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Jérémie 51:51

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51 [Mais vous direz] : nous sommes honteux des reproches que nous avons entendus; la confusion a couvert nos faces, en ce que les étrangers sont venus contre les Sanctuaires de la maison de l'Eternel.

Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #9140

Proučite ovaj odlomak

  
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9140. Et qu'il aura lâché sa bête de somme, signifie s'il le fait avec peu de connaissance : on le voit par la signification de la bête de somme, en ce que c'est la volonté ou l'appétit du corps ; que ce soit avec peu de connaissance, c'est parce que, quand l'homme est dans les voluptés du corps, il consulte peu la raison, et ainsi il a peu de connaissance de ce qu'il fait : toutes les bêtes, de quelque genre et de quelque espèce qu'elles soient, signifient les affections, les bêtes douces et utiles les affections bonnes, et les bêtes non-douces et inutiles les affections mauvaises, numéros 45, 46, 142, 143, , 1823, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 : quand la bête est dite bête de somme, elle signifie les affections purement corporelles, qui en elles-mêmes ont peu de raison, car plus l'homme agit d'après le corps, et moins il agit d'après la raison, puisque le corps est dans le monde, ainsi loin du ciel où est la véritable raison.

Dans la Langue originale l'expression bête de somme se dit aussi d'un homme stupide et sot, ainsi d'un homme ayant peu de connaissance, comme dans Ésaïe 19:11 ; dans David, Psaumes 49:11, ; dans Jérémie 51:17, et ailleurs.

  
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Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #2179

Proučite ovaj odlomak

  
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2179. Abraham courut au gros bétail, signifie le bien naturel : on le voit par la signification des bœufs et des jeunes taureaux qui font partie du gros bétail, dont il va être parlé : que les Bêtes qui appartenaient au gros bétail, et celles qui étaient du menu bétail, signifient des choses analogues qui sont chez l'homme, c'est ce qu'on peut voir d'après ce qui a été rapporté dans la Première Partie, numéros 45, 46, 142, 143, 246, 714, 715, 719, 776, et en outre d'après ce qui a été dit des bêtes offertes en sacrifices, numéro 1823. Chacun peut être surpris que les Animaux nommés dans la Parole, et les Animaux employés dans les sacrifices, aient signifié les biens et les vrais, ou, ce qui est la même chose, les célestes et les spirituels ; mais il m'est permis de dire en peu de mots d'où cela provient.

Dans le Monde des esprits les Représentatifs se présentent avec variété, et là devant les yeux des esprits il apparaît très souvent des animaux, par exemple, des chevaux diversement harnachés, des bœufs, des brebis, des agneaux, et d'autres animaux de différent genre ; il en apparaît quelquefois que l'on n'a jamais vus sur la terre ; mais ce ne sont que des représentatifs ; les Prophètes en ont aussi vu de semblables, dont il est parlé dans la Parole, et qui tiraient aussi de là leur origine ; les animaux qui apparaissent dans le Monde des esprits sont les représentatifs des affections du bien et du vrai, ainsi que du mal et du faux ; les bons Esprits savent très bien ce qu'ils signifient, et ils recueillent même par là ce que les Anges se disent entre eux, car la conversation des Anges, lorsqu'elle tombe dans le monde des esprits, se manifeste parfois de cette manière ; par exemple, apparaît-il des chevaux ? Les esprits savent que c'est sur les intellectuels que roule la conversation des Anges ; apparaît-il des Bœufs et des Veaux ? Ils savent que c'est alors sur les biens naturels ; des Brebis ? Que c'est sur les biens rationnels et sur la probité ; des Agneaux ? Que c'est sur des biens encore plus intérieurs et sur l'innocence ; et ainsi des autres. Comme les hommes de la Très-Ancienne Église communiquaient avec les Esprits et les Anges, et avaient continuellement des Visions et des Songes, tels qu'en eurent les Prophètes, il en résultait que dès qu'ils voyaient quelque bête l'idée de ce qu'elle signifiait se présentait à eux ; de ces Très-Anciens sont d'abord venus les Représentatifs et les Significatifs ; après eux ils durèrent longtemps ; et enfin ils furent révérés par l'Antiquité, au point qu'on écrivait par de purs représentatifs, et que les livres non écrits ainsi n'étaient nullement estimés, et que même ceux composés au-dedans de l'Église n'étaient dans ce cas nullement saints ; de là et aussi par d'autres raisons cachées dont, par la Divine Miséricorde du Seigneur, il sera parlé ailleurs, les livres de la Parole ont aussi été écrits dans ce style.

  
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