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Exode 21:33

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33 Si quelqu'un découvre une fosse, ou si quelqu'un creuse une fosse, et ne la couvre point, et qu'il y tombe un bœuf ou un âne,

Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #8993

Proučite ovaj odlomak

  
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8993. Et quand aura vendu un homme sa fille pour servante, signifie l'affection du vrai d'après le plaisir naturel : on le voit par la signification de la fille d'un homme, en ce qu'elle est l'affection du vrai, car la fille signifie l'affection, numéros 2362, 3963, et l'homme le vrai, numéro 3134, comme aussi l'Israélite qui ici est entendu par l'homme, numéros 5414, 5879, 5951, 7957, 8234 ; et par la signification de servante, en ce que c'est l'affection externe ou naturelle, numéros 2567, 3835, 3849 ; de là, la fille d'un homme vendue pour servante, signifie l'affection du vrai d'après le plaisir de l'affection naturelle. Par le plaisir naturel est entendu le plaisir qui découle de l'amour de soi et de l'amour du monde ; ceux qui par là sont dans l'affection du vrai, sont ceux qui apprennent les doctrinaux de l'Église, qu'on nomme vrais de la foi, soit pour le profit, soit pour les honneurs, et non pour la vie ; ces sortes d'affections du vrai, qui découlent non du bien spirituel mais du plaisir naturel, sont représentées par la fille d'un homme Israélite vendue pour servante ou en servitude, car tout ce qui tire son origine de l'amour de soi, ou de l'amour du monde, n'est pas libre, mais est en servitude ; ce que c'est que la liberté et ce que c'est que la servitude, on le voit, numéros 892, 905, 1947, , 6205. Dans le sens interne de ce qui va suivre, il est décrit comment la chose se passe à l'égard des affections du vrai qui tirent leur origine de ces amours. Il ne faut par oublier que l'affection réelle du vrai est de vouloir et de désirer savoir les vrais mêmes de la foi pour un usage bon comme fin, et pour la vie, mais que l'affection non-réelle du vrai est de vouloir et de désirer les vrais pour soi-même, ainsi pour obtenir des honneurs et acquérir des profits ; ceux qui sont dans l'affection du vrai provenant de cette origine-ci, ne s'inquiètent point si les choses qu'ils savent sont des vrais réels, pourvu qu'elles soient de celles qui peuvent être prônées comme des vrais ; ils s'attachent donc seulement à confirmer les doctrinaux de leur Église, dans laquelle ils sont nés, soit que ces doctrinaux soient des vrais ou qu'ils ne soient pas des vrais ; ils sont aussi dans les ténèbres'quant aux vrais eux-mêmes ; car les fins mondaines qui sont les profits, et les fins corporelles qui sont les honneurs, les aveuglent entièrement : quant à ceux qui sont dans l'affection réelle du vrai, c'est-à-dire, qui désirent savoir les vrais pour un usage bon et pour la vie, ils restent aussi dans les doctrinaux de leur Église jusqu'à ce qu'ils parviennent à l'âge où ils commencent à penser d'après eux-mêmes, alors ils scrutent les écritures et supplient le Seigneur de les illustrer, et quand ils sont illustrés, ils se réjouissent de cœur ; car ils savent que sans l'examen de l'Écriture d'après l'affection réelle du vrai, s'ils fussent nés où il y "à une autre doctrine de l'Église, et même où existe la plus grande hérésie, ils y seraient restés ; par exemple, s'ils fussent nés Juifs, ou Sociniens. Par là on voit clairement qui sont et quels sont ceux qui sont dans l'affection réelle du vrai, et qui sont et quels sont ceux qui sont dans l'affection non réelle du vrai ; ceux qui sont dans l'affection réelle du vrai sont dans le sens représentatif les filles d'hommes d'entre les Israélites, et ceux qui sont dans l'affection non réelle du vrai sont dans le sens représentatif les servantes d'entre les filles d'Israël.

  
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Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #300

Proučite ovaj odlomak

  
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300. Quant au premier arcane, qui consiste en ce que par Jéhovah Dieu il est entendu le Seigneur et en même temps le Ciel, il faut observer que, dans la Parole, c'est toujours par une cause secrète que le Seigneur est nommé tantôt Jéhovah seulement, tantôt Jéhovah Dieu, tantôt Jéhovah et ensuite Dieu, tantôt le Seigneur Jéhovah, tantôt Dieu d'Israël, tantôt Dieu seulement, comme dans le premier Chapitre de la Genèse, où il n'est appelé que Dieu, même où il est dit, au pluriel :

« Faisons l'homme à notre image ; et ce n'est que dans le Chapitre second, où il s'agit de l'homme céleste, qu'il est nommé Jéhovah Dieu. Il est appelé Jéhovah, parce que Seul il Est, où Seul il Vit, ainsi à cause de son Essence ; Dieu, parce qu'il peut tout, ainsi à cause de sa Puissance, comme on le voit dans la Parole, où se trouvent ces distinctions, - Ésaïe 49:4, ; Ésaïe 55:7 ; Psaumes 18:3, 29, 30, 32, 38 au milieu des Dieux, il jugera. » - Psaumes 82:1,

Et ailleurs :

« Qui dans l'Ether sera comparé à Jéhovah ? Qui sera assimilé à Jéhovah entre les fils des Dieux ? » - Psaumes 89:7,

Et ailleurs :

« Confessez le Dieu des Dieux ; confessez le Seigneur des seigneurs.

Psaumes 136:2-3.

Les hommes ont même été appelés Dieux, par suite de leur puissance ; par exemple, - Psaumes 82:6 ; Jean 10:34-35.

Moïse est dit aussi Dieu de Pharaon, - Exode 7:1.

C’est encore pour cela que Dieu est dit, au pluriel, Elohim : mais comme les anges, de leur propre aveu, n'ont pas le moindre pouvoir par eux-mêmes, et n'ont de puissance que par le Seigneur ; et comme il ne saurait exister qu'un seul Dieu, voilà pourquoi, dans la Parole, par Jéhovah Dieu il est entendu le Seigneur Seul. Mais, si quelque chose se fait par le ministère des anges, comme dans le Premier Chapitre de la Genèse, alors est employée la forme du pluriel. Il en est de même ici, parce que l'homme céleste n'a pu, comme homme, être comparé au Seigneur, mais pouvait être assimilé aux Anges, c'est pourquoi il est dit que l'homme a été, comme l'un de nous, à savoir le bien et le mal, c'est-à-dire, sage et intelligent.

  
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