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Jérémie 46

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1 La parole de l'Eternel qui fut [adressée] à Jérémie le Prophète contre les nations.

2 A l'égard de l'Egypte, contre l'armée de Pharaon-Neco Roi d'Egypte, qui était auprès du fleuve d'Euphrate, à Carkémis, laquelle Nébucadnetsar Roi de Babylone défit en la quatrième année de Jéhojakim, fils de Josias Roi de Juda.

3 Préparez le bouclier et l'écu, et approchez-vous pour la bataille.

4 Attelez les chevaux, et [vous] cavaliers, montez; présentez-vous avec les casques, fourbissez les lances, revêtez les cuirasses.

5 D'où vient que je vois [ceci]? Ils sont effrayés; ils tournent en arrière; leurs hommes forts ont été défaits, et s'enfuient avec précipitation, sans regarder derrière eux; la frayeur les environne, dit l'Eternel.

6 Que l'homme léger à la course ne s'enfuie point, et que le fort ne se sauve point; ils sont renversés et tombés vers l'Aquilon, auprès du rivage du fleuve d'Euphrate.

7 Qui est celui-ci qui s'élève comme une rivière, et duquel les eaux sont émues comme les fleuves?

8 C'est l'Egypte; elle s'élève comme une rivière, et [ses] eaux s'émeuvent comme les fleuves; et elle dit : je m'élèverai, je couvrirai la terre, je détruirai les villes, et ceux qui y habitent.

9 Montez chevaux, agissez en furieux, [venez] chariots, et que les hommes forts sortent : ceux de Cus et de Put qui manient le bouclier, et les Ludiens qui manient [et] bandent l'arc.

10 Car c'est ici la journée du Seigneur l'Eternel des armées, journée de vengeance, pour se venger de ses adversaires. L'épée dévorera, et elle sera rassasiée [et] enivrée de leur sang; car il y a un sacrifice au Seigneur l'Eternel des armées dans le pays de l'Aquilon, auprès du fleuve d'Euphrate.

11 Monte en Galaad, et prends du baume, vierge fille d'Egypte. En vain emploies-tu remède sur remède; car il n'y a point de guérison pour toi.

12 Les nations ont appris ton ignominie, et ton cri a rempli la terre; car le fort est tombé sur le fort, et ils sont tombés tous deux ensemble.

13 La parole que l'Eternel prononça à Jérémie le Prophète touchant la venue de Nébucadnetsar Roi de Babylone, pour frapper le pays d'Egypte :

14 Faites savoir en Egypte, et publiez à Migdol, à Noph, et à Taphnés; [et] dites : présente-toi, et te tiens prêt; car l'épée a dévoré ce qui est autour de toi.

15 Pourquoi chacun de tes vaillants hommes a-t-il été emporté? il n'a pu tenir ferme, parce que l'Eternel l'a poussé.

16 Il en a terrassé un grand nombre, et même chacun est tombé sur son compagnon, et ils ont dit : lève-toi, retournons à notre peuple, et au pays de notre naissance, loin de l'épée de l'oppresseur.

17 Ils ont crié là, Pharaon Roi d'Egypte n'est que bruit; il a laissé passer le temps assigné.

18 Je suis vivant, dit le Roi dont le Nom est l'Eternel des armées, que comme Tabor [est] entre les montagnes, et comme Carmel [est] dans la mer, [ainsi] viendra-t-il.

19 Ô fille habitante de l'Egypte, équipe-toi pour déloger, car Noph sera désolée, et rendue déserte, sans qu'[il y ait] plus d'habitants.

20 L'Egypte est une très belle génisse; [mais] la destruction vient, elle vient de l'Aquilon.

21 Même les gens de guerre qu'elle entretient chez elle à ses gages, sont comme des veaux engraissés, car aussi ont-ils tourné le dos; ils s'en sont fuis ensemble, ils n'ont point tenu ferme, parce que le jour de leur calamité, le temps de leur punition est venu sur eux.

22 Elle sifflera comme un serpent, car ils marcheront avec une puissante [armée], et ils viendront contre elle avec des cognées, comme des bûcherons.

23 Ils couperont sa forêt, dit l'Eternel, quoiqu'on n'en pût compter [les arbres]; parce que [leur armée sera] en plus grand nombre que les sauterelles, et on ne saurait la compter.

24 La fille d'Egypte est rendue honteuse, elle est livrée entre les mains du peuple de l'Aquilon.

25 L'Eternel des armées, le Dieu d'Israël, a dit : voici, je m'en vais punir le grand peuple de No, et Pharaon, et l'Egypte, et ses dieux, et ses Rois, tant Pharaon, que ceux qui se confient en lui.

26 Et je les livrerai entre les mains de ceux qui cherchent leur vie, entre les mains, dis-je, de Nébucadnetsar Roi de Babylone, et entre les mains de ses serviteurs; mais après cela elle sera habitée comme aux temps passés, dit l'Eternel.

27 Et toi Jacob mon serviteur, ne crains point, et ne t'épouvante point, toi Israël; car voici, je m'en vais te délivrer du pays éloigné; et ta postérité, du pays de leur captivité; et Jacob retournera, et sera en repos et à son aise, et il n'y aura personne qui lui fasse peur.

28 Toi donc, Jacob mon serviteur, ne crains point, dit l'Eternel; car je suis avec toi; et même je consumerai entièrement toutes les nations parmi lesquelles je t'aurai chassé; mais je ne te consumerai point entièrement, et je te châtierai par mesure; toutefois je ne te tiendrai pas tout à fait pour innocent.

   

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Arcanes Célestes #9391

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9391. Et ils offrirent des holocaustes, et ils sacrifièrent en sacrifices pacifiques à Jéhovah des taureaux, signifie le représentatif du culte du Seigneur d'après le bien, et d'après le vrai qui procède du bien : on le voit par la représentation des holocaustes et des sacrifices, en ce qu'ils sont le culte du Seigneur en général, numéros 922, 6905, 8936, et en ce qu'en particulier les holocaustes sont le culte du Seigneur d'après le bien de l'amour, et les sacrifices le culte du Seigneur d'après le vrai de la foi qui procède du bien, numéro 8680 ; et par la signification des taureaux, en ce qu'ils sont le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme externe ou naturel, ainsi qu'il va être montré ; les bêtes qui étaient sacrifiées signifiaient la qualité du bien et du vrai d'après lesquels existait, le culte, numéros 922, 1823, 2180, 3519 ; que les bêtes douces et utiles signifient les célestes qui appartiennent au bien de l'amour, et les spirituels qui appartiennent au vrai de la foi, et que ce soit pour cela qu'elles ont été employées dans les sacrifices, on le voit, numéro 9280. Si le taureau signifie le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme externe ou naturel, c'est parce que les bêtes de gros bétail signifiaient les affections du bien et du vrai dans l'homme externe ou naturel, et les bêtes de menu bétail les affections du bien et du vrai dans l'homme interne ou spirituel, numéros 2566, 5913, 6048, 8937, 9135 ; les bêtes de menu bétail étaient les agneaux, les chèvres, les brebis, les béliers, les boucs, et celles de gros bétail étaient les bœufs, les taureaux, les veaux ; les agneaux et les brebis signifiaient le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme interne ou spirituel ; par suite les veaux et les taureaux, parce qu'ils étaient d'un âge plus tendre que celui des bœufs, signifiaient la même chose dans l'homme externe ou naturel. Que les taureaux et les veaux signifiassent ce bien, on le voit par les passages de la Parole où ils sont nommés, par exemple, dans Ézéchiel :

« Les pieds des quatre Animaux, pied droit, et la plante de leurs pieds, comme la plante du pied d'un veau, et ils étincelaient comme l'aspect de l'airain poli. “ - Ézéchiel 1:7 ;

Là, il s'agit des Chérubins, qui sont décrits par quatre Animaux ; que les Chérubins soient la garde ou la Providence du Seigneur, afin qu'il n'y ait accès auprès de Lui que par le bien, on le voit, numéro 9277 (fin). ; le bien externe ou naturel était représenté par

« pied droit, et par la plante des pieds en ce qu'elle était

« comme la plante du pied d'un veau : en effet, les pieds signifient les choses qui appartiennent à l'homme naturel, le pied droit celles qui appartiennent au bien, et la plante des pieds celles qui sont les dernières, dans l'homme naturel ; il a déjà été montré que les pieds ont cette signification, numéros 2162, 3147, 3761, 3986, 4280, , 5327, 5328 ; et que les talons, les plantes, les paumes et les ongles, sont les dernières choses dans l'homme naturel, numéros 4938, 7729 ; que les plantes des pieds étincelassent comme l'aspect de l'airain poli, c'était parce que l'airain signifie le bien naturel, numéros 425, 1551, et l'airain étincelant comme l'airain poli, le bien resplendissant par la lumière du ciel, qui est le Vrai Divin procédant du Seigneur : d'après cela, il est évident que le Veau signifie le bien de l'homme externe ou naturel. Pareillement dans Jean :

« Autour du trône étaient quatre Animaux, pleins d'yeux devant et derrière ; et le Premier Animal semblable à un lion ; et le Second Animal semblable à un veau ; et le Troisième Animal ayant la face comme un homme ; et le Quatrième Animal semblable à un Aigle qui vole. » - Apocalypse 4:6-7 ;

Ici aussi les quatre Animaux, qui sont des Chérubins, signifient la Garde et la Providence du Seigneur, afin qu'il n'y ait accès auprès de Lui que par le bien de l'amour ; la garde elle-même est faite par le vrai et le bien de ce vrai, et par le bien et le vrai de ce bien ; le vrai et le bien de ce vrai, dans la forme externe, sont signifiés par le lion et par le veau ; et le bien et le vrai de ce bien, dans la forme interne, sont signifiés par la face d'homme et par l'aigle qui vole ; que le lion soit le vrai d'après le bien dans sa puissance, on le voit, numéro 6367 ; de là, le veau est le bien même de ce vrai.

Dans Osée :

« Retournez à Jéhovah, dites-Lui : Ote toute iniquité, et prends le bien, et nous donnerons en échange les taureaux de nos lèvres. " - Osée 14:3 ;

-personne ne peut savoir ce que c'est que rendre en échange les taureaux des lèvres, à moins qu'il ne sache ce que signifient les taureaux et ce que signifient les lèvres ; que ce soit la confession et l'action de grâces provenant d'un cœur bon, cela est évident, car il est dit :

« Retournez à Jéhovah, et dites-Lui : Prends le bien, et alors nous donnerons en échange les taureaux de nos lèvres ; ce qui est confesser Jéhovah d'après les biens de la doctrine, et Lui rendre grâces ; car les lèvres sont les choses qui appartiennent à la doctrine, numéros 1286, 1288.

Dans Amos :

« Vous qui attirez l'habitation de violence ! Ils couchent sur des lits d'ivoire, et ils mangent des agneaux du troupeau, et des veaux du milieu de l'engrais. » - Amos 6:3-4 ;

Là sont décrits ceux qui sont dans l'abondance des connaissances du bien et du vrai, et néanmoins vivent mal ; manger des agneaux du troupeau, c'est apprendre et s'approprier les biens de l'innocence qui appartiennent à l'homme interne ou spirituel ; manger des veaux du milieu de l'engrais, c'est apprendre et s'approprier les biens de l'innocence qui appartiennent à l'homme externe ou naturel ; que manger, ce soit s'approprier, on le voit, numéros 3168, 3513 (fin), 3596, 3832, 4745 ; et les Agneaux, le bien de l'innocence, numéros 3994, 3519, 7840 ; comme les agneaux sont les biens intérieurs de l'innocence, il s'en suit que les veaux du milieu de l'engrais sont les biens extérieurs de l'innocence ; car dans la Parole, surtout dans la Parole Prophétique, il est ordinaire de traiter du vrai lorsqu'il est traité du bien, à cause du mariage céleste, numéros 9263, 9314, et aussi de parler des externes lorsqu'il est parlé des internes ; en outre, le lieu où l'on engraisse et le gras signifient le bien de l'amour intérieur, numéro 5943 : pareillement dans Malachie :

« Sur vous, qui craignez mon Nom, s'élèvera le soleil de justice, et la santé (sera) dans ses ailes, afin que vous sortiez et que vous croissiez comme des veaux à l'engrais. " - .

Dans Luc :

« Au sujet du fils prodigue qui revint après s'être repenti de cœur, le Père dit : Apportez la robe principale et l'en revêtez, et donnez un anneau pour sa main, et des souliers pour ses pieds ; de plus amenez le veau gras, et le tuez, afin que mangeant nous nous réjouissions. " - Luc 15:22-23.

Celui qui ne saisit que le sens de la lettre croira que ce passage ne renferme pas des choses plus élevées, lorsque cependant chacune des expressions enveloppe des célestes, par exemple, le revêtir de la robe principale, donner un anneau pour sa main et des souliers pour ses pieds, amener le veau gras et le tuer, afin de se réjouir en mangeant ; par le fils prodigue sont entendus ceux qui ont prodigué les richesses célestes, qui sont les connaissances du bien et du vrai ; par son retour chez son père, et par sa confession qu'il n'était pas digne d'être appelé son fils, sont signifiés le repentir du cœur et l'humiliation ; par la robe principale dont il fut revêtu sont signifiés les vrais communs, numéros 4545, 5248, 5319, 5954, 6914, 6917, 9093, 9212, 9216 ; et par le veau gras les biens communs correspondants à ces vrais. Semblable chose est signifiée par les veaux et par les taureaux dans d'autres passages, comme dans Psaumes 69:32 ; puis dans les holocaustes et dans les sacrifices, - Exode 29:11-12, et suivants. Lévitique 4:3, et suivants. 13, et suivants. Lévitique 8:15, et suivants. . Nombres 8:8, et suivants. Nombres 15:24, et suivants. Nombres 28:19-20. .. , 33. -Si les fils d'Israël se sont fait un veau d'or, et l'ont adoré au lieu de Jéhovah, - , -c'est parce que dans leur cœur était restée l'idolâtrie Égyptienne, quoique de bouche ils eussent confessé Jéhovah.

Dans l'Egypte, parmi les idoles, les principales étaient des Génisses et des Veaux d'or, et cela, parce que la génisse signifiait le Vrai scientifique, qui est le Vrai de l'homme naturel, et parce que le veau signifiait le bien de ce vrai, qui est le bien de l'homme naturel, et aussi parce que l'or signifiait le bien ; ce bien et ce vrai y étaient présentés en effigie par des Veaux et des Génisses d'or ; mais quand les représentatifs des célestes y eurent été changés en choses idolâtriques et enfin en choses magiques, alors là, comme ailleurs, les effigies qui représentaient devinrent elles-mêmes des idoles, et commencèrent à être adorées ; de là les idolâtries de l'antiquité et les magies égyptiennes : en effet l'Ancienne Église, qui succéda à la Très-Ancienne, était une Église représentative, dont tout le culte consistait en des rites, des statuts, des jugements et des préceptes, qui représentaient les Divins et les célestes, lesquels sont les intérieurs de l'Église : cette Église après le déluge s'étendit sur une grande partie du monde Asiatique, et fut aussi en Egypte ; mais dans l'Egypte étaient cultivés les scientifiques de cette Église ; par conséquent les Égyptiens se livraient à la science des correspondances et des représentations plus que les autres peuples, comme on peut le voir d'après les hiéroglyphes, et d'après les magies et les idoles de ce pays, et aussi d'après les diverses choses qui sont rapportées dans la Parole sur l'Egypte ; c'est de là que l'Egypte dans la Parole signifie le Scientifique en général tant quant au vrai que quant au bien, et aussi le Naturel, car le Scientifique appartient à l'homme naturel ; c'est aussi ce que signifiaient la Génisse et le Veau. Que l'Église Ancienne, qui était représentative, se soit étendue sur un grand nombre de royaumes, et qu'elle ait aussi existé dans l'Egypte, on le voit, numéros 1238, 2385, 7097 : que les scientifiques de l'Église aient été cultivés principalement en Egypte, et que ce soit pour cela que l'Egypte dans la Parole signifie le Scientifique dans l'un et l'autre sens, on le voit, numéros 1164, 1165, 1186, 1462, , 4964, 4906, 5700, 5702, 6004, 6015, 6125, 6651, 6679, 6683, 6692, 6693, 6750, 7779, 7926 : et, comme le Vrai scientifique et le bien de ce vrai sont le vrai et le bien de l'homme naturel, que ce soit aussi pour cela que l'Egypte dans la Parole signifie le Naturel, on le voit, numéros 4967, 5079, 5080, 5095, 5160, 5276, 5278, 5280, 5288, 5301, 6004, 6615, 6147, 6252 : maintenant, d'après cela, il est évident que les génisses et les veaux ont été au nombre des principales idoles de l'Egypte, par la raison que les génisses et les veaux signifiaient le Vrai scientifique et le bien de ce vrai, qui appartiennent à l'homme naturel, la même chose que l'Égypte elle-même, de sorte que l'Egypte et le veau avaient la même signification ; c'est pourquoi il est parlé ainsi de l'Egypte dans Jérémie :

« Génisse très-belle, l'Egypte ! La destruction du septentrion vient ; et ses mercenaires au milieu d'elle sont comme des veaux à l'engrais. » - Jérémie 46:20-21.

La génisse est le Vrai scientifique qui appartient à l'homme Naturel ; les mercenaires, qui sont les veaux, sont ceux qui font le bien à cause du gain, numéro 8002 ; ainsi les veaux sont un tel bien, qui est en lui-même non pas le bien, mais le plaisir de l'homme naturel séparé de l'homme spirituel ; c'est dans ce plaisir, qui en soi est idolâtrique, qu'ont été les fils de Jacob ; c'est pourquoi il leur fut permis de rendre cela notoire et d'en donner la preuve par l'adoration du veau, - :- cela est aussi décrit ainsi dans David :

« Ils ont fait un Veau en Horeb, et ils se sont prosternés devant une image de fonte, et ils ont changé leur gloire en l'effigie d'un bœuf qui mange l'herbe. » - Psaumes 106:19-20 ;

-faire un veau en Horeb et se prosterner devant une image de fonte, signifie le culte idolâtre, qui consiste en rites, en statuts, en jugements et en préceptes, seulement dans la forme externe, et non en même temps dans la forme interne ; que cette Nation ait été dans les externes sans l'interne, on le voit, numéros 9320 (fin), 9373, 9377, 9380, 9381, et qu'ainsi elle ait été idolâtre dans son cœur, on le voit, numéro 3732, (fin), 4208, 4281, 4825, 5998, 7401, 8301, 8871, 8882 ; changer la gloire en l'effigie d'un bœuf qui mange l'herbe, signifie s'éloigner des internes de la Parole et de l'Eglise, et adorer l'externe, qui n'est qu'un scientifique sans vie ; en effet, la Gloire est l'interne de la Parole et de l'Église, voir la Préface du Chapitre 18 de la Genèse, numéros 5922, 8267, 8427 ; l'effigie du bœuf est le simulacre du bien dans la forme externe, car l'effigie est le simulacre, par conséquent ce qui est sans vie, et le bœuf est le bien dans le naturel, ainsi dans la forme externe, numéros 2566, 2781, 9135 ; manger l'herbe, c'est s'approprier ce bien seulement d'une manière scientifique ; car manger, c'est s'approprier, numéros 3168, 3513 (fin), 3596, 4745 ; et l'herbe est le scientifique, numéro 7571. Comme le veau d'or, qui était adoré par les fils d'Israël au lieu de Jéhovah, avait ces significations, c'est pour cela que Moïse procéda de la manière suivante à l'égard de ce veau :

« Votre péché (le veau) que vous avez fait, je le pris et le brûlai au feu, et je le broyai en le moulant bien, jusqu'à ce qu'il fût réduit en poudre, et j'en jetai la poudre dans le torrent qui descend de la montagne, » - Deutéronome 9:21 ;

-on ne sait pourquoi Moïse a ainsi agi à l'égard du veau d'or, à moins qu'on ne sache ce que signifie être brûlé au feu, être broyé, être moulu, et être réduit en poudre, et ce que signifie le torrent descendant de la montagne, dans lequel la poudre fut jetée ; ici est décrit l'état de ceux qui adorent les externes sans l'interne, à savoir, en ce qu'ils sont dans les maux des amours de soi et du monde, et dans les faux quant aux choses procédant du Divin, ainsi, quant à la Parole ; en effet, le feu dans lequel il fut brûlé est le mal de l'amour de soi et du monde, numéros 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7324, 7575 ; la poudre en laquelle il fut broyé est le faux confirmé d'après le sens de la lettre de la Parole ; et le torrent descendant de la montagne de Sinaï est le Vrai Divin, ainsi la Parole dans la lettre, car elle en est descendue ; en effet, ceux qui sont dans les externes sans l'interne expliquent la Parole en faveur de leurs amours, et y voient des terrestres et nullement des célestes, comme les Israélites et les Juifs autrefois et encore aujourd'hui. Des choses semblables ont aussi été représentées par les veaux de Jérobéam dans Béthel et en Dan, - , ;

-il en est parlé ainsi dans Osée :

« Un roi ils ont fait, et non par Moi ; des princes ils ont fait, et je ne l'ai pas su ; de leur argent et de leur or ils se sont fait des idoles, afin qu'il soit retranché : il t'a abandonnée, ton veau, ô Samarie, car d'Israël aussi, lui ; un ouvrier l'a fait, et il n'est point Dieu, lui ; car en morceaux il sera mis, le veau de Samarie. » - Osée 8:4, 5, 6.

Là, il s'agit de l'entendement perverti et de la mauvaise explication de la Parole par ceux qui sont dans les externes sans l'interne, car ils restent dans le sens de la lettre de la Parole, qu'ils tournent en faveur de leurs amours et des principes pris d'après ces amours ;

« faire un roi et non par Moi, et

« faire des princes et je ne l'ai pas su, c'est tirer le vrai, et les principaux vrais de la lueur propre et non du Divin, car le roi dans le sens interne est le vrai, Nos1672, 2015, 2069, 3009, 4581, 4966, 5044, 5068, 6148 ; et les princes sont les principaux vrais, numéros 1482, 2089, 5044 ;

« de son argent et de son or faire des idoles, c'est pervertir ; en faveur de ses cupidités les scientifiques du vrai et du bien tirés de la Parole, et les adorer comme des choses saintes, quoiqu'ils soient sans vie, puisqu'ils proviennent de la propre intelligence ; car l'argent est le vrai et l'or est le bien qui procèdent du Divin, ainsi qui appartiennent à la Parole, numéros 1551, 2954, 5658, 6914, 6917, 8932 ; et les idoles sont les doctrinaux provenant de la propre intelligence, qui sont adorés comme des choses saintes, et cependant n'ont en eux aucune vie, numéro 8941 ; de là il est évident que par le roi et les princes, et par l'or et l'argent sont signifiés les faux d'après le mal, car les choses qui proviennent du propre proviennent du mal, et par suite sont des faux, quoiqu'extérieurement elles apparaissent comme des vrais parce qu'elles ont été tirées du sens de la lettre de la Parole ; d'après cela on voit clairement ce que signifie le Veau de Samarie, qu'un ouvrier a fait, à savoir, que c'est le bien dans l'homme naturel et non en même temps dans l'homme spirituel, par conséquent le non-bien, parce qu'il a été appliqué au mal ;

« un ouvrier l'a fait, et il n'est point Dieu, lui, c'est qu'il provient du propre et non du Divin ; être mis en morceaux, c'est être dissipé. Des choses semblables sont entendues par les veaux dans Osée :

« Ils continuent à pécher, et ils se font une image de fonte de leur argent ; dans leur intelligence, des idoles, ouvrage d'artistes entièrement ; à elles ils disent : En sacrifiant l'homme, les veaux on baise. “ - Osée 13:2. -Maintenant, d'après ces explications, on voit clairement ce que le Veau et le Taureau signifient dans les passages suivants ; dans Ésaïe :

« Et descendront des licornes avec eux, et des taureaux avec des puissants, et enivrée sera leur terre de sang, et leur poussière de graisse sera engraissée. » - Ésaïe 34:7.

Dans le Même :

« La ville fortifiée (sera) solitaire, l'habitacle délaissé et abandonné comme le désert, là paîtra le veau, et là il couchera, et il consommera ses rameaux ; sèche sera sa moisson. » - Ésaïe 27:10.

Dans Jérémie :

« Depuis le cri de Chesbon jusqu'à Éléaleh, jusqu'à Jahaz, ils ont poussé leur voix, depuis Zoar jusqu'à Choronaïm, (comme) une génisse de trois ans, parce que même les eaux de Nimrim seront en désolation. » - Jérémie 48:34.

Dans Ésaïe :

« Mon cœur sur Moab crie, ses fugitifs jusqu'à Zoar, (comme) une génisse de trois ans, car en la montée de Luchith on montera dans les pleurs. » - Ésaïe 15:5.

Dans Osée :

« Éphraïm, génisse dressée, aimant à fouler. » - Osée 10:11.

Dans David :

« Réprime la bête sauvage du roseau, l'assemblée des forts ; parmi les veaux des peuples, foulant les fragments de l'argent, il a dispersé les peuples, des guerres ils désirent. » - Psaumes 68:31.

Il s'agit là de l'arrogance de ceux qui veulent d'après les scientifiques entrer dans les mystères de la foi, et ne rien reconnaître que ce qu'ils en tirent eux-mêmes ; comme ceux-ci ne voient rien d'après la lumière du ciel qui procède du Seigneur, et qu'ils voient d'après la lueur de la nature qui provient du propre, ils saisissent les ombres au lieu de la lumière, les illusions au lieu des réalités, en général le faux au lieu du vrai ; comme ils pensent follement, puisqu'ils pensent d'après les infimes, ils sont appelés bête sauvage du roseau, et comme ils raisonnent rigoureusement, ils sont appelés assemblée des forts, et parce qu'ils dissipent les vrais encore restant et épars parmi les biens de ceux qui sont dans les vrais de l'Église, il est dit d'eux qu'ils foulent les fragments de l'argent parmi les veaux des peuples, et ensuite qu'ils dispersent les peuples, c'est-à-dire, l'Église elle-même avec ses vrais ; le désir de les attaquer et de les détruire est entendu par désirer des guerres ; d'après cela, il est de nouveau évident que les veaux sont les biens. Dans Zacharie, Ch. Psaumes 12:4, il est dit :

« Tout Cheval des peuples je frapperai d'aveuglement, et par le cheval des peuples sont signifiés les intellectuels du vrai chez ceux qui sont de l'Église, parce que le cheval est l'intellectuel du vrai, numéro 2761 ; mais ici il est dit

« fouler les fragments de l'argent, et disperser les peuples parmi les veaux des peuples, et par fouler et disperser il est signifié rejeter et dissiper, numéro 258 ; par l'argent le vrai, numéros 1551, 2954, 5658, 6112, 6914, 6917, 7999, 8932 ; et par les peuples ceux de l'Église qui sont dans les vrais, numéros 2928, 7207, par conséquent aussi les vrais de l'Église, numéros 1259, 1260, 3295, 3581, ainsi par les veaux des peuples sont signifiés les biens qui appartiennent au volontaire chez ceux de l'Église. De plus, on voit dans Jérémie que les veaux signifient les biens :

« Je livrerai les hommes qui ont transgressé mon alliance, qui n'ont point maintenu les paroles de l'alliance, qu'ils ont traitée devant Moi, (l'alliance) du veau, qu'ils ont coupé en deux, pour passer entre ses parties, les princes de Jehudah, et les princes de Jérusalem, les ministres royaux et les prêtres, et tout le peuple de la terre, lesquels ont passé entre les parties du veau, et je les livrerai en la main de leurs ennemis, afin que leur cadavre soit en pâture à l'oiseau des cieux et à la bête de la terre. » - Jérémie 34:18, 19, 20.

On ne peut savoir ce que c'est que l'alliance du veau, ni ce que c'est que passer entre les parties du veau, à moins qu'on ne sache ce que signifie l'alliance, ce que signifie le veau, ce que signifie sa division en deux parties, et ce que signifient les princes de Jehudah ou de Jérusalem, les ministres royaux, les prêtres et le peuple de la terre ; il est évident qu'il y a là un arcane céleste ; cet arcane néanmoins peut se manifester devant l'entendement, quand on sait que l'alliance est la conjonction ; le veau, le bien ; le veau coupé en deux parties, le bien procédant du Seigneur d'une part, et le bien reçu par l'homme de l'autre part ; que les princes de Jehudah et de Jérusalem, les ministres royaux, les prêtres et le peuple de la terre, sont les vrais et les biens qui appartiennent à l'Église d'après la Parole ; et que passer entre les parties, c'est conjoindre ; cela étant connu, il devient évident que le sens interne de ces paroles est que, chez cette nation, il n'y avait aucune conjonction du bren procédant du Seigneur avec le bien reçu par l'homme au moyen de la Parole, et par suite au moyen des vrais et des biens de l'Église, mais qu'il y avait disjonction, et cela parce que les descendants de Jacob étaient dans les externes sans l'interne ; l'alliance du veau traitée avec Abram enveloppe la même chose ; il en est parlé ainsi dans le Livre de la Genèse :

« Jéhovah dit à Abram : Prends une génisse de trois ans, et une chèvre de trois ans, et un bélier de trois ans, et une tourterelle et un pigeon ; et il prit toutes ces choses, et il les partagea par le milieu, et il mit chaque partie vis-à-vis de l'autre, et la volaille il ne partagea point. Et descendirent des oiseaux sur les corps, et les chassa Abram : et le soleil était à son coucher, et un assoupissement tomba sur Abram ; et voici, une terreur de ténèbres grandes tomba sur lui ; et eu ce jour-là Jéhovah traita avec Abram alliance. » - Genèse 15:9-10, 11, 12, 18.

La terreur de ténèbres grandes tombant sur Abram, signifiait l'état de la nation Juive, en ce que les Juifs étaient dans les ténèbres les plus grandes quant aux vrais et aux biens de l'Église d'après la Parole, parce qu'ils étaient dans les externes sans l'interne, et par suite dans un culte idolâtre ; car celui qui est dans les externes sans l'interne est dans un culte idolâtre, puisque, lorsqu'il est dans le culte, son cœur et son âme sont non pas dans le ciel mais dans le monde, et qu'il adore les choses saintes de la Parole non pas d'après un amour céleste, mais d'après un amour terrestre : c'est cet état de la nation Juive, qui a été décrit dans le prophète par l'alliance du veau qu'ils avaient coupé en deux parties entre lesquelles ils avaient passé.

  
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Arcanes Célestes #9278

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9278. Six jours tu feras tes œuvres, signifie l'état du travail et du combat, quand on est dans les plaisirs externes qui doivent être conjoints aux internes : on le voit par la signification des six jours qui précèdent le septième, en ce qu'ils sont l'état du travail et du combat, numéros 737, 900, 8510, 8888, 8975, le travail alors et le combat sont signifiés par les œuvres qu'ils doivent faire dans ces jours. Par les œuvres des six jours, et par le repos au septième jour, sont signifiées les choses qui existent chez l'homme dans son premier et dans son second état quand il est régénéré ; et aussi celles qui existent chez lui quand il a été régénéré ; sur le premier et le second état de l'homme quand il est régénéré, voir ci-dessus, numéro 9274, et sur les choses qui existent chez lui quand il a été régénéré, voir numéro 9213 ; ces choses sont faites, afin que les externes soient conjoints aux internes : en effet, il y a l'homme externe, qui est aussi appelé homme naturel, et il y a l'homme interne, qui est appelé homme spirituel ; l'homme externe communique avec le monde, et l'homme interne avec le ciel. L'Ordre Divin est, que le ciel gouverne le monde chez l'homme, et non pas que le monde y gouverne le ciel, car, lorsque le ciel gouverne l'homme, le Seigneur le gouverne ; l'homme est né en cela, qu'il aime le monde et lui-même plus que le ciel et le Seigneur ; comme cela est opposé à l'ordre Divin, il faut qu'il y ait renversement par la régénération, ce qui arrive quand les choses qui appartiennent au ciel et au Seigneur sont aimées plus que celles qui appartiennent au monde et à soi-même : c'est par ce motif que l'homme qui a été régénéré, comme aussi celui qui est dans le ciel, est alternativement dans les externes et dans les internes, car par là les externes sont disposés de manière à concorder avec les internes, et enfin de manière à être soumis aux internes. Quand l'homme est dans les externes, il est dans le travail et dans le combat, car il est dans une vie qui savoure les choses du monde, dans laquelle influent de tout côté les enfers, qui sont continuellement en effort pour infester, et même pour subjuguer les choses qui appartiennent au ciel chez l'homme, mais le Seigneur défend continuellement et délivre : de là donc le travail et le combat, qui sont signifiés par les six jours de la semaine dans lesquels se font les œuvres : au contraire, quand l'homme est dans les internes, comme alors il est dans le ciel chez le Seigneur, le travail et le combat cessent, et il est dans la tranquillité de la paix, dans laquelle aussi se fait la conjonction ; voilà ce qui est signifié par le septième jour. Que les intérieurs de l'homme aient été créés selon l'image du ciel, et ses extérieurs selon l'image du monde, et qu'ainsi l'homme soit dans une très-petite forme un ciel, et soit aussi un monde, ainsi un microcosme, selon la manière de s'exprimer des anciens, on le voit, numéro 6057 ; par conséquent il est selon l'ordre Divin que le Seigneur par le ciel gouverne le monde chez l'homme, et nullement vice-versâ. On peut voir quel est le travail et le combat quand l'homme est dans les externes, en ce qu'alors il est dans un tel état, qu'il s'échauffe d'après le monde, et se refroidit pour le ciel si le ciel n'est pas comme le monde, et que par suite il est dans une telle ombre, qu'il ne peut saisir autre chose, sinon que les externes influent dans les internes, qu'en conséquence l'œil voit par lui-même, l'oreille entend par elle-même, et que leurs objets produisent les pensées et établissent l'intellectuel, et que par suite il peut de lui-même croire et de lui-même aimer Dieu, par conséquent d'après le monde voir le ciel ; il peut difficilement être tiré de cette illusion, avant d'avoir été élevé des externes dans les internes, et ainsi dans la lumière du ciel ; alors il commence à percevoir que les choses qui appartiennent au monde chez lui, ainsi celles qui appartiennent au corps et aux sens du corps, voient et agissent par l'influx provenant du ciel, c'est-à-dire, du Seigneur par le ciel, et nullement par elles-mêmes : par là on voit clairement pourquoi l'homme sensuel croit que tout ce qui appartient à sa vie vient du monde et de la nature, qu'il n'y a ni enfer ni ciel, et enfin qu'il n'y a point de Dieu ; par conséquent pourquoi il rit de tout ce qui appartient à l'Eglise en ce qui le concerne, mais l'affirme en ce qui concerne les simples, afin qu'ils soient dans des liens outre ceux qui ; proviennent des lois. D'après cela, on peut savoir ce que c'est qu'être dans les externes et non en même temps dans les internes, et que l'homme, lorsqu'il est dans les externes, est dans le froid et dans l'ombre quant aux choses qui appartiennent au ciel et à celles qui appartiennent au Seigneur ; et l'on peut aussi savoir par là qui sont dans le monde ceux qui sont intelligents et sages, à savoir, que ce sont ceux qui sont dans le vrai et dans le bien de l'Église, parce que ceux-ci tirent du ciel leur sagesse ; puis, qui sont dans le monde ceux qui sont insensés et fous, à savoir, que ce sont ceux qui ne sont ni dans le vrai ni dans le bien de l'Église, parce qu'ils savent seulement d'après le monde ; et que ceux d'entre eux qui se sont confirmés par les sciences du monde contre les vrais et les biens de l'Église, sont plus insensés et plus fous que tous les autres, quoiqu'ils se croient plus intelligents et plus sages que les autres, et qu'ils appellent simples ceux qui sont dans le bien de la vie d'après les vrais de la doctrine ; et cependant la simplicité de ceux-ci est sagesse devant les Anges, et même ceux-ci après la mort sont élevés par le Seigneur dans la sagesse angélique. Qu'il en soit ainsi, c'est même ce que le Seigneur enseigne dans Matthieu :

« C'est pour cela qu'en paraboles je parle, parce que voyant ils ne voient point, et entendant ils n'entendent point, et ne comprennent point, » - Matthieu 13:13-14.

Dans Jean. :

« J'enverrai l'Esprit de vérité, que le Monde ne peut recevoir, puisqu'il ne Le voit point, et ne Le reconnaît point ; encore un peu, et le monde ne Me verra plus, " - Matthieu 14:17, 19.

Que le Monde ne puisse recevoir l'Esprit de Vérité, puisqu'il ne le voit ni ne le connaît, cela signifie qu'on ne reconnaîtra pas le Seigneur par la foi du cœur, parce que les externes, qui appartiennent au monde, l'obscurciront : qui donc aujourd'hui L'adore comme Seigneur de tout le ciel et de toute la terre ? - Matthieu 28:18.

Et cependant tous ceux qui sont dans les cieux, ainsi ceux qui sont dans les internes, voient le Seigneur comme leur seul Dieu.

  
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