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Genèse 41:28

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28 Ainsi, comme je viens de le dire à Pharaon, Dieu a fait connaître à Pharaon ce qu'il va faire.

स्वीडनबॉर्ग के कार्यों से

 

Arcanes Célestes #5263

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5263. Le songe de Pharaon, un seul, lui, signifie que ce qui a été prévu est semblable dans l'un et dans l'autre : on le voit par la signification du songe, en ce que c'est ce qui a été prévu, numéro 3698, 5091, 5092, 5104, 5233 ; par la représentation de Pharaon, en ce qu'il est le Naturel, numéro 5079, 5080, 5095, 5160 ; et par la signification de un seul, lui, en ce qu'ici c'est le semblable dans l'un et dans l'autre, à savoir, dans le naturel intérieur et dans le naturel extérieur ; qu'il y ait deux naturels, on le voit, numéro 5118, 5126 ; en effet, ce que Pharaon a songé des vaches a été prévu sur le naturel intérieur, et ce qu'il a songé des épis a été prévu sur le naturel extérieur ; et comme les deux naturels font un par conjonction, il est signifié le semblable dans l'un et dans l'autre.

  
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स्वीडनबॉर्ग के कार्यों से

 

Arcanes Célestes #5079

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5079. Contre leur seigneur, contre le roi d'Egypte, signifie qu'ils étaient contre l'état nouveau de l'homme naturel, à savoir, les sensuels externes ou du corps, qui sont signifiés par l'échanson et par le boulanger : on le voit par la signification du roi d'Egypte, en ce qu'il est le scientifique en général, numéros 1164, 1165, 1186, 1462, 4749, 4964, 4966 ; en effet, le roi d'Egypte signifie la même chose que l'Egypte, car le roi est le chef de la nation ; il en est de même partout ailleurs où le roi d'une nation est nommé, numéro 4789 : comme c'est le scientifique en général qui est signifié par le roi d'Égypte, c'est aussi l'homme naturel, car tout scientifique est un vrai de l'homme naturel, numéro 4967 ; le bien lui-même y est signifié par seigneur, numéro 4973. Que l'état nouveau de l'homme naturel soit signifié, c'est parce que dans le Chapitre précédent il a été question des intérieurs du naturel en ce qu'ils ont été faits nouveaux, et en ce que, dans le sens suprême où il s'agit du Seigneur, ils ont été glorifiés, mais que maintenant il est question des extérieurs du naturel, qui doivent être ramenés à la concordance ou à la correspondance avec les intérieurs ; ce sont ces intérieurs du naturel qui sont nouveaux, ou, ce qui est la même chose, c'est l'état nouveau de cet homme naturel, qui est signifié ici par leur seigneur le roi d'Egypte, et les extérieurs qui n'ont pas été ramenés dans l'ordre, et qui par suite sont contre cet état nouveau, sont signifiés par l'échanson et le boulanger. Il y a les intérieurs du naturel, et il y a les extérieurs du naturel ; les intérieurs du naturel sont les scientifiques et les affections des scientifiques, mais les extérieurs sont les sensuels de l'un et de l'autre genre, dont il a été parlé, numéro 5077 ; ceux-ci, à savoir, les extérieurs du naturel, l'homme les laisse quand il meurt ; mais ceux-là, à savoir, les intérieurs du naturel, il les porte avec lui dans l'autre vie, où ils servent de plan aux spirituels et aux célestes ; en effet, l'homme, quand il meurt, ne perd rien que les os et la chair, il a avec lui la mémoire de tout ce qu'il a fait, dit et pensé, et il a avec lui toutes les affections et toutes les cupidités naturelles, par conséquent tous les intérieurs du naturel ; il n'a plus besoin de ses extérieurs, car il ne voit rien dans le monde, il n'entend pas ce qui se passe dans le monde, il ne sent, ne goûte et ne touche rien de ce qui est dans le monde ; mais il voit, entend, sent, goute et touche les choses qui sont dans l'autre vie, lesquelles même, quant à la plus grande partie, apparaissent semblables à celles qui sont dans le monde, quoique cependant elles ne soient pas semblables, car elles ont en elles-mêmes le vivant (vivum) que n'ont point celles qui sont proprement du monde naturel ; car dans le monde spirituel toutes choses en général et en particulier existent et subsistent par le Soleil, qui est le Seigneur, de là elles ont en elles-mêmes le vivant ; mais dans le monde naturel toutes choses en général et en particulier existent et subsistent par le soleil, qui est le feu élémentaire, de là elles n'ont point en elles-mêmes le vivant ; le vivant qui apparaît en elles ne vient d'autre part que du monde spirituel, c'est-à-dire, du Seigneur par le monde spirituel.

  
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