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Genèse 41:19

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19 Sept autres vaches montèrent derrière elles, maigres, fort laides d'apparence, et décharnées: je n'en ai point vu d'aussi laides dans tout le pays d'Egypte.

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Arcanes Célestes #5194

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5194. Et il arriva à la fin de deux années de jours, signifie après l'état de conjonction, à savoir, des sensuels qui appartiennent au naturel extérieur avec ceux qui appartiennent au naturel intérieur, desquels il a été parlé dans le Chapitre précédent : on le voit par la signification de deux années de jours ou du temps de deux années, en ce que ce sont les états de conjonction, car deux signifie la conjonction, numéro 1686, 3519, et les années, comme aussi les jours, signifient les états ; voir pour les années, numéro 487, 488, 493, 893, et pour les jours, numéro 23, 487, 488, 493, 2788, 3462, 3785, 4850. Si deux signifie la conjonction, c'est parce que toutes et chacune des choses qui sont dans le monde spirituel, et par suite celles qui sont dans le monde naturel, se réfèrent à deux choses, à savoir, au bien et au vrai, au bien comme à l'agent et à ce qui influe, et au vrai comme au patient et à ce qui reçoit ; et puisqu'elles se réfèrent à ces deux, et que jamais il n'est rien produit à moins que ces deux ne deviennent un par quelque ressemblance d'un mariage, c'est pour cela que deux signifie la conjonction : cette ressemblance d'un mariage est dans toutes et dans chacune des choses de la nature, et de ses trois règnes, et rien n'existe sans cette sorte de mariage ; en effet, pour que quelque chose existe dans la nature, il faut qu'il y ait chaleur et lumière, la chaleur dans le monde naturel correspond au bien de l'amour dans le monde spirituel, et la lumière correspond au vrai de la foi ; ces deux, à savoir, la chaleur et la lumière, doivent faire un, quand quelque chose est à produire ; mais si elles ne font pas un, comme il arriva dans la saison de l'hiver, il n'est absolument rien produit ; qu'il en soit aussi de même spirituellement, c'est ce qu'on voit clairement chez l'homme ; il y a chez l'homme deux facultés, à savoir, la volonté et l'entendement, la volonté a été formée pour recevoir la chaleur spirituelle, c'est-à-dire, le bien de l'amour et de la charité, et l'entendement pour recevoir la lumière spirituelle, c'est-à-dire, le vrai de la foi ; si chez l'homme ces deux ne font point un, il n'est rien produit, car le bien de l'amour sans le vrai de la foi ne détermine et ne qualifie aucune chose, et le vrai de la foi sans le bien de l'amour n'effectue aucune chose ; c'est pourquoi, pour qu'il y ait dans l'homme le mariage céleste, ou pour que l'homme soit dans le mariage céleste, il faut que chez lui ces deux fassent un ; de là vient que les anciens ont assimilé à des mariages toutes les choses en général et en particulier dans le monde, et toutes les choses en général et en particulier chez l'homme, numéro 54, 55, 568, 718, 747, 917, 1432, 2173, 2516, 2731, 2739, 2758, 3132, 4434, 4823, 5138 : d'après ces explications, on peut voir d'où vient que deux signifie la conjonction.

  
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Arcanes Célestes #2739

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2739. Du mariage du bien et du vrai dans les cieux descendent tous les amours, tels que sont l'amour des parents envers les enfants, l'amour des frères entre eux, et l'amour entre des alliés, et ainsi de suite selon les degrés dans leur ordre ; c'est suivant ces amours qui procèdent uniquement du bien et du vrai, c'est-à-dire, de l'amour et de la foi pour le Seigneur, que sont formées toutes les sociétés célestes, qui ont été tellement conjointes par le Seigneur, qu'elles représentent un seul homme, aussi est-ce pour cela même que le Ciel est appelé le très-grand homme ; il y a des variétés ineffables qui toutes tirent leur origine et dérivent de l'union du bien et du vrai procédant du Seigneur, union qui est le Mariage céleste : de là vient que c'est par les mariages sur les terres qu'est tirée l'origine de toutes les consanguinités, et de toutes les affinités, et que devraient dériver pareillement les amours selon les degrés de réciprocité entre eux ; mais comme il n'y a pas d'amour conjugal aujourd'hui, les consanguinités et les affinités y sont, il est vrai, comptées ; mais ce ne sont ni des consanguinités ni des affinités de l'amour.

Dans la Très-Ancienne Eglise il y avait aussi de telles dérivations de l'amour, c'est pour cela que dans les cieux ceux de cette Eglise habitent ensemble distingués comme en nations, en familles et en maisons, qui toutes reconnaissent le Seigneur pour leur unique Père.

  
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