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Exode 37:6

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6 Il fit aussi le Propitiatoire de pur or; sa longueur était de deux coudées et demie, et sa largeur d'une coudée et demie.

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Quatre

  
Four Mandalas

Le chiffre "quatre" dans la Bible représente les choses qui sont liées ou jointes. C'est en partie parce que quatre est deux fois deux, et deux représente le lien ultime entre notre désir d'être bon et notre compréhension de la vérité. Nous pouvons également le voir dans le fait que la plupart des bâtiments sont rectangulaires, les quatre côtés étant reliés entre eux pour former un tout. Nous divisons également les directions en quatre - nord, est, sud et ouest - et nous parlons des "quatre coins" de quelque chose qui signifie tout cela. Ainsi, notre pensée particulière considère naturellement que les quatre côtés sont reliés entre eux pour former un tout.

(Reference: L'Apocalypse Expliquée 417; Arcanes Célestes 1686, 9103, 9601, 9767, 9864)

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Arcanes Célestes #9103

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9103. Et quatre bêtes de menu-bélail pour la bête de menu bétail, signifie une peine correspondante jusqu'au plein : on le voit par la signification de quatre, en ce que c'est la conjonction ; en effet, quatre signifie la même chose que deux, parce que quatre vient de deux, car il en est le double ; or deux signifie la conjonction, numéros 5194, 8423, et par suite quatre la signifie aussi, numéros 1686, 8877 ; de là résulte que ces nombres signifient aussi jusqu'au plein, car le conjoint est le plein ; et par la signification de la bête de menu bétail, en ce que c'est le bien intérieur, numéro 9099 ; la peine correspondante est signifiée par payer, savoir, quatre bêtes de menu bétail pour la bête de menu bétail, numéro 9102 : le bien intérieur est ce qui est appelé la charité dans l'homme intérieur, et le bien extérieur est la charité dans l'homme extérieur ; ce bien-ci doit vivre par celui-là, car le bien de la charité dans l'homme intérieur est le bien de la vie spirituelle, et le bien de la charité dans l'homme extérieur est le bien de la vie naturelle qui en résulte ; ce bien de la vie naturelle vient à la sensation de l'homme comme plaisir, mais le bien de la vie spirituelle ne vient point à la sensation, il vient à la perception que la chose doit être ainsi, et il procure le contentement d'esprit ; dans l'autre vie il vient aussi à la sensation. On ne peut pas savoir pourquoi cinq bœufs devaient être payés pour un bœuf, et quatre bêtes de menu bétail pour une bête de menu bétail, si l'on ne sait pas ce que c'est que le vol dans le sens spirituel, ni ce que c'est que le bœuf et la bête de menu bétail ; ce que c'est, cela a déjà été expliqué, à savoir, que c'est l'enlèvement et l'expulsion du bien extérieur et du bien intérieur, l'enlèvement se fait par le mal, et l'expulsion par le faux ; de là, leur peine et leur rétablissement sont signifiés par cinq et par quatre ; que tous les nombres dans la Parole signifient des choses, on le voit, numéros 575, 647, 648, 755, 813, 1963, 1988, 2075, 2252, 3252, 4264, 4495, 4670, 5265, 6175 ; ici, des choses qui enveloppent le rétablissement, savoir, le nombre cinq le rétablissement du bien extérieur jusqu'à beaucoup, et le nombre quatre le rétablissement du bien intérieur jusqu'au plein : si le bien intérieur doit être rétabli jusqu'au plein, c'est parce que ce bien fait la vie spirituelle de l'homme ; et si la vie spirituelle n'est pas rétablie jusqu'au plein, le bien extérieur qui fait la vie naturelle ne peut être rétabli, car la vie naturelle est rétablie par la vie spirituelle, comme on peut le voir par la régénération de l'homme ; que l'homme externe soit régénéré par l'homme interne, on le voit, numéros 9043, 9046, 9061 ; mais le bien dans l'homme externe ou naturel ne peut pas être rétabli jusqu'au plein, car il y reste une plaie qui devient dure comme une cicatrice : voilà ce que ces nombres enveloppent. Il sera encore dit quelques mots sur le rétablissement du bien extérieur qui fait la vie naturelle de l'homme, par le bien intérieur qui fait sa vie spirituelle : Le naturel de l'homme voit les choses dans la lumière du monde, lumière qui est appelée lueur naturelle ; l'homme s'acquiert cette lueur par des objets qui entrent par la vue et par l'ouïe, conséquemment par les objets qui lui, à peu près comme l'œil les voit : les objets qui entrent par ces sens se présentent d'abord à lui comme agrément et plaisir, ensuite l'homme enfant distingue entre les plaisirs, d'où il apprend à discerner, et cela par degrés d'une manière plus exquise : quand la lumière provenant du ciel influe dans ces objets, l'homme commence à les voir spirituellement, et d'abord à discerner entre ceux qui sont utiles et ceux qui ne sont pas utiles, par là il se met à voir avec perspicacité le vrai, car ce qui lui est utile est pour lui le vrai, et ce qui est inutile n'est point le vrai : cette perspicacité s'accroît selon l'influx de la lumière du ciel, jusqu'au point qu'il discerne enfin non-seulement entre les vrais, mais même entre les vrais dans ces vrais ; et cela, d'une manière d'autant plus lumineuse que la communication est plus ouverte entre l'homme interne et l'homme externe ; car la lumière du ciel influe du Seigneur par l'homme interne dans l'homme externe : de là vient alors à l'homme la perception ; mais cependant ce n'est pas encore la perception spirituelle ; la perception spirituelle existe non par les vrais naturels, mais par les vrais spirituels ; les vrais spirituels sont ceux qui sont appelés vrais de la foi : que la perception spirituelle existe par ces vrais, c'est parce que la lumière du ciel est le Divin Vrai procédant du Seigneur, et que ce Vrai brille comme lumière devant les yeux des anges, et brille aussi dans leur entendement, et leur donne l'intelligence et la sagesse, mais avec variété selon sa réception dans le bien ; c'est pourquoi les connaissances des spirituels doivent être chez l'homme dans son naturel pour que la perception spirituelle existe ; et les connaissances des spirituels doivent provenir de la révélation : quand la lumière du ciel influe dans ces connaissances, elle influe dans ses propres, car, ainsi qu'il a été dit, cette lumière est le Divin Vrai procédant du Seigneur, voir numéros 1053, , 2776, 3138, 3167, 3195, 3222, 3223, 3341, 3636, 3643, 4180, 4302, 4408, 4415, 4527, 5400, 6032, 6313, 6608 ; de là chez l'homme l'intelligence et la sagesse dans les choses qui appartiennent à la vie éternelle, intelligence et sagesse qui croissent selon la réception de cette lumière, c'est-à-dire, des vérités de la foi, dans le bien ; le bien est la charité. Que l'homme naturel ou externe soit régénéré, et aussi amendé et rétabli, par l'homme interne, on peut le voir d'après ce qui a déjà été dit ; en effet, les choses qui sont dans l'homme externe ou naturel vivent d'après la lumière du ciel, car cette lumière est vivante, parce qu'elle procède du Seigneur, qui est la vie même ; mais elles ne vivent pas d'après la lumière naturelle, car cette lumière est en Vie-même morte ; afin donc que les choses qui sont dans la lumière naturelle vivent, il faut qu'il y ait influx de la lumière vive d'après le Seigneur par l'homme interne ; cet influx s'accommode selon les connaissances du vrai analogues et correspondantes dans le naturel, et selon les déférences qui y sont. D'après cela il est évident que l’externe ou le naturel de l'homme doit être régénéré par son interne : pareillement le bien dans le naturel, qui a été enlevé et chassé, doit être amendé et rétabli.

  
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