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Genèse 25

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1 Abraham prit encore une femme, nommée Ketura.

2 Elle lui enfanta Zimran, Jokschan, Medan, Madian, Jischbak et Schuach.

3 Jokschan engendra Séba et Dedan. Les fils de Dedan furent les Aschurim, les Letuschim et les Leummim.

4 Les fils de Madian furent Epha, Epher, Hénoc, Abida et Eldaa. -Ce sont là tous les fils de Ketura.

5 Abraham donna tous ses biens à Isaac.

6 Il fit des dons aux fils de ses concubines; et, tandis qu'il vivait encore, il les envoya loin de son fils Isaac du côté de l'orient, dans le pays d'Orient.

7 Voici les jours des années de la vie d'Abraham: il vécut cent soixante quinze ans.

8 Abraham expira et mourut, après une heureuse vieillesse, âgé et rassasié de jours, et il fut recueilli auprès de son peuple.

9 Isaac et Ismaël, ses fils, l'enterrèrent dans la caverne de Macpéla, dans le champ d'Ephron, fils de Tsochar, le Héthien, vis-à-vis de Mamré.

10 C'est le champ qu'Abraham avait acquis des fils de Heth. Là furent enterrés Abraham et Sara, sa femme.

11 Après la mort d'Abraham, Dieu bénit Isaac, son fils. Il habitait près du puits de Lachaï-roï.

12 Voici la postérité d'Ismaël, fils d'Abraham, qu'Agar, l'Egyptienne, servante de Sara, avait enfanté à Abraham.

13 Voici les noms des fils d'Ismaël, par leurs noms, selon leurs générations: Nebajoth, premier-né d'Ismaël, Kédar, Adbeel, Mibsam,

14 Mischma, Duma, Massa,

15 Hadad, Théma, Jethur, Naphisch et Kedma.

16 Ce sont là les fils d'Ismaël; ce sont là leurs noms, selon leurs parcs et leurs enclos. Ils furent les douze chefs de leurs peuples.

17 Et voici les années de la vie d'Ismaël: cent trente-sept ans. Il expira et mourut, et il fut recueilli auprès de son peuple.

18 Ses fils habitèrent depuis Havila jusqu'à Schur, qui est en face de l'Egypte, en allant vers l'Assyrie. Il s'établit en présence de tous ses frères.

19 Voici la postérité d'Isaac, fils d'Abraham. Abraham engendra Isaac.

20 Isaac était âgé de quarante ans, quand il prit pour femme Rebecca, fille de Bethuel, l'Araméen, de Paddan-Aram, et soeur de Laban, l'Araméen.

21 Isaac implora l'Eternel pour sa femme, car elle était stérile, et l'Eternel l'exauça: Rebecca, sa femme, devint enceinte.

22 Les enfants se heurtaient dans son sein; et elle dit: S'il en est ainsi, pourquoi suis-je enceinte? Elle alla consulter l'Eternel.

23 Et l'Eternel lui dit: Deux nations sont dans ton ventre, et Deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles; un de ces peuples sera plus fort que l'autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit.

24 Les jours où elle devait accoucher s'accomplirent; et voici, il y avait deux jumeaux dans son ventre.

25 Le premier sortit entièrement roux, comme un manteau de poil; et on lui donna le nom d'Esaü.

26 Ensuite sortit son frère, dont la main tenait le talon d'Esaü; et on lui donna le nom de Jacob. Isaac était âgé de soixante ans, lorsqu'ils naquirent.

27 Ces enfants grandirent. Esaü devint un habile chasseur, un homme des champs; mais Jacob fut un homme tranquille, qui restait sous les tentes.

28 Isaac aimait Esaü, parce qu'il mangeait du gibier; et Rebecca aimait Jacob.

29 Comme Jacob faisait cuire un potage, Esaü revint des champs, accablé de fatigue.

30 Et Esaü dit à Jacob: Laisse-moi, je te prie, manger de ce roux, de ce roux-là, car je suis fatigué. C'est pour cela qu'on a donné à Esaü le nom d'Edom.

31 Jacob dit: Vends-moi aujourd'hui ton droit d'aînesse.

32 Esaü répondit: Voici, je m'en vais mourir; à quoi me sert ce droit d'aînesse?

33 Et Jacob dit: Jure-le moi d'abord. Il le lui jura, et il vendit son droit d'aînesse à Jacob.

34 Alors Jacob donna à Esaü du pain et du potage de lentilles. Il mangea et but, puis se leva et s'en alla. C'est ainsi qu'Esaü méprisa le droit d'aînesse.

   

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Arcanes Célestes #3322

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3322. C'est pourquoi il appela son nom Edom, signifie de là sa qualité quant au bien auquel ont été adjoints les doctrinaux du vrai : on le voit par la signification d'appeler le nom ou d'appeler du nom, en ce que c'est la qualité, numéros 144, 145, 1754, 1896, 2009, 2724, 3006 ; et par la représentation d'Edom.

Dans la Parole, il est souvent fait mention d'Esaü, et aussi d'Edom ; Esaü y signifie le bien du Naturel, avant que les doctrinaux du vrai aient été ainsi conjoints à ce bien, et aussi le bien de la vie d'après l'influx provenant du Rationnel ; et Edom signifie le bien du Naturel auquel ont été adjoints les doctrinaux du vrai : mais, dans le sens opposé, Esaü signifie le mal de l'amour de soi, avant que les faux aient été ainsi adjoints à cet amour de soi, et Edom signifie le mal de cet amour lorsque les faux y ont été adjoints ; la plupart des noms dans la Parole ont aussi le sens opposé, comme il a été souvent montré ; et cela, parce que les mêmes choses qui ont été des biens et des vrais dans les Églises ont, par laps de temps, dégénéré en maux et en faux par diverses adultérations.

Qu'Esaü et Edom aient ces significations, on peut le voir par ces passages ; dans Ésaïe :

« Qui (est) celui-ci qui vient d'Edom, les vêtements teints, de Bosra, honorable dans son vêtement, marchant dans la multitude de sa force ? » Pourquoi (es-tu) rouge quant à ton vêtement, et (pourquoi) tes habits (sont-ils) comme (ceux) d'un fouleur au pressoir ? J'ai foulé seul au pressoir, et d'entre les peuples nul homme avec moi ; j'ai regardé de tous côtés, mais personne pour m'aider ; et j'ai été dans la stupeur, et personne pour me soutenir ; et mon bras m'a sauvé. » - Ésaïe 63:1-2, 3, 5.

Que dans ce passage Edom soit le Seigneur, on le voit clairement ; et qu'il soit le Seigneur quant au Divin Bien du Divin Naturel, cela est évident, car il s'agit de la conjonction du bien et du vrai dans l'Humain du Seigneur, et des combats des tentations par lesquels il les a conjoints : les vêtements y sont les vrais de l'homme naturel, ou les vrais relativement inférieurs, voir numéro 2576, et le rouge est le bien du naturel, numéro 3300 ; l'œuvre du Seigneur qui, de sa propre puissance, a conjoint les vrais au bien par les combats des tentations, y est décrite par ces expressions : J'ai foulé seul au pressoir, et d'entre les peuples nul homme avec moi ; j'ai regardé de tous côtés, mais personne pour m'aider ; j'ai été dans la stupeur et personne pour me soutenir, et mon bras m'a sauvé ; que le bras soit la puissance, on le voit numéro 878.

Dans le Livre des Juges :

« Jéhovah ! Quand tu sortis de Séir, quand tu partis du champ d'Edom, la terre trembla, même les cieux se fondirent, même les nuées se fondirent, les montagnes s'écoulèrent. » - Juges 5:4-5.

Sortir du champ d'Edom signifie presque la même chose que dans Ésaïe, venir d'Edom : pareillement dans Moïse :

« Jéhovah est venu de Sinaï, et il s'est levé de Séir pour eux. » - Deutéronome 33:2.

Dans le Même :

« Je Le vois quoique non déjà, je l'aperçois quoique non proche ; il sortira une étoile de Jacob, et il s'élèvera un sceptre d'Israël ; et Edom sera l'héritage, et Séir sera l'héritage de ses ennemis, et Israël fera, la force et il dominera sur Jacob, et il perdra le reste de la ville. » - Nombres 24:17-18, 19.

Là, il s'agit de l'avènement du Seigneur dans le monde, son Essence Humaine est dite étoile de Jacob et sceptre d'Israël ; Edom et Séir, qui sont l'héritage, désignent le Divin Bien du Divin Naturel du Seigneur, et deviendra l'héritage de ses ennemis, c'est-à-dire qu'il prendra la place des choses qui étaient auparavant dans le Naturel ; la domination alors sur les vrais dans le naturel est signifiée en ce qu'il dominera sur Jacob et perdra le reste de la ville ; que Jacob soit le Vrai du Naturel, on le voit numéro 3305, et la ville le doctrinal, numéros 402, 2268, 2449, 2712, 2943, 3216 ; il est dit qu'on domine sur les vrais, quand ils ont été subordonnés et soumis au bien ; et avant qu'il en ait été ainsi, ils sont appelés ennemis, parce qu'ils résistent continuellement, comme il a été montré ci-dessus, numéro 3321.

Dans Amos :

« En ce jour-là, je relèverai la tente de David, » (qui est) tombée, et je réparerai leurs brèches, et je rétablirai ses ruines, et je la bâtirai comme aux jours de l'éternité, afin qu'ils possèdent les restes d'Edom, et toutes les nations sur lesquelles a été appelé mon Nom. » - Amos 9:11-12.

La tente de David est l'Église et le culte du Seigneur ; les restes d'Edom désignent ceux qui sont dans le bien au dedans de l'Eglise ; les nations sur lesquelles a été appelé mon Nom désignent ceux qui sont dans le bien hors de l'Église ; que les nations soient ceux qui sont dans le bien, on le voit numéros 1259, 1260, 1416, 1849.

Dans David :

« Sur Edom je mettrai mon soulier ; qui me conduira à la ville forte ? Qui me conduira jusqu'à Edom ? N'est-ce pas toi, ô Dieu ! » - Psaumes 60:10, 11, 12.

Edom est le bien du Naturel, que ce soit le bien du Naturel, cela est évident d'après la signification du soulier, en ce qu'il est le naturel infime, numéro 1748.

Dans Daniel :

« Dans le temps de la fin, le roi du midi sera en collision avec lui ; et comme une tempête se précipitera contre lui le roi du septentrion avec son char, et il inondera et il pénétrera ; et quand il viendra dans la terre de la beauté, plusieurs seront ruinés ; ceux-ci cependant seront arrachés de sa main, Edom et Moab, et les prémices des fils , , - là, il s'agit du dernier état de l'Église ; le roi du septentrion désigne les faux, ou, ce qui est la même chose, ceux qui sont dans les faux ; Edom signifie ceux qui sont dans le bien simple, qui est le bien tel qu'il se trouve chez ceux qui constituent l'Église Externe du Seigneur ; il en est de même de Moab et des fils d'Ammon, numéro 2468 ; et comme l'un et l'autre, savoir, Edom et Moab, signifient ceux qui sont dans le bien, c'est pour cela qu'ils sont l'un et l'autre nommés ensemble dans un grand nombre de passages, mais il y a cette différence, qu'Edom est le bien du Naturel auquel ont été adjoints les doctrinaux du vrai, tandis que Moab est le bien naturel tel qu'il se trouve aussi chez ceux chez qui ces doctrinaux n'ont point été conjoints ; les uns et les autres paraissent semblables par la forme externe, mais non par l'interne. De là on voit maintenant pourquoi il a été dit :

« Tu n'auras point en abomination l'Edomite, parce qu'il est ton frère, ni l'Égyptien parce que tu as été voyageur dans sa terre. » - Deutéronome 23:8, - comme l'Édomite signifie le bien du naturel, et l'Egyptien le vrai du naturel, qui sont les scientifiques, numéros 1164, 1165, 1186, 1462, ils sont en conséquence nommés l'un et l'autre dans le sens bon. De là on voit encore pourquoi Jéhovah a dit à Moïse, que

“ Ils ne devaient pas en venir aux mains avec les fils d'Esaü, et qu'il ne serait pas donné aux fils de Jacob de leur terre, même la trace de la plante du pied. » - Deutéronome 2:4, 5, 6.

Mais, dans le sens opposé, par Esaü et Edom sont représentés ceux qui se détournent du bien, en ce qu'ils méprisent tout-à-fait le vrai, et ne veulent pas que quelque chose du vrai de la foi soit adjoint, ce qui a lieu principalement à cause de l'amour de soi ; c'est pourquoi, dans le sens opposé, ceux-là sont signifiés par Esaü et par Edom : c'est même ce qui a été représenté en ce que le Roi d'Edom sortit avec un peuple nombreux et à main forte, et refusa de permettre à. Israël de passer par ses confins. » - .

Ce mal, savoir, le mal de l'amour de soi, qui est tel, qu'il n'admet pas les vrai de la foi, ni par conséquent les doctrinaux du vrai, est décrit dans divers passages de la Parole par Esaü et par Edom, et en même temps est aussi décrit l'état de l'Eglise quand elle devient telle ; par exemple.

Dans Jérémie :

« Contre Edom : N'y a-t-il plus aucune sagesse dans Théman ? Le conseil a-t-il manqué aux intelligents ? Est-elle devenue infecte leur sagesse ? Fuyez, ils se sont détournés, ils ont fait des creux pour y habiter, les habitants de Dédan, car j'amènerai sur lui la calamité d'Esaü. Moi, je dépouillerai Esaü, je découvrirai ce qu'il a de secret, au point qu'il ne puisse pas être caché : sa demeure a été dévastée, et ses frères, et ses voisins : laisse tes orphelins, Moi, je (les) vivifierai ; et tes veuves, que sur Moi elles se confient : Edom sera en dévastation ; quiconque passera près d'elle sera stupéfait et sifflera à cause de toutes ses plaies. » - Jérémie 49:7-8, 10-11, 17, ; ; , , Psaumes 83:5, 6, 7.

Dans Obadie :

« Ainsi a dit le Seigneur Jéhovih à Edom : Voici, je t'ai rendu petit entre les nations, tu (es) fort méprisé : l'orgueil de ton cœur t'a trompé, toi qui habites dans les fentes du rocher, la hauteur de ta demeure, toi qui dis dans ton cœur : Qui m'abaissera à terre ? Quand tu te serais élevé comme l'aigle, et quand entre les étoiles tu aurais placé ton nid, de là je t'abaisserais. Comment ceux d'Esaü ont-ils été recherchés ? Comment ce qu'ils avaient de caché a-t-il été découvert ? N'est-ce pas en ce jour que je perdrai les sages d'Edom et les intelligents de la montagne d'Esaü ; par le carnage, à cause de la violence de ton frère Jacob, la honte te couvrira, et tu seras retranché pour l'éternité ; la maison de Jacob sera un feu, et la maison de Joseph une flamme, et la maison d'Esaü de la paille, et ils les embraseront, et ils les consumeront, et il ne restera rien de la maison d'Esaü, et les méridionaux hériteront la montagne d'Esaü. » - , , .

Là, Edom et Esaü désignent le mal de l'homme naturel, mal qui a son origine dans l'amour de soi et qui méprise et rejette tout vrai, d'où résulte sa dévastation.

Dans Ézéchiel :

« Fils de l'homme, dresse tes faces contre la montagne de Séir, et prophétise contre elle, et dis-lui : Ainsi a dit le Seigneur Jéhovih : Me voici contre toi, montagne de Séir, et j'étendrai ma main contre toi, et je te réduirai en désolation et en dévastation, parce que tu as une inimitié d'éternité, et que tu fais couler les fils d'Israël sur les mains de l'épée, dans le temps de leur destruction, dans le temps de l'iniquité de la fin ; parce que tu as dit des deux nations et des deux terres : Elles sont à moi, et nous les hériterons, et Jéhovah est là : et tu connaîtras que Moi, Jéhovah, j'ai entendu tous tes outrages, que tu as proférés contre les montagnes d'Israël : elle sera une dévastation la Montagne de Séir, et tout Edom entièrement. » - Ézéchiel 35:2-3, 4, 5, 8, 9, 10, 12, 15.

Là, il est bien évident qu'Edom, dans le sens opposé, signifie ceux qui méprisent, rejettent et couvrent d'opprobre les biens et les vrais spirituels, qui sont les montagnes d'Israël.

Dans le Même :

« Ainsi a dit le Seigneur Jéhovih : Si dans le feu de mon ardeur je n'ai pas parlé sur les restes des nations et sur Edom tout entière, qui se sont donné ma terre en héritage avec joie de tout cœur, avec mépris de l'âme ! » - Ézéchiel 36:5.

Pareillement, se donner la terre en héritage, c'est dévaster l'Église, c'est-à-dire, le bien et le vrai qui appartiennent à l'Église.

Dans Malachie :

« La Parole de Jéhovah contre Israël : Je vous ai aimés, a dit Jéhovah. Et vous dites : En quoi nous as-tu aimés ? Esaü n'est-il pas le frère de Jacob ? Et j'aime Jacob, et j'ai en haine Esaü, et je mets sa montagne en désolation. » - Malachie 1:1-2, 3.

Là Esaü est le mal du naturel, lequel n'admet pas le vrai spirituel qui est Israël, numéro 3305, ni le doctrinal du vrai qui est Jacob, numéro 3305, et c'est pour cela qu'il est dévasté, ce qui est exprimé par avoir en haine : que l'expression avoir en haine ne signifie pas autre chose, c'est ce qui est évident par les passages de la Parole ci-dessus rapportés concernant Esaü et Edom pris en bonne part : quand le Vrai ne se laisse point adjoindre au bien, il est dit la même chose de Jacob, par exemple, dans Osée :

« Pour visiter sur Jacob ses voies, selon ses œuvres il le rétribuera ; dans l'utérus il a supplanté son frère. » - Osée 12:3-4.

  
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Arcanes Célestes #2468

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2468. Il n'est pas nécessaire non plus de confirmer ces choses, car par l'explication même, ainsi que par ce qui précède et ce qui suit, il est évident que telle est leur signification : quant à la religiosité, qui est signifiée par Moab et par les fils d'Ammon, on peut voir ce que c'est et quelle est sa qualité, par leur origine, qui a été décrite, et par plusieurs passages de la Parole tant Historique que Prophétique, où ils sont nommés ; en général, ce sont ceux qui vivent dans un culte externe, lequel paraît en quelque sorte saint, mais qui ne sont pas dans le culte interne ; ils prennent évidemment, pour des biens et des vrais les choses qui appartiennent au culte externe, mais ils rejettent et méprisent celles qui appartiennent au culte interne : un tel culte et une telle religiosité tombent dans ceux qui sont dans le bien naturel, mais qui méprisent les autres en les comparant à eux-mêmes ; ceux-là ressemblent assez à certains fruits passablement beaux dans la forme externe, mais qui au-dedans sont moisis ou pourris ; et à des vases de marbre dans lesquels il y a des choses impures, quelquefois même sales ; ils ressemblent encore assez à des femmes qui sont belles de visage, de corps et de maintien, mais qui sont intérieurement malsaines et remplies de maux honteux ; car chez eux il y a un bien Commun qui paraît assez beau, mais les biens particuliers qui entrent sont souillés ; au commencement, il est vrai, il n'en est pas ainsi, mais cela arrive successivement, car ils se laissent facilement imprégner de tout ce qui est appelé bien, et par conséquent de tous les faux, qu'ils croient être des vrais parce qu'ils confirment ; et cela, parce qu'ils méprisent les intérieurs du culte, et ils méprisent ces intérieurs, parce qu'ils sont dans l'amour de soi : ils doivent leur existence et leur origine à ceux qui sont dans le seul culte externe, lesquels sont représentés dans ce Chapitre par Loth ; et cela, lorsque le bien du vrai a été désolé. Dans la Parole, ils sont décrits tels qu'ils sont, tant au commencement lorsque leur bien n'a pas encore été ainsi corrompu, qu'ensuite quand il est corrompu, comme aussi plus tard quand il a été entièrement corrompu ; il est aussi décrit qu'ils rejettent les intérieurs du culte et de la doctrine. Ils sont décrits tels qu'ils sont au commencement lorsque leur bien n'a pas encore été ainsi corrompu, dans Daniel :

« Dans le temps de la fin, le Roi du midi sera en collision avec lui ; c'est pourquoi comme une tempête se précipitera, contre lui le Roi du septentrion avec un chariot, et des cavaliers, et beaucoup de navires ; et il viendra dans les terres, et il inondera, et il passera outre ; et il viendra dans la terre de la beauté, et plusieurs (terres) seront ruinées ; celles-ci échapperont de sa main, Edom, et Moab, et les prémices des fils d'Ammon. » - Daniel 11:40-41 - le Roi du midi désigne ceux qui sont dans les biens et dans les vrais ; le Roi du Septentrion, ceux qui sont dans les maux et dans les faux ; le Roi du septentrion avec un chariot, des chevaux, des navires venant dans les terres, inondant, et passant outre, c'est pour indiquer que les maux et les faux signifiés par le chariot, les cavaliers, les navires, auront le dessus ; Edom, Moab et les prémices des fils d'Ammon qui doivent échapper de sa main, ce sont ceux qui sont dans un tel bien non encore ainsi corrompu par les faux ; c'est pour cela qu'ils sont appelés les prémices des fils d'Ammon.

Dans Moïse :

« Nous traversâmes par le chemin du désert, et Jéhovah dit à Moïse : Ne resserre point Moab, et ne te mêle pas de guerre avec eux, parce que je ne te donnerai point de sa terre un héritage ; parce que aux Fils de Loth j'ai donné Ar en héritage. » - Deutéronome 2:8-9.

Et au sujet des fils d'Ammon :

« Jéhovah parla à Moïse, en disant : Tu vas passer aujourd'hui par Ar, frontière de Moab, et tu approcheras vis-à-vis des fils d'Ammon ; ne les resserre point non plus, et ne te mêle pas avec eux, parce que je ne te donnera point de la terre des fils d'Ammon en héritage, parce que aux fils de Loth je l'ai donnée en héritage. » - Deutéronome 2:17, 18, 19 :

Ar, c'est un tel bien ; Moab et les fils d'Ammon, ce sont ceux qui sont dans un tel bien, mais dans le commencement qu'ils y sont ; aussi est-il ordonné de ne point les resserrer. C'est de là que Moab a expulsé les Emim, et les Réphaïm qui étaient comme les Enakim ; et que les fils d'Ammon ont expulsé aussi les Réphaïm qu'ils appelaient Samsumim, - Deutéronome 2:9, 10, 11, 18, 19, 20, 21.

Les Emim, les Réphaïm, les Enakim, les Samsumin signifient ceux qui ont été imbus des persuasions du mal et du faux ; Voir numéros 581, 1673 ; Moab et les fils d'Ammon signifient ici ceux qui n'en ont pus encore été imbus ; mais eux-mêmes, lorsqu'ils en eurent été imbus, c'est-à-dire, lorsque leur bien eut été corrompu par les faux, en furent aussi expulsés, - . Ézéchiel 25:8-9, 10, 11.

Ils sont décrits tels qu'ils sont quand leur bien est corrompu, dans Jérémie :

« Sur Moab ; ainsi a dit Jéhovah : Malheur sur Nébo, parce qu'elle a été dévastée, elle a été couverte de honte, Kiriathaïm a été prise, Misgab a été couverte de honte et consternée ; la louange de Moab n'existe plus. Donnez des ailes à Moab, parce qu'en s'envolant il s'envolera, et ses villes seront en désolation, personne pour y habiter. Abandonnez les villes, et demeurez dans les rochers, habitants de Moab, et soyez comme la colombe ; elle fait son nid dans les passages de l'ouverture d'une fosse. Moi j'ai connu, dit Jéhovah, sa colère, et il n'(est) point ferme ; ses faussetés, ils n'ont point fait ce qui est droit. C'est pourquoi je hurlerai sur Moab, et je crierai à Moab tout entier. Après les pleurs de Jaëser, je pleurerai sur toi, cep de Sibma ; tes provins ont traversé la mer, ils sont parvenus jusqu'à la mer de Jaëser ; le dévastateur est tombé sur tes fruits d'été et sur la vendange. C'est pourquoi mon cœur résonnera sur Moab, comme des flûtes. Malheur à toi, Moab ; il a péri le peuple de Kémosch, car les fils ont été enlevés en captivité, et tes filles en captivité. Et je ramènerai la captivité de Moab dans la postérité des jours. » - Jérémie 48:1, 9, 28, 30, 31, 32, 36, 46-47 :

Là, dans tout le Chapitre, il est question de Moab, mais sous son nom il s'agit de ceux qui sont dans un tel bien et de la manière dont ils se laissent imprégner de faux ; c'est pourquoi il est dit de donner des ailes à Moab afin qu'il s'envole, et que ses villes seront en désolation ; mais il leur est recommandé d'abandonner les villes, de demeurer dans les rochers, de faire comme la colombe, leur nid dans les passages de l'ouverture d'une fosse, et plusieurs autres choses, par lesquelles il leur est persuadé de demeurer dans leurs biens communs et dans leurs vrais communs ; et que si alors ils étaient séduits par les faux de l'ignorance, ils seront ramenés de captivité dans la postérité des jours : mais à l'égard de ceux chez lesquels cela n'a pas lieu, il est dit, je hurlerai sur Moab, et je crierai à Moab tout entier, et mon cœur résonnera sur Moab ; les faux dont ils sont imprégnés sont signifiés par Nébo, Kiriathaïm, Misgab, Sibma, Jaëser, Kémosch, et par plusieurs autres noms qui sont dans ce Chapitre.

Dans Ésaïe :

« Les filles de Moab seront une nichée échappée. Tenez le conseil, faites le jugement ; place toute ton ombre au milieu du midi ; cache les bannis, ne décèle pas celui qui est errant ; que mes bannis demeurent en toi, Moab ! Sois-leur une retraite contre le dévastateur. Nous avons entendu l'orgueil de Moab, le très orgueilleux, sa fierté, et son orgueil, et sa colère ; ses mensonges ne sont pas solides. C'est pourquoi Moab hurlera sur Moab, chacun hurlera. C'est pourquoi mes entrailles retentissent comme une harpe à cause de Moab, et mon milieu à cause de la ville de Chérez. Il arrivera qu'on verra que Moab a été fatigué (d'aller) sur le haut-lieu, et il viendra à son sanctuaire pour prier, et il ne pourra pas. Dans trois années, comme des années de mercenaire, et la louange de Moab sera avilie, dans toute (sa) grande multitude, et le reste (sera) petit, peu de chose, sans force. » - Ésaïe 16:11-12, 13, [Il manque du texte ici], .

Il s'agit ici de Moab, dans tout ce Chapitre, et, sous son nom, de ceux qui sont dans un tel bien ; ils y sont décrits çà et là par des paroles semblables à celles qu'on trouve dans le Chapitre 48 de Jérémie, et il leur est conseillé pareillement de demeurer dans leurs biens communs, et de ne pas laisser imprégner de faux : les biens et les vrais communs sont signifiés en ce qu'ils devaient tenir le conseil, faire le jugement, cacher les bannis, ne point déceler celui qui est errant, être une retraite pour les bannis contre le dévastateur, actions qui toutes signifient des externes du culte ; mais comme ils se laissent imprégner de faux, il est dit, dans trois années, comme des années de mercenaire, la louange de Moab sera avilie dans toute sa grande multitude, et le reste sera petit, peu de chose, sans force. Comme ils sont facilement séduits, Moab est appelé l'envoi de la main des Philistins, et les fils d'Ammon leur obéissance, dans Ésaïe :

« La Racine de Jischaï, qui se tient pour enseigne des peuples, les nations la rechercheront, et Son repos sera gloire ; la jalousie d'Ephraïm cessera, et les ennemis de Judab seront retranchés ; Ephraïm, ne sera plus jaloux de Judah, et Judah ne resserrera plus Ephraïm ; et ils voleront sur l'épaule des Philistins vers la mer, ils pilleront ensemble les fils de l'orient, Edom, Moah l'envoi de leur main, et les fils d'Ammon leur obéissance. » - Ésaïe 11:10, 13-14.

La Racine de Jischaï, c'est le Seigneur ; Judah signifie ceux qui sont dans le bien céleste ; Ephraïm, ceux qui sont dans le vrai spirituel ; les Philistins, ceux qui sont dans la science des connaissances du vrai, et qui ne sont pas dans la charité ; les fils de l'orient, ceux qui sont dans la science des connaissances du bien, et qui ne sont pas non plus dans la charité ; Moab est appelé l'envoi de leur main, et les fils d'Ammon sont appelés leur obéissance, parce que par eux ils sont imprégnés de faux.

Ceux qui sont appelés Moab et fils d'Ammon sont décrits tels qu'ils deviennent quand leur bien a été entièrement corrompu pur les faux, dans David :

« Dieu a parlé dans sa sainteté : A Moi Giléad, et à Moi Manasché, et Ephraïm (sera) la force de ma tête, Judah mon législateur, Moab le bassin de mon ablution. » - Psaumes 60:8, 9, 10 ; et de même, Psaumes 108:8-9, 10.

Le bassin de l'ablution, c'est le bien corrompu par les faux.

Dans Jérémie :

« La louange de Moab n'existe plus, dans Chesbon on a pensé du mal sur lui ; allez, retranchons-le de la nation. Moab avait été en paix depuis son adolescence, et il se reposait sur ses lies ; il n'a pas été vidé d'un vase dans un autre vase, et il ne s'est pas en allé en exil ; c'est pourquoi son goût reste en lui, et son odeur ne s'est point changée. Sur tous les toits de Moab un deuil général, parce que j'ai brisé Moab comme un vase dans lequel n'est plus mon bon plaisir. » Jérémie 48:2, 11, 38.

Les faux par lesquels est corrompu le bien, qui est Moab, sont nommés ici des lies, dans lesquelles restent le goût et l'odeur, s'il n'est pas réformé, ce qui est exprimé ici par être vidé d'un vase dans un autre vase ; le bien même est appelé le vase dans lequel n'est plus le bon plaisir, comme dans David il est nommé le bassin où se fait l'ablution.

Dans Ésaïe :

« La main de Jéhovah repose sur cette montagne, et Moab sera broyé sous elle, comme est foulée la paille dans un fumier. » - Ésaïe 25:10.

Ceux qui sont dans un tel bien s'occupent seulement des externes et méprisent, rejettent et conspuent même les internes du culte et de la doctrine, d'où il résulte qu'ils prennent les faux pour des vrais ; c'est ce qu'on voit, dans Ézéchiel : Fils de l'homme, tourne tes faces vers les fils d'Ammon, et prophétise sur eux, et dis aux fils d'Ammon : Ecoutez la Parole du Seigneur Jéhovih : ainsi a dit le Seigneur Jéhovih ; parce que tu dis : Hah ! Au sujet de mon sanctuaire, de ce qu'il a été profané, et au sujet de l'humus d'Israël, parce qu'il a été désolé, et au sujet de la maison de Judah, parce qu'ils sont allés en captivité, je donnerai Rabba pour habitation des chameaux, et les fils d'Ammon pour étable du troupeau. Ainsi a dit le Seigneur Jéhovih : parce que tu as frappé dans ta main et applaudi du pied, et que tu t'es réjouie dans tout ton mépris dans l'âme, au sujet de l'humus d'Israël, c'est pourquoi, voici, Moi j'étendrai ma main sur toi, et je te livrerai en proie aux nations, et je te retrancherai d'entre les peuples, et je te détruirai d'entre les terres. » - .

Les expressions, hah ! au sujet du sanctuaire parce qu'il a été profané, au sujet de l'humus d'Israël parce qu'il a été désolé, au sujet de la maison de Judah parce qu'ils sont allés en captivité ; tu as frappé dans ta main, tu as applaudi du pied, et tu t'es réjouie dans tout ton mépris dans l'âme au sujet de l'humus d'Israël, sont des paroles de mépris, de dérision et de répulsion des intérieurs du culte et de la doctrine, et quand ces intérieurs sont rejetés, les Externes n'ont aucune valeur, mais ils sont livrés en proie aux nations, c'est-à-dire, envahis par les maux ; retranchés d'entre les peuples, c'est-à-dire, envahis par les faux ; et détruits d'entre les terres, c'est-à-dire qu'ils n'appartiennent plus à aucune Église.

Dans Zéphanie :

« J'ai entendu l'outrage de Moab et les blasphèmes des fils d'Ammon, qui ont accablé d'outrages mon peuple ; ils se sont étendus sur leur frontière : c'est pourquoi, Je (suis) vivant, que Moab deviendra comme Sodome, et les fils d'Ammon comme Gomorrhe, un lieu abandonné à l'ortie, et une fosse de sel, et ils seront une désolation pour l'éternité. Cela leur (arrivera) à cause de leur orgueil, parce qu'ils ont mis l'opprobre et se sont étendus sur le peuple de Jéhovah Zébaoth. » - Zéphanie 2:8, 9, 10.

Accabler d'outrages le peuple et s'étendre sur leur frontière et sur le peuple de Jéhovah Zébaoth, c'est mépriser et rejeter les vrais intérieurs qui sont le peuple de Jéhovah Zébaoth ; de là les biens deviennent des maux, qui sont Sodome et le lieu abandonné à l'ortie, et les vrais deviennent des faux, qui sont Gomorrhe et la fosse de sel ; car c'est par les internes que les externes peuvent être des biens et des vrais.

Dans David :

« Les ennemis ont insiDieusement médité en secret contre ton peuple ; ils tiennent conseil contre ceux que tu as cachés ; ils disent : Allez, retranchons-les de la nation, et qu'il ne soit plus fait mention du nom d'Israël ; car ils consultent de coeur ensemble ; contre toi se sont ligués les tentes d'Edom, et les Jichmaélites, Moab et les Hagréens, Gébal et Ammon, et Amaleck, la Philistée avec les habitants de Tyr, même Aschur s'est associé à eux ; ils servent de bras aux fils de Loth. » - .

Tenir conseil contre ceux qui sont cachés, les retrancher de la nation, au point qu'il ne soit plus fait mention du nom d'Israël, c'est rejeter entièrement les intérieurs ; les tentes d'Edom, les Jischmaélites, Moab, les Hagréens, Gébal et Ammon, ce sont ceux qui sont dans les externes du culte et de la doctrine ; la Philistées avec Tyr, ce sont ceux qui parlent des internes, mais qui ne sont pas les internes ; Aschur qui sert de bras aux fils de Loth, c'est le raisonnement avec lequel ils combattent pour les externes et attaquent les internes.

Dans Moïse :

« Un homme ne prendra point l'épouse de son père, et il ne violera point le pan de la robe de son père ; celui dont le testicule a été lésé par blessure ou par contusion ne viendra point dans l'assemblée de Jéhovah ; le Moabite et l'Ammonite ne viendront point dans l'assemblée de Jéhovah, même leur dixième Génération ne viendra point dans l'assemblée de Jéhovah pour l'éternité. » - .

On voit par là ce que c'est que Moab et Ammon, à la fin des jours, ou lorsque ceux, chez lesquels le bien est adultéré et le vrai est falsifié, ont été entièrement imprégnés de faux, en ce qu'ils méprisent, rejettent et enfin conspuent tous les intérieurs ; aussi sont-ils même nommés ici après des adultères abominables, exprimés par l'action de prendre l'épouse de son père, violer le pan de la robe de son père, et presque semblables à ce qui est rapporté des filles de Loth dont descendaient Moab et Ammon ; ils sont nommés aussi après ceux dont le testicule a été lésé par blessure et par contusion, lesquels signifient ceux qui rejettent avec dégoût tout ce qui appartient à l'amour et à la charité : l'assemblée de Jéhovah est le Ciel dans lequel ils ne peuvent venir, parce qu'ils n'ont point les reliquiae, qui existent seulement par les biens intérieurs et par les vrais intérieurs, et qui sont signifiées par la dixième génération, numéros 576, 1738, 2280. Ceux-là étaient aussi au nombre des nations qui sacrifiaient des fils et des filles à Molech, ce qui signifie, dans le sens interne, qu'ils avaient étouffé les vrais et les biens ; car le Dieu de Moab était Kémosch, et le Dieu des fils d'Ammon, Molech et Milchom, - Deutéronome 2 Rois 23:13, - auxquels ils offraient des sacrifices, - Deutéronome 2 Rois 3:27, - et l'on a vu que par les fils et les filles sont signifiés les vrais et les biens, numéros 489, 490, 491, 533, 1147. Voilà donc ce que sont Moab et Ammon ; mais les genres de leur faux, par lesquels ils adultèrent les biens et éteignent les vrais sont en grand nombre, et sont recensés dans Jérémie, mais simplement par des noms que voici :

« Le jugement est venu vers la terre de la plaine, vers Cholon, et vers Jahza, et vers Méphaatah. Et sur Dibon, et sur Nébon, et sur Bethdeblathaïm. Et sur Kiriathaïm, et sur Bethgamul, et sur Bethméhon. Et sur Kirioth, et sur Boza, et sur toutes les villes de la terre de Moab, éloignées et proches. La corne de Moab a été arrachée, et son bras a été brisé. Enivrez-le, parce qu'il s'est fait grand au-dessus de Jéhovah ; et que Moab applaudisse dans son vomissement. » - :

Ce sont là les genres de faux qui se rencontrent en ceux qui sont nommés Moab et Ammon ; mais quels sont ces genres et quelle est leur qualité, c'est ce qu'on peut voir par la signification de chaque nom dans le sens interne ; que les Noms, dans la Parole, ne signifient rien que des choses, c'est ce qui a été montré plusieurs fois.

De LA MEMOIRE DE L'HOMME, QUI LUI RESTE APRES LA MORT, ET DE LA REMINISCENCE DES CHOSES QU'IL A FAITES DANS LA VIE DU CORPS.

  
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