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Exode 9:30

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30 Mais je sais que toi et tes serviteurs, vous ne craindrez pas encore l'Eternel Dieu.

Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #7605

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7605. Et le froment et l'épeautre, signifie le bien du naturel intérieur et le vrai de ce naturel : on le voit par la signification du froment, en ce que c'est le bien de l'amour et de la charité ; numéro 3941 ; et comme le froment est plus noble que l'orge, c'est le bien du naturel intérieur ; et par la signification de l'épeautre, en ce que c'est le vrai du naturel intérieur, correspondant au bien qui est signifié par le froment ; que l'épeautre soit ce vrai, on peut le voir en ce que dans la Parole, lorsqu'il est parlé du bien, il est aussi parlé du vrai, et cela pour le mariage céleste qui est celui du bien et du vrai dans toutes les parties de la Parole, et dans le sens suprême pour l'union du Divin Même et du Divin Humain dans le Seigneur, union à laquelle correspond le mariage du Bien et du Vrai dans le Ciel ; que le Seigneur Lui-Même quant au Divin Même et au Divin Humain soit ainsi intimement dans la Parole, on le voit, numéros 683, 793, 801, 2173, 2516, 2618, 2712, 2803, 3132, 4138 (fin). 5502, 6179, 6343. De là il est évident que l'épeautre signifie le vrai correspondant au bien qui est signifié par le froment.

  
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Iz Swedenborgovih djela

 

Arcanes Célestes #5502

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5502. Et ils tremblèrent, l'homme auprès de son frère, signifie la terreur commune : on le voit par la signification de trembler, en ce que c'est la terreur ; et par la signification de l'homme auprès de son frère, en ce que c'est celle qui est commune, comme ci-dessus, numéro 5498. Si la crainte est exprimée ici deux fois, à savoir, par

« le cœur défaillant, et par

“ Ils tremblèrent, c'est parce que l'une des expressions, se réfère à la volonté, et l'autre à l'entendement ; en effet, dans la Parole, surtout dans la Parole prophétique, il est ordinaire d'exprimer une même chose deux fois, en changeant seulement les expressions ; celui qui ne connaît pas le mystère de cette double locution peut s'imaginer qu'il y a une répétition inutile, mais il n'en est pas ainsi, l'une des expressions se réfère au bien, l'autre au vrai, et comme le bien appartient à la volonté, et le vrai à l'entendement, l'une se réfère à la volonté, l'autre à l'entendement : la raison de cela, c'est que dans la Parole tout est saint, et que le saint procède du mariage céleste, qui est le mariage du bien et du vrai ; c'est de là que dans la Parole est le ciel, par conséquent le Seigneur, qui est le tout dans toutes les choses du ciel, au point que le Seigneur est la Parole ; les deux Noms du Seigneur, à savoir, Jésus-Christ, enveloppent la même chose, le Nom de Jésus le Divin Bien, et le Nom de Christ le Divin Vrai, voir numéro 3004, 3005, 3008, 3009 ; par là aussi il est évident que le Seigneur est dans toutes les choses de la Parole, au point qu'il est la Parole elle-même : que le Mariage du bien et du vrai, ou le mariage céleste, soit dans chaque chose de là parole, on le voit, numéro 683, 793, 801, 2516, 2712, 5138. De là encore on peut avec évidence conclure que si l'homme désire le ciel, il faut qu'il soit non-seulement dans le vrai qui appartient à la foi, mais aussi dans le bien qui appartient à la charité, et qu'autrement aucun ciel n'est en lui.

  
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