures.

  
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