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Jérémie 51:61

Studie

       

61 Jérémie donc dit à Séraja : Sitôt que tu seras venu à Babylone, et que tu l'auras vue, tu liras toutes ces paroles-là;

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Arcanes Célestes # 1857

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, [Il manque du texte ici],

Et dans Amos - Amos 2:9-10.

C’est pourquoi ici par l'Emorréen on doit entendre toutes les nations de la terre de Canaan, par lesquelles ont été signifiés en particulier les maux et les faux, comme je l'ai déjà dit ; de là l'Emorréen signifie tous les maux en général. La consommation signifie le dernier temps quand il n'y a plus aucun bien. Toutefois, ce qui est entendu par ces mots : parce que jusque-là l'iniquité des Emorréens n'aura pas été consommée, est un arcane ; voici ce qui se passe à l'égard des méchants dans l'autre vie : les méchants ne sont pas punis avant que leurs maux soient parvenus à leur comble et cela, soit dans le commun, soit dans le particulier ; car tel est l'équilibre dans l'autre vie, que le mal se punit lui-même, ou que les méchants se jettent dans la peine du mal, mais seulement quand il est parvenu à son comble ; chaque mal à sa limite, qui est différente chez chacun ; cette limite ne doit pas être dépassée ; quand le méchant la dépasse, il se précipite alors dans la peine, et cela en tout ce qui concerne le particulier. Il en est de même en ce qui regarde le commun : les méchants se jettent dans l'enfer, non pas en un moment, mais successivement ; cela vient de la Loi universelle de l'Ordre établi par le Seigneur, loi d'après laquelle le Seigneur n'envoie jamais qui que ce soit dans l'enfer, mais le mal où le méchant s'y jette lui-même successivement, et cela, jusqu'à ce que le mal ait été consommé, et qu'il n'apparaisse plus aucun bien ; tant qu'il y a en lui quelque reste de bien, il est élevé de l'enfer ; mais quand il n'y a plus que le mal, il s'élance lui-même dans l'enfer ; il faut d'abord que l'un soit séparé de l'autre, car le bien et le mal sont opposés l'un à l'autre ; rester en suspens entre l'un et l'autre n'est pas permis : voilà ce qui est signifié par l'iniquité des Emorréens qui doit être consommée : mais il en est autrement des bons ; ils sont continuellement élevés par le Seigneur vers le ciel, et le mal qui est en eux s'efface successivement. Il en est de même de l'état de l'Eglise ; la visite ne vient point avant que le mal ait été consommé, c'est-à-dire tant qu'il reste encore quelque bien de la charité et quelque vrai de la foi : il est très-souvent parlé de cette consommation dans les Prophètes ; par exemple, dans Ésaïe :

« J'ai entendu la consommation et Indécision de la part du Seigneur Jéhovih Zebaoth sur toute la terre. » - .

Dans Jérémie :

« Babel, qui habites sur plusieurs eaux, grande en trésors, elle est venue, ta fin, la mesure de ton lucre. » - Jérémie 51:13.

Dans Daniel :

« Soixante-dix semaines ont été décidées sur ton peuple et sur la ville de ta sainteté, pour consommer la prévarication, et pour sceller les péchés, et pour expier l'iniquité, et pour amener la justice des siècles, et pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. » - Daniel 9:24.

« Enfin sur l'oiseau des abominations (est) la désolation, et jusqu'à la Consommation et à la décision, elle se répandra sur la dévastation. » - Ibid. vers. 27.

La Consommation est aussi prédise par le Seigneur Lui-Même dans le Luc, en ces termes :

« Ils tomberont sous le tranchant de l'épée, et seront captifs parmi toutes les nations : et enfin Jérusalem sera foulée par les nations, jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis. » - .

Tomber sous le tranchant de l'épée, c'est par les faux ; car l'épée, dans la Parole, est la peine du faux ; Jérusalem, c'est le Royaume du Seigneur et l'Eglise, numéro 402 ; les nations sont les maux, numéro 1260 ; il y a consommation alors que l'Eglise a été possédée par les maux et par les faux, et par conséquent détruite par elle-même.

  
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House

  
White House at Night by Vincent van Gogh

A "house" is essentially a container -- for a person, a family, several families or even a large group with shared interests (think of the term "houses of worship.") In the Bible, a "house" is also a container, but for spiritual things rather than natural things. In various uses a "house" can represent part of the mind, the whole mind, a whole person or even a church. The other nuance to the word "house" is that it is generally used in regards to our affections and desires rather than our thoughts and principles. This makes sense; we tend to engage our thoughts and rationality when we are out in the world doing our work, but when we are inside our houses we are driven most by love for our families and the desire to be good to those we love. So "house" tends to represent the things we want and care about -- which are ultimately the things that define us.