बाइबल

 

Jérémie 51:2

पढाई करना

       

2 Et j'enverrai contre Babylone des vanneurs qui la vanneront, et qui videront son pays; car de tous côtés ils seront venus contre elle au jour de son mal.

स्वीडनबॉर्ग के कार्यों से

 

Arcanes Célestes #9140

इस मार्ग का अध्ययन करें

  
/ 10837  
  

9140. Et qu'il aura lâché sa bête de somme, signifie s'il le fait avec peu de connaissance : on le voit par la signification de la bête de somme, en ce que c'est la volonté ou l'appétit du corps ; que ce soit avec peu de connaissance, c'est parce que, quand l'homme est dans les voluptés du corps, il consulte peu la raison, et ainsi il a peu de connaissance de ce qu'il fait : toutes les bêtes, de quelque genre et de quelque espèce qu'elles soient, signifient les affections, les bêtes douces et utiles les affections bonnes, et les bêtes non-douces et inutiles les affections mauvaises, numéros 45, 46, 142, 143, , 1823, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 : quand la bête est dite bête de somme, elle signifie les affections purement corporelles, qui en elles-mêmes ont peu de raison, car plus l'homme agit d'après le corps, et moins il agit d'après la raison, puisque le corps est dans le monde, ainsi loin du ciel où est la véritable raison.

Dans la Langue originale l'expression bête de somme se dit aussi d'un homme stupide et sot, ainsi d'un homme ayant peu de connaissance, comme dans Ésaïe 19:11 ; dans David, Psaumes 49:11, ; dans Jérémie 51:17, et ailleurs.

  
/ 10837  
  

स्वीडनबॉर्ग के कार्यों से

 

Arcanes Célestes #714

इस मार्ग का अध्ययन करें

  
/ 10837  
  

714. Par toute bête pure sont signifiés les affections du bien ; on le voit par ce qui a été déjà dit et exposé au sujet des bêtes, numéros 45, 46, 142, 143, 246. La raison pour laquelle les affections sont ainsi signifiées, c'est que l'homme, considéré en lui-même et dans son propre, n'est absolument qu'une bête ; ses sens, ses appétits, ses cupidités, ses affections quelles qu'elles soient, ses amours bons et même les meilleurs, ceux qui consistent à aimer les êtres de son espèce, ses enfants, sa femme, en un mot, tout est semblable chez lui et chez la bête ; il n'y a absolument rien qui diffère : mais ce qui fait que l'homme est homme et supérieur à la bête, c'est qu'il a une vie intérieure, qui n'est pas donnée et ne peut jamais être donnée aux bêtes ; cette vie est la vie de la foi et de l'amour procédant du Seigneur. Si cette vie n'était dans chacune des choses que l'homme a en commun avec les bêtes, il ne serait jamais qu'une bête. Prenons seulement pour exemple son amour envers ses semblables ; s'il ne les aimait que pour lui-même, et s'il n'y avait pas quelque chose de plus céleste ou de plus divin dans son amour, il ne pourrait pas pour cela être appelé homme, parce que ce même sentiment existe chez les bêtes. Il en est de même de toutes les autres affections dont on vient de parler. C'est pourquoi, s'il n'y avait dans la volonté de l'homme la vie de l'amour, et dans son entendement la vie de la foi, procédant l'une et l'autre du Seigneur, il ne serait nullement homme. Il vit après la mort au moyen de la vie qui lui vient du Seigneur, parce que le Seigneur se l'adjoint à Lui-Même ; et c'est ainsi qu'il peut être dans le Ciel avec les Anges, et vivre pour l'éternité. Quoique l'homme vive comme une bête sauvage et qu'il n'aime que lui-même et ce qui le concerne spécialement, néanmoins la Miséricorde du Seigneur est si grande, car elle est Divine et Infinie, que le Seigneur n'abandonne point l'homme, mais il lui inspire continuellement sa vie par le moyen des Anges ; et quoique l'homme ne la reçoive pas autrement, le Seigneur fait toujours des efforts pour qu'il puisse penser, réfléchir, comprendre s'il y a un bien ou un mal, moral, civil, mondain et corporel, et de là s'il y a un vrai ou un faux.

  
/ 10837