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Exode 29:13

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13 Tu prendras toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie, les deux rognons et la graisse qui les entoure, et tu brûleras cela sur l'autel.

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Arcanes Célestes #10001

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10001. Tu feras approcher vers l'entrée de la Tente de convention, signifie la conjonction de l'un et de l'autre dans le ciel : on le voit par la signification de faire approcher, en ce que c'est la présence et la conjonction, comme ci-dessus, numéro 9997, ici la conjonction du Divin Bien et du Divin Vrai procédant du Seigneur dans le ciel ; par la signification de l'entrée, en ce que c'est l'introduction, numéro 8989 ; et par la représentation de la Tente de convention, en ce que c'est le ciel, numéros 9457, 9481, 9485, 9963. Si le taureau, les béliers, le pain, les gâteaux et les beignets d'azymes dans une corbeille, et Aharon avec ses fils, devaient être à l'entrée de la Tente de convention, et si ceux-ci devaient y être revêtus et oints, et les autres choses y être offertes sur l'autel, c'est parce que le lieu où était l'entrée de la Tente de convention représentait le mariage du Divin Bien avec le Divin Vrai ; en effet, l'Autels qui avait aussi été placé à l'entrée de la Tente représentait le Seigneur quant au Divin Bien, et la Tente de convention représentait le Seigneur quant au Divin Vrai ; par suite le lieu vers l'entrée de la Tente représentait la conjonction du Bien et du Vrai, conjonction qui est appelée mariage céleste : que l'Autel de l'holocauste ait représenté le Seigneur quant au Divin Bien, on le voit, numéro 9964 ; et que la Tente de convention ait représenté le Seigneur quant au Divin Vrai, on le voit, numéro 9963 ; que l'Autel ait été placé dans cet endroit, cela est évident dans Moïse :

« Et Moïse plaça l'Autel de l'holocauste vers l'entrée de la Tente. " - Exode 40:29 :

Que la conjonction du bien et du vrai soit le mariage céleste, et qu'elle soit aussi le ciel, on le voit, numéros 2173, 2508, 2618, 2803, 3004, suivants, 3132, .3952, 4434, 6179. Maintenant, d'après cela, il est évident que par

« faire approcher Aharon et ses fils vers » l'entrée de la Tente de convention, » il est signifié la conjonction de l'un et de l'autre, savoir, du Divin Bien et du Divin Vrai procédant du Seigneur dans le ciel.

  
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Arcanes Célestes #2508

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2508. C'est ma sœur, elle, signifie le vrai rationnel : cela est évident d'après la signification de la sœur, en ce qu'elle est le vrai intellectuel rationnel, numéro 1495. Que la sœur soit le Vrai rationnel, c'est ce qu'on ne peut voir que d'après le Mariage céleste ; en effet, les choses qui en descendent ont des rapprochements entre elles, comme les consanguinités et les affinités sur la terre, Voir à ce sujet numéros 685, 917 ; et cela avec une variété indéfinie : le Mariage céleste même existe seulement entre le Divin Bien et le Divin Vrai ; de là sont conçus chez l'homme l'intellectuel, le rationnel et le scientifique, car sans une conception d'après le Mariage céleste jamais l'homme ne peut être imbu d'entendement, ni de raison, ni de science, par conséquent ne peut être homme ; autant donc il tire du Mariage céleste, autant il est homme.

Dans le Seigneur Lui-même est le Mariage céleste, de sorte que le Seigneur est ce Mariage même, car le Seigneur est le Divin Bien même et en même temps le Divin Vrai ; les Anges et les Hommes sont dans le Mariage céleste, en tant qu'ils sont dans l'amour pour le Seigneur et dans la charité envers le prochain, et en tant qu'ils sont dans la foi qui procède de l'amour et de la charité, c'est-à-dire, en tant qu'ils sont dans le Bien du Seigneur et dans le vrai qui procède de ce bien, et alors ils sont appelés filles et fils, et entre eux sœurs et frères, mais cela avec différence. Si le Vrai rationnel est appelé sœur, c'est parce qu'il est conçu de l'influx du Divin Bien dans l'affection des vrais rationnels ; le bien qui en procède dans le rationnel est nommé frère, et le vrai qui en procède est nommé sœur ; mais cela deviendra plus évident d'après les paroles qui sont dites par Abraham au Vers. 12 de ce Chapitre :

« Et même véritablement elle (est) ma sœur, fille de mon père, elle, mais non fille de ma mère, et elle est devenue mon épouse. »

  
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