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Jérémie 51:4

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4 Et les blessés à mort tomberont au pays des Caldéens; et les transpercés [tomberont] dans ses places;

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Arcanes Célestes #10287

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10287. Et qui en donnerait sur un étranger, signifie la conjonction avec ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, ainsi avec ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal : on le voit par la signification de donner sur quelqu'un, quand il s'agit des Divins vrais qui sont signifiés par l'onguent aromatique, en ce que c'est conjoindre ; et par la signification de l' étranger, en ce que c'est celui qui n'est pas de l'Église, ainsi celui qui ne reconnaît pas le Seigneur, et qui par suite est dans les maux et dans les faux ; car celui qui ne reconnaît pas le Seigneur n'est pas de l'Église ; et celui qui nie le Seigneur est dans les maux et dans les faux, puisque le bien et le vrai ne viennent, pas d'autre part que du Seigneur ; que les étrangers signifient de tels hommes, on le verra par les passages de la Parole qui vont suivre ; mais auparavant il sera dit quelque chose sur la conjonction du Divin Vrai avec ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur : Cette conjonction est la profanation ; en effet, la profanation est la conjonction du Divin Vrai avec les faux d'après le mal ; et cette conjonction, qui est la profanation, n'existe que chez ceux qui ont d'abord reconnu les choses qui sont de l'Église, et principalement le Seigneur, et ensuite les nient, et non chez les autres ; car par la reconnaissance des vrais de l'Église et du Seigneur, il se fait une communication avec les cieux, et par suite une ouverture des intérieurs de l'homme vers le ciel ; et par le reniement ensuite il se fait une conjonction de ces mêmes intérieurs avec les faux d'après le mal ; en effet, toutes les choses que l'homme reconnaît restent implantées, car il ne périt rien de ce qui est entré chez l'homme par la reconnaissance. L'état de l'homme chez qui il y a profanation consiste en ce qu'il a communication avec les cieux et en même temps avec les enfers, avec les cieux par les vrais, et avec les enfers par les faux du mal ; de là, dans l'autre vie se fait la dilacération, d'après laquelle le tout de la vie intérieure périt ; ceux-là, après la dilacération, apparaissent à peine comme des hommes, mais ils sont comme des os brûlés dans lesquels il y a peu de vie : voir sur la profanation ce qui a déjà été dit et montré, à savoir, que ceux qui profanent sont ceux qui ont d'abord reconnu les vrais Divins, et qui ensuite les nient, numéro 1001, 1010, 1059, 2051, 3398, 4289, 4601, 6348, 6960, 6963, 6971, 8394 ; que ceux qui les ont nié dès l'enfance, comme les juifs et autres, ne profanent point, numéro 593, 1001, 1010, 1059, 3398, 3489, 6963 ; et que le Seigneur veille principalement à ce que chez l'homme la profanation ne se fasse point, numéro 301, 302, 303, 1327, 1328, 2426, 3398, 3402, 3489, 6595. Mais il faut qu'on sache qu'il y a plusieurs genres de profanations, et que chacun de ces genres a un grand nombre d'espèces ; en effet, il y a ceux qui profanent les biens de l'Église, et ceux qui profanent les vrais de l'Église ; ceux qui profanent beaucoup, et ceux qui profanent peu ; ceux qui profanent intérieurement, et ceux qui profanent extérieurement de plus en plus ; ceux qui profanent par la foi contre les vrais et les biens de l'Église, ceux qui profanent par la vie, et ceux qui profanent par le culte : de là, pour les profanateurs existent un grand nombre d'enfers, qui sont distincts entre eux selon les diversités des profanations ; les enfers des profanations du bien sont par derrière, et les enfers des profanations du vrai sont sous les pieds et sur les côtés ; ils sont plus profonds que les enfers des autres maux, et ils sont rarement ouverts. Que les étrangers soient ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, et ne veulent point le reconnaître, soit au dehors ou au dedans de l'Église, ainsi ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, et dans le sens abstrait des personnes, les maux et les faux du mal, c'est ce qu'on voit dans la Parole d'après un grand nombre de passages : il est dit ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, ainsi ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, parce que ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur ne peuvent faire autrement que d'être dans les maux et dans les faux du mal, car c'est du Seigneur que procède tout bien et tout vrai du bien ; c'est pourquoi, ceux qui nient le Seigneur sont dans les maux et dans les faux du mal, selon les paroles du Seigneur dans Jean :

« Si vous ne croyez pas que Moi je suis, vous mourrez dans vos péchés. " - Jean 8:24.

Que les étrangers soient ceux-là, on le voit par ces passages ; dans Ésaïe :

« Votre terre est une solitude, vos villes ont été brûlées par le feu ; votre humus devant vous, des étrangers le dévoreront ; et il y aura une solitude comme un bouleversement par des étrangers. » - Ésaïe 1:7.

Ici par la terre il n'est pas entendu la terre, ni par les villes et l'humus, des villes et l'humus ; mais par la terre il est entendu l'Église, pareillement par l'humus, et par les villes les vrais de l'Église, appelés doctrinaux, qui sont dits avoir été brûlés par le feu, quand ils ont été consumés par les maux des amours de soi et du monde ; de là, on voit clairement ce qui est signifié par cela que

« des étrangers dévoreront l'humus, » à savoir, que les maux et les faux du mal consumeront l'Église ; et par cela que

« la terre sera une solitude ; » que la terre soit l'Église, on le voit aux articles cités, numéro 9325 ; et pareillement l'humus, numéro 566, 1068 ; il a aussi été montré que les villes sont les doctrinaux de l'Église, ainsi les vrais de l'Église, numéro 2268, 2451, 2712, 2943, 3216, 4492, 4493 ; et que le feu est le mal des amours de soi et du monde, numéro 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7575, 9141.

Dans Jérémie :

« L'ignominie a couvert nos faces, quand sont venus des étrangers contre les sanctuaires de la maison de Jéhovah. " - Jérémie 51:51.

Les étrangers contre les sanctuaires de la maison de Jéhovah sont les maux et les faux du mal contre les biens et les vrais de l'Église ; on appelait étrangers ceux d'entre les nations, qui servaient dans l'Église Juive ; et par les nations de cette terre sont signifiés aussi les maux et les faux, numéro 9320.

Dans le Même :

« Tu dis : C'en est fait, non ; mais j'aimerai des étrangers, et après eux j'irai. " - Jérémie 2:25 ;

-aimer des étrangers et aller après eux, c'est aimer les maux et les faux du mal, et les adorer.

Dans Ézëchiel :

« L'épée j'amènerai sur vous, et je vous livrerai dans la main d'étrangers. » Jérémie 40:8, 9 ; amener l'épée, ce sont les faux d'après le mal qui combattent contre les vrais d'après le bien ; livrer dans la main des étrangers, c'est pour qu'ils croient et servent ces faux ; que l'épée soit le vrai qui combat contre les faux, et dans le sens opposé le faux qui combat contre les vrais, on le voit, numéro 2799, 6353, 7102, 8294.

Dans le Même :

« De la mort des incirconcis tu mourras, dans la main des étrangers. » - Jérémie 28:10.

Les incirconcis sont ceux qui sont dans les amours impurs et dans les cupidités de ces amours quant à la vie, quoiqu'ils soient dans les doctrinaux, numéro 2049, 3412, 3413, 4462, 7045, 7225 ; leur mort est la mort spirituelle ; dans la main des étrangers, c'est dans les maux mêmes et dans les faux du mal.

Dans le Même :

« Jérusalem, femme adultère ! sous son mari, elle reçoit les étrangers. » - ;

-Jérusalem, femme adultère, c'est l'Église dans laquelle le bien a été adultéré ; recevoir les étrangers, c'est reconnaître par la vie et par la doctrine les maux et les faux du mal.

Dans Joël :

« Jérusalem sera sainteté, et des étrangers ne passeront plus par elle. » - ; ici aussi Jérusalem est l'Église, mais l'Église dans laquelle le Seigneur est reconnu, et dans laquelle on vit du bien et on croit aux vrais qui procèdent du Seigneur ; des étrangers ne passeront plus par elle, c'est-à-dire que les maux et les faux du mal qui proviennent de l'enfer n'entreront point en elle.

Dans David :

« Des étrangers se sont élevés contre moi, et des violents ont cherché mon âme. » Psaumes 54:5 ; ici encore les étrangers sont les maux et les faux du mal ; les violents sont les mêmes qui font violence aux biens et aux vrais : ceux qui ne considèrent que le sens littéral de la Parole n'entendent par les étrangers que ceux qui sont hors de l'Église, et pensent que ceux-là s'élèveraient contre David, mais dans les cieux il n'entre rien de la personne, il n'y entre que les choses qui sont signifiées, numéro 8343, 8985, 9007 ; ainsi ce sont non pas les étrangers, mais au lieu des étrangers les choses étrangères, c'est-à-dire, celles qui ont été aliénées de l'Église, ainsi les maux et les faux du mal qui détruisent l'Église ; par David, contre qui ils s'élèveraient, il est aussi perçu le Seigneur, numéro 1888, 9951.

Dans Moïse :

« Il a abandonné le Dieu qui l'avait fait, et il a méprisé le rocher de son salut ; à la Jalousie ils L'ont provoqué par des étrangers.Deutéronome 32:15-16 ; abandonner Dieu et mépriser le rocher du salut, c'est nier le Seigneur ; provoquer par des étrangers, c'est par les maux et par les faux du mal ; que le Rocher soit le Seigneur quant aux vrais de la foi, on le voit, numéro 8581. En outre, ailleurs, les étrangers auesi sont les maux et les faux, par exemple, Ésaïe 25:2, 4, Ézéchiel 31:11-12. Comme les étrangers signifiaient ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, et par suite dans le sens abstrait les maux et les faux du mal, c'est pour cela qu'il fut défendu

« que l'étranger mangeât des choses saintes. » - Lévitique 22:10.

Que

« l'étranger s'approchât de la fonction du sacerdoce, ou de la garde du sanctuaire ; et s'il s'en approchait il devait être tué. » - , ; et aussi

« de brûler du parfum avec un feu étranger ; pour en avoir brûlé, Nadab et Abihu fils d'Aharou furent consumés par le feu du ciel, » Lévitique 10:1-2.

Car le feu saint, qui était près de l'autel, signifiait l'amour Divin ; le feu étranger signifiait l'amour infernal, et par suite aussi les maux et les cupidités de ces maux, voir numéro 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7575, 9141. Il y a aussi des étrangers (alienigenœ) désignés dans la Langue originale par un autre mot que les étrangers (alieni), et ceux-là signifient les faux mêmes ; par exemple, dans les Lamentations :

« Jéhovah ! regarde notre ignominie ; notre héritage a été transporté à des étrangers (ad aliènes), et nos maisons à des étrangers (ad alienigenas). » - Lamentations 5:1-2.

Dans Obadie :

« Des étrangers (alieni) ont emmené en captivité sa force, et des étrangers (alienigense) sont entrés dans ses portes, et sur Jérusalem ils jetteront le sort. » - Vers. , 11 ; jeter le sort sur Jérusalem, c'est détruire l'Église, et en dissiper les vrais.

Dans Zéphanie :

« Je ferai la visite sur les princes et sur les fils du roi, et sur tous ceux qui sont revêtus d'un habit d'étranger (alienigenae). » - Zéphanie 1:8.

Ceux qui sont revêtus d'un habit d'étranger sont ceux qui sont dans les faux ; car les princes et les fils du roi, sur lesquels la visite sera faite, sont les principaux vrais, et dans le sens opposé les principaux faux ; que les princes signifient ces faux, on le voit, numéro 1482, 2089, 5044 ; que les rois soient les vrais mêmes, et dans le sens opposé les faux mêmes, on le voit, numéro 2015, 2069, 3009, 4581, 4966, 5044, 5068, 6148 ; delà, les fils du roi sont ceux qui en proviennent.

Dans David :

« Délivre-moi, et arrache-moi de la main des fils de l'étranger (alienigense), dont la bouche prononce la vanité, et dont la droite est une droite de mensonge. » - Psaumes 144:7-8, 11.

Que les fils de l'étranger soient ceux qui sont dans les faux, ainsi les faux, cela est bien évident, car il est dit,

« dont la bouche prononce la vanité et dont la droite est une droite de mensonge ; en effet, la vanité est la fausseté de la doctrine, et le mensonge le faux de la vie, numéro 9248.

  
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Arcanes Célestes #4835

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4835. Viens vers l'épouse de ton frère, et acquitte-toi du lévirat envers elle, signifie qu'il continuerait le représentatif, à savoir, de l'Église : on le voit par la signification de venir ou entrer vers l'épouse de son frère, et de s'acquitter du lévirat envers fille, en ce que c'est conserver et continuer ce qui appartient à l'Église : ce qui avait été ordonné dans la loi de Moïse, que si quelqu'un mourait sans enfant, sou frère prendrait sa veuve pour épouse et susciterait semence à son frère, et que le premier-né serait appelé du nom du défunt, mais que les autres fils lui appartiendraient, cela était appelé le lévirat ; d'après ces paroles de Jehudah il est évident que ce statut de Moïse n'était pas quelque chose de nouveau dans l'Église Juive, mais qu'il avait aussi été précédemment en usage ; il en est de même d'un grand nombre de statuts qui ont été commandés aux Israélites par Moïse, comme de ne point prendre d'épouses d'entre les filles des Canaanites, et d'en prendre en dedans des familles, - Genèse 24:3, Genèse 28:1-2.

D’après ces statuts et plusieurs autres, il est évident qu'il y avait eu précédemment une Église dans laquelle avaient été instituées des choses telles que celles qui ont été ensuite promulguées et enjointes aux fils de Jacob ; que les autels et les sacrifices aient aussi été en usage des le temps Ancien, c'est ce qui résulte évidemment de la , Genèse 22:3, 7-8 ; il est donc clair que l'Église Juive n'a pas été une nouvelle Église, mais qu'elle était un relèvement de l'Église Ancienne, qui avait péri. Quelle a été la loi du lévirat on le voit dans Moïse :

« Si ont habité des frères ensemble, et que soit mort l'un d'eux, et point de fils à lui, ne se mariera point l'épouse du défunt dehors à un homme étranger, son beau-frère entrera vers elle, et il la prendra à soi pour épouse, et ainsi s'acquittera du Lévirat envers elle : alors il arrivera que le premier-né qu'elle enfantera subsistera sur le nom de son frère défunt, afin que ne soit point effacé son nom parmi Israël : que si cet homme ne veut pas prendre sa belle-sœur, sa belle-sœur montera à la porte vers les anciens, et elle dira : Mon beau-frère refuse de susciter à son frère un nom en Israël, il ne veut pas s'acquitter du Lévirat envers moi ; alors les anciens de sa ville l'appelleront, et ils lui parleront ; si celui-ci persiste, et qu'il dise : Je ne désire point la prendre ; sa belle-sœur s'approchera de lui, aux yeux des anciens, et elle lui arrachera son soulier de dessus son pied, elle lui crachera à la face, et elle répondra et dira ; Ainsi sera fait à l'homme qui ne bâtit pas la maison de son frère ; de là sera appelé son nom en Israël, la maison du déchaussé. " - ;

Celui qui ne connaît pas ce que représente le lévirat, ne peut faire autrement que de croire que c'était seulement pour conserver le nom et par suite l'héritage, mais la conservation du nom et de l'héritage n'était pas d'une telle importance, que le frère dût pour cela contracter mariage avec sa belle-sœur ; mais cela avait été enjoint, afin que par là fussent représentées la conservation et la continuation de l'Église ; en effet, le mariage représentait le mariage du bien et du vrai, c'est-à-dire, le mariage céleste, par conséquent aussi l'Église, car l'Église est Église d'après le mariage du bien et du vrai, et quand l'Église est dans ce mariage, elle fait un avec le Ciel, qui est le mariage céleste même ; et comme le mariage représentait ces choses, c'est pour cela que les fils et les filles représentaient et en outre signifiaient les vrais et les biens ; c'est pourquoi être sans enfants signifiait être privé du bien et du vrai, de sorte que dans cette maison il n'y avait plus aucun représentatif de l'Église, et qu'ainsi la maison était hors de la communion : en outre, le frère représentait le bien consanguin auquel devait être conjoint le vrai qui était représenté par l'épouse veuve ; car le vrai ne peut être conjoint à d'autre bien qu'au bien qui est sien et consanguin, afin d'être un vrai qui ait la vie et produise du fruit, et continue ainsi ce qui appartient à l'Église : voilà ce qui était perçu dans le Ciel par le lévirat. Que si le frère ne voulait pas s'acquitter du lévirat, sa belle-sœur lui arrachait son soulier de dessus son pied, et lui crachait à la face, cela signifiait que de même celui qui était sans le bien et sans le vrai externes et internes détruisait les choses qui appartenaient à l'Église, car le soulier est l'externe, numéro 1748, et la face l'interne, Nos 1999, 2434, 3527, 4066, 4796 ; de là il est évident que le lévirat représentait la conservation et la continuation de l'Église. Mais quand les représentatifs des internes eurent cessé par l'avènement du Seigneur, cette loi a été abolie ; il en est de cela comme de l'âme ou esprit de l'homme et de son corps, l'âme ou l'esprit de l'homme est son interne, et le corps en est l'externe ; ou, ce qui est la même chose, l'âme ou l'esprit est l'effigie même de l'homme, et le corps en est l'image représentative ; quand l'homme ressuscite, l'image représentative ou son externe, qui est son corps, est rejeté, car alors il est dans l'interne ou dans l'effigie elle-même. Et il en est aussi de cela comme de celui qui est dans les ténèbres, et qui de là voit les objets qui appartiennent à la lumière, ou, ce qui est la même chose, comme de celui qui est dans la lumière du monde, et qui d'après cette lumière voit les choses qui appartiennent à la lumière du Ciel, car la lumière du monde relativement à la lumière du Ciel est comme des ténèbres ; dans les ténèbres ou dans la lumière du monde les choses qui appartiennent à la lumière du Ciel apparaissent non telles qu'elles sont en elles-mêmes, mais comme dans une image représentatif, de même que le mental de l'homme dans sa face ; c'est pourquoi, quand la lumière du Ciel apparaît dans sa clarté, les ténèbres ou les images représentatives sont dissipées ; c'est ce qui a été fait par l'avènement du Seigneur.

4835 bis. Et suscite semence à ton frère, signifie afin que l'Eglise ne périsse point : on le voit par la signification de la semence, en ce qu'elle est le vrai d'après le bien, ou la foi de la charité, numéros 1025, 1447, 1610, 1910, 2848, 3310, 3373, 3671 ; la même chose aussi est signifiée par le premier-né qui devait être sur le nom du frère défunt, numéros 352, 367, 2435, 3325, 3494 ; susciter cette semence au frère, c'est continuer ce qui appartient à l'Église, selon ce qui vient d'être dit, numéro 4834, par conséquent afin que l'Église ne périsse point.

  
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